Titre original : Julie & Julia
Réalisé par : Nora Ephron
Date de sortie : 16 septembre 2009
Genre : Comédie dramatique
Pays d’origine : USA
Durée : 2h03
Casting : Meryl Streep, Amy Adams, Stanley Tucci…
Résumé : Julia Child est la femme qui a changé pour toujours la façon de cuisiner de l'Amérique. Mais en 1948, elle n'est encore qu'une Américaine anonyme vivant en France. Le travail de son mari les a amenés à s'installer à Paris, et Julia cherche activement une occupation. C'est alors qu'elle se prend de passion pour la cuisine française...
Cinquante ans plus tard, Julie Powell a l'impression d'être dans une impasse. Elle va avoir 30 ans, et pendant que ses amies connaissent bonheur et succès, elle végète dans son travail. Julie se lance alors un défi complètement fou : elle se donne exactement un an, 365 jours pour cuisiner les 524 recettes du livre de Julia Child
Les récompenses : Meryl Streep a remporté un golden globes aux golden globes 2010 dans la catégorie meilleure actrice dans une comédie, elle a été également nommé 2 fois dans la même catégorie dans divers festival. La réalisatrice, elle, a été nommée 3 fois dans divers festivals pour son travail.
Mon avis : Dans ce film, adapté du livre de Julie Powell, on passe sans arrêt du Paris de la fin des années 40, où l’on découvre l’apprentissage en cuisine de Julia Child,
à l’année 2002, où l’on suit le défi que s’est lancé Julie Powell.
Personnellement, j’ai préféré les passages sur cette dernière, ceux sur Julia Child m’ont ennuyé, principalement à cause de la voix française de Meryl Streep sur ce film que j’ai trouvé totalement insupportable.
Il faudrait que je vois ce film en VO pour voir si Meryl Streep a donné des intonations similaires à son jeu, auquel cas la faute en incomberait à la réalisatrice, ou s’il faut blâmer l’industrie du doublage français encore une fois.
Coté histoire, j’adorerais relever ce genre de défi, mais personnellement, dans un livre de recettes, il y a la moitié du bouquin que je ne vais pas cuisiner parce que je déteste l’ingrédient principal (genre les fruits de mer ou le chou-fleur).
Même si j’ai moins aimé les passages sur Julia Child, l’alternance entre les deux femmes montre qu’elles ont eu une évolution assez similaires, partant toutes deux de connaissances très basiques en cuisine pour finir par être capable non seulement de cuisiner un canard désossé mais aussi par atteindre leur rêve : être publiées.