Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Films - Page 25

  • [Film] Alerte

    alerte,0.jpg

     

    Titre original: Outbreack

    Réalisé par: Wolfgang Petersen

    Date de sortie: 12 avril 1995

    Genre: Thriller

    Pays d'origine: USA

    Durée: 2h08

    Casting: Dustin Hoffman, Morgan Freeman, Rene Russo, Donald Sutherland

    Résumé: A la suite de plusieurs négligences et de mauvaises volonté, les habitants d'une petite ville americaine sont victimes d'un virus, venu d'Afrique, particulièrement devastateur. Pour enrayer l'épidemie, un général sans scrupule décide, avec l'accord du president, de rayer de la carte la bourgade en larguant une bombe incendiaire.

    Mon avis: Wolfgang Petersen est un réalisateur allemand qui a obtenu son "passeport" pour les USA après le succès du film "le bateau", film de guerre sous-marine, aux USA. Une fois admis dans le cercle des réalisateurs américain, Wolfgang a réalisé nombres de succès: L'histoire sans fin, Troubles, Enemy... Après les film jeunesse, thriller et de science-fiction, il signe Alerte, film moitié thriller moitié catastrophe où les personnages doivent à la fois lutter contre le virus ebola et contre l'armée qui ne cherche pas d'autre solution de les sacrifier en les rayant de la carte.
    Après ce film, Wolfgang s'est porté vers les productions à "grand spectacle" (entendez pas là film au budget colossal): Troie, Poséidon...

    Mais revenons à Alerte!
    L'histoire commence en zone de guerre, au zaire, où un médecin militaire s'inquiète d'une maladie inconnue qui décime les soldats à raison de plusieurs dizaines de morts en une journée. Nous sommes en 1967. Après maintes promesse de rapatriement et d'envoie de médicament, c'est en fait une bombe incendiaire que va recevoir le petit camp militaire. En ce qui concerne l'armée américaine, le problème a été résolu. Avec en fond d'écran les ruine du camp qui flambent, on voit de petits singes, qui fuient les lieux du drame...
    Près de 30 ans plus tard, aux USA, dans le niveau au taux de sécurité le plus élevé, des chercheur étudient entre autre le virus ebola. Le laboratoire concerné est estampillé: Niveau biologique 4: pas de vaccin ou de traitement connu.
    Aussi, quand l'armée a un niveau biologique 4 dans une petite ville du zaire, c'est sans surprise qu'on y envoie le chercheur responsable de ce laboratoire, le colonel Sam Daniels, pour voir ce qu'il en est.
    Et comme vous vous en doutez, c'est là que les choses vont commencer à déraper...
    Un des membres de l'équipe fait une crise de panique et ote sa combinaison dans une case pleine de malade. Bien que le chef du village assure que le virus ne se transmet pas par l'air, ça jette un froid quand même...
    Mais bon dans la mesure où les victime développent très vite la maladie et que celle ci tue en un temps record, la situation est considérée comme maitrisée, puisqu'aucune victime ne vit assez longtemps pour faire passer la frontière du village à cette saloperie.

    Mais... il y a ces saletés de petits singes...

    Et en effet, ils ont leur importance car, dans la région où sévit la maladie, quelques heures après que l'armée ait quitté les lieux, l'un d'eux est capturé... Mais par qui? Ça on l'ignore encore...

    Et pendant que l'armée analyse tranquillement ce nouveau virus en pensant qu'il n'est pas une menace imminente, deux généraux réalisent que c'est le même virus que celui qu'ils avaient cru éradiquer en pulvérisant le camp militaire en 1967! Les ordre sont clair: le virus doit rester secret. Enterrez l'affaire!

    Genre ça va être aussi simple!

    Parce que pendant ce temps, le petit singe qui était destiné à un laboratoire d'analyse est volé par un petit livreur sans scrupule qui compte bien se faire un peu de fric facile en le vendant à une animalerie pas trop regardante sur l'origine des bêtes qu'elle vend.
    Avant de passer dans d'autre main, le singe, un peu énervée (oui c'est une petite femelle) par la musique (elle doit pas aimer le métal) crache une gorgée d'eau à la figure de son ravisseur puis griffe méchament le vendeur de l'animalerie.
    Le vendeur refusant l'animal, le livreur va la relacher dans une foret.

    Les dès sont jetés. Quelques heures plus tard, nos deux apprentis truants sont infectés. Si le premier est vite isolé et que lui et sa petite amie n'ont pas eu le temps de faire passer le virus, il n'est est pas de même du vendeur de l'animalerie.

    Victime d'une sorte de crise cardiaque, on lui fait des analyses de sang mais le laborantin, qui écoute un match à la radio, fait exploser la fiole en la prenant dans la centrifugeuse et s'en retrouve éclaboussé au visage. Plus tard il tousse dans un cinéma, propageant des gouttes de salives dans l'atmosphère.

    L'épidémie est déclenchée.


    A partir de là, le but est d'enrayer l'épidémie et de découvrir l'hôte (le petit singe dont il ne soupçonne pas l'existence, croyant que l'hote est un animal en captivité) mais c'est sans compter le général McClintock, le même qui avait ordonné l'éradication du camp militaire en 67, celui qui connait ce virus et qui a fait en sorte qu'il reste secret. Il est bien décidé à ce que rien ne filtre et pour lui la perte des 2648 personnes qui peuplent la ville n'est pas importante au regard du risque encouru. La quarantaine ne lui suffit pas et il n'a pas l'intention de laisser Daniels chercher un remède. Tout doit rester secret. Un point c'est tout. Quitte a dresser un portrait sans espoir à la maison blanche pour convaincre le président d'appuyer ses décisions.

    Le président du comité qui doit rendre un "avis éclairé" au président des états unis est le seul à être humain. A parler de personnes et non de statistiques. A rappeler que rayer la ville de la carte sans être absolument sûr et certains qu'il n'y a pas d'autre solution, et donc sans avoir fait des milliers d'analyses, sans avoir tout tenter pour trouver un remède, est contraire à la constitution et donc aux fondements même du pays.
    Bien sur on voit bien McClintock n'est pas ravi de ce qu'il dit. Lui aurait préféré qu'on ne s'embarasse pas de sentiment. Après tout ces 2648 personnes...qui les connait? Ce ne sont pas des personnalités... juste les habitants d'une petite ville de californie... du menu fretin quoi. Qu'est ce qu'il m'énerve ce type! Il est vraiment odieux.

    Après sa logique est compréhensible: Il se dit que 2648 personnes ce n'est rien en regard des 248 millions d'américains qui risqueraient la mort si cette épidémie s'échappait de la petite ville.
    Mais le reste de son attitude est minable, il ne s'agit pas seulement de sauver une majorité en sacrifiant une minrotié. Il n'hésite pas à mentir pour se débarrasser de ceux qui le dérange et qui pourrait porter atteinte à sa carrière, parce qu'on ne me fera pas croire qu'autre chose lui importe.
    Et heureusement que le Général Ford, le supérieur direct de Daniels, a une prise de conscience!

    En résumé c'est bon film moitié catastrophe (y'a quand même des centaines de morts) moitié thriller (dissimulation de preuve, course contre la montre).

     


     

     

     

  • [Film] La quadrilogie de Scream

    affiche-Scream-1996-1.jpg

    23839-b-scream-3.jpg

    Titre original: Scream

    Réalisé par: Wes Craven

    Date de sortie: 16 juillet 1997 (scream)
                           08 juillet 1998 (scream 2)
                           19 avril 2000 (scream 3)
                           13 avril 2011 (scream 4)

    Genre: Horreur

    Pays d’origine: USA

    Durée: 1h50 pour les 1, 3 et 4
               2h02 pour le 2

    Casting recurrent: Neve Campbell, David Arquette, Courteney Cox

    large_scream_cca.jpg

     

    Interdiction: Le premier film était interdit aux moins de 16 ans. Puis, relâchement du CSA ou multiplication des films gores, les trois suivant n’étaient interdit qu’aux moins de 12 ans.

    Résumé:

    screamCasey Becker, une belle adolescente, est seule dans la maison familiale. Elle s'apprête à regarder un film d'horreur, mais le téléphone sonne. Au bout du fil, un serial killer la malmène, et la force à jouer à un jeu terrible : si elle répond mal à ses questions portant sur les films d'horreur, celui-ci tuera son copain...
    Sidney Prescott sait qu'elle est l'une des victimes potentielles du tueur de Woodsboro. Celle-ci ne sait plus à qui faire confiance. Entre Billy, son petit ami, sa meilleure amie Tatum et son frère Dewey, ses copains de classe Stuart et Randy, la journaliste arriviste Gale Weathers et son caméraman Kenny qui traînent tout le temps dans les parages et son père toujours absent, qui se cache derrière le masque du tueur ?

    Scream 2Phil Stevens et sa copine Maureen Evans sortent ensemble voir en avant-première le film "Stab", inspirée de la tuerie de la ville de Woodsboro l'année précédente. Le public porte d'ailleurs en grande partie le costume du tueur. Mais parmi les fans déchaînés se cachent un nouvel assassin, qui poignarde devant toute l'audience la pauvre Maureen...
    Sidney Prescott, une des réelles survivantes du premier massacre, s'est inscrit à la fac de Windsor où elle apprend l'art dramatique, avec son ami Randy. Mais avec ce nouveau fait divers, la jeune femme prend peur et ne peut à nouveau plus faire confiance en personne. Surtout qu'un meurtre intervient dans l'enceinte même du campus : la jeune Casey Cooper a été défenestré après avoir subi deux coups de couteau. Pour Sidney, ça ne fait aucun doute : le cauchemar recommence. Mais qui peut donc s'acharner à vouloir sa mort ? Et pourquoi ?

    Scream 3Cotton Weary, l'un des survivants de la tuerie de la fac de Windsor, rentre tranquillement chez lui après avoir terminé le tournage de l'émission quotidienne qu'il anime. Le téléphone sonne. Au bout du fil, une fan... qui s'avère être un dangereux tueur, prêt à tout pour retrouver la trace de Sydney Prescott.
    La jeune femme reste terrée dans une maison surprotégée, afin d'effacer les souvenirs traumatisants dont elle a été précédemment l'héroïne malheureuse lors des massacres perpétrés à Woodsboroo et à Windsor. Le sujet semble quant à lui à la mode, puisque John Milton a décidé de produire un troisième film , "Stab 3", relatant les agissements du mystérieux tueur masqué.
    Mais la réalité rattrappe à nouveau la fiction lorsque l'une des actrices principales est sauvagement assassiné sur le plateau. L'inspecteur Kincaid décide de faire appel aux survivants des premiers évènements, l'ex policier Dewey Riley, devenu consultant sur "Stab 3", la journaliste Gale Weathers et Sydney. Mais bientôt la vague de meurtres continue. Qui s'acharne à vouloir détruire Sydney ? La clé du mystère ne remonte-t-elle pas aux origines de toute cette histoire ?

    Scream 410 ans se sont écoulés depuis les terribles meurtres commis par Ghostface. Sidney Prescott est parvenue à tourner la page mais c’est tout de même avec appréhension qu’elle retourne à Woodsboro pour le lancement de son premier roman.
    Ses retrouvailles avec sa cousine Jill ainsi qu’avec le duo de choc Dewey et Gale seront de courtes durées : Ghostface est de retour mais cette fois-ci les règles vont changer.

    Les récompensesSeul le premier volet a obtenu nominations et récompenses lors du Fantastic'Arts - Festival du Film Fantastique de Gérardmer 1997. Nominé pour les catégories Prix du Public, Prix du Jury, Prix de la Critique Internationale et Trophée Fun Radio, il a remporté la victoire pour le prix du public et le prix du jury.

    Les autres volets n’ont pas été récompensés et à mon sens ce n'est pas une grande surprise.

    Mon avis: Habitué du genre, Wes Craven est le réalisateur de cette quadrilogie, qui aurait, mais ce n'est que mon avis, du se contenter de rester une trilogie. Il a un intérêt très marqué pour le gore et le morbide comme le prouve ses travaux: la dernière maison sur la gauche, qu'il a écrit et réalisé en 1972, La colline a des yeux, cinq ans plus tard, la ferme de la terreur en 1980, Freddy les griffes de la nuit en 1984, pour n'en citer que quelques uns. Malgré quelques infidélités au genre en s'essayant au thriller et à la comédie sentimentale, il reste le "maître" du gore.

    En ce qui me concerne, l'intérêt principal des films Scream, pour ne pas dire le seul, c'est l'effet de surprise et les sursauts qu'on peut avoir quand le tueur surgit de là où on ne s'y attend pas (et même quand il surgit de là où on s'y attend parfaitement).
    Il est intéressant de voir Courteney Cox évoluer dans un autre milieu que celui de la comédie, elle qu'on assimile surtout à la Monica de Friends. Et c'est de toute façon les seuls acteurs qu'on retiendra de la quadrilogie, car les seuls à survivre systématiquement, et les seuls à revenir, toujours, comme les tiques en été sur un épagneul.
    Alors, ils jouent bien, je ne dis pas le contraire, et, comme le souhaitait Wes Craven, leur expérience des séries télé leur a appris a jouer dans l'urgence les changements de scénario intempestifs sans se démonter. 

    Au niveau visuel, sans surprise, la majorité des scènes sont tournée de nuit ou en intérieur dans des maisons mal éclairées. C'est bien connu, on a plus peur dans le noir ^^.

    A chacun des épisodes, on n'apprend l'identité du ou des tueurs qu'à la toute fin, ce qui est logique car il n'y a pas de réelle intrigue, pas d'indices permettant de comprendre la logique qui a mener cette personne et pas une autre à se mettre à tuer (car oui, dans scream, les tueurs ont presque toujours un mobile, mais on n'en entend pas parler avant qu'il se dévoile)

    Bon en même temps, ce n'est pas vraiment pour la qualité du sénario qu'on regarde un film gore, ne nous voilons pas la face, bien que les référentes au film Halloween (et à d'autres films d'horreur) disséminés dans le premier volet étaient sympas. Ça avait au moins le mérite d'un peu d'originalité.
    Cela dit, dans les trois premier volets, il y a une suite logique, le troisième expliquant le pourquoi du comment du premier et le second, découlant avec (presque) logique du premier volet.

    J'ai eu beaucoup plus de mal avec le quatrième, qui, 15 ans après la sortie de Scream, arrive un peu comme un cheveu sur la soupe. Il n'y a aucun sénario, les motivations du tueur ne sont pas plus bêtes que celles de ses prédécesseurs (quoi que) mais on sent vraiment que les idées se sont épuisées. Ce sont toujours les mêmes scènes: le tueur est dans le placard, le tueur est à la porte de la maison mais celle de derrière et non celle de devant, le tueur est déjà dans la maison (est-il passé par la cheminée comme le père noël?)

    Le quatrième semble aussi avoir été tourné sans prendre en compte les trois premiers films. Quand est-il des ambitions théatrale dont Sidney parlait dans le second opus? Certes dans le troisième elle les avait mis de coté car elle se cachait, mais pensant que tout était réellement fini, pourquoi ne pas s'y être remise? Pourquoi ne pas faire au moins une allusion expliquant qu'elle ait laissé tombé ce rève?
    Et que dire de Dewey qui se prend un coup de couteau dans le dos à la fin du premier film? Dans le second il boite gravement et explique que la moelle épinière a été touchée. Dans le troisième, il boite nettement moins (et pas toujours) et personne ne s'en étonne. Dans le quatrième il gambade comme un cabri, toute blessure oubliée. 

    Bref en résumé, je dirais que les trois premiers sont un bon moment à passer, entre potes, dans le noir et en jouant à qui fera sursauter l'autre le plus fort. Le quatrième est en revanche a oublier.

    Les bande annonces sont un peu pourris, mais je n'ai pas réussi a trouver mieux!

    Bande annonce scream:

    Bande annonce scream 2:


    Bande annonce scream 3:


    Bande annonce scream 4:


     

  • [Film] Le monde de Narnia, Chapitre 1: Le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique

    Le-monde-de-Narnia-le-lion-la-sorciere-blanche-et-l-armoire-magique.jpeg

    Titre original: The chronicles of Narnia: The lion, the witch and the wardrobe

    Réalisé par: Andrew Adamson

    Date de sortie: 21 décembre 2005

    Genre: Jeunesse

    Pays d'origine: USA

    Durée: 2h20

    Casting: William Moseley, Anna Popplewell, Skandar Keynes, Georgie Henley, Tilda Swinton, Liam Neeson (voix d'Aslan)

    Résumé: Le Monde de Narnia : chapitre 1 conte la lutte entre le bien et le mal qui oppose le magnifique lion Aslan aux forces des ténèbres dans le monde magique de Narnia. Grâce à ses sombres pouvoirs, la Sorcière Blanche a plongé Narnia dans un hiver qui dure depuis un siècle, mais une prédiction révèle que quatre enfants aideront Aslan à rompre la malédiction. Lorsque Lucy, Susan, Edmund et Peter Pevensie, quatre frères et soeurs, découvrent ce monde enchanté en y pénétrant à travers une armoire, tout est en place pour une bataille de proportions épiques...

    Les récompenses: Le films, l'équipe de tournage et les acteurs ont été nominés seize fois dans 7 festivals différents, dont les fameux oscars. L'équipe techinique et le film ont ainsi été nominés pour: meilleur son, meilleur effets visuels, meilleurs maquillages, meilleurs costumes, meilleure chanson, meilleure musique, Meilleure animation de personnage pour le cinéma, meilleur réalisateur, meilleur scénario, top of the box office, meilleur jeu video.
    Les acteurs, quant à eux ont été nominés pour Meilleur méchant, Meilleure actrice et meilleur jeune acteur, sans toutefois remporter de récompense.
    Dans la catégorie meilleur méchant, Tilda Swinton à laissé la place à Hayden Christiansen pour son rôle d'Anakin Skylwalker dans la revanche des Sith; Elle a également laissé la victoire à Naomie Watts pour son rôle dans King Kong pour la catégorie meilleure actrice.
    Le jeune William Moseley a été supplanté par Dakota Fanning pour son rôle dans la guerre des mondes dans la catégorie meilleur jeune acteur.

    L'équipe technique a eu plus de chance, ayant remporté 4 victoires.
    Le maquillage a convaincu les juges et le public puisqu'il a à lui seul remporté trois victoires: un oscar, un BAFTA Award (Orange British Académie Film Award) et un Saturn Awards (Academy of Science Fiction, Fantasy & Horror Films).
    La dernière victoire a été remporté par les costumes qui ont assez convaincu pour qu'on leur décerne un Saturn Award.

    Mon avis: Le monde de Narnia Chapitre 1: Le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique, est l'adaptation du tome 2 de la saga littéraire "Les chroniques de Narnia" de Clive Staple Lewis. Ce tome est en réalité le premier publié (1950) puisque le Tome 1: Le neveu du magicien, a été écrit ultérieurement, constituant ainsi une "préquel" à l'histoire.
    Clive Staple Lewis, né en 1898, contemporain de Tolkien, était un grand ami de celui-ci, à croire qu'ils se sont lancé un défi: celui qui écrirait la plus grande saga fantastique.

    Ce film, mélange de prise de vue réelle et d'image de synthèse, a été un vrai défi pour les maquilleurs et les graphistes, car il n'y a pas moins de 23 espèces différentes dans Narnia.
    La plus imposante étant Aslan, le lion, dont la création a nécessité deux ans de travail et 700 plans d'effets visuels.

    Aslan.jpg

    Les enfants ont un jeu d'acteur excellent malgré leur jeune age (Vaut mieux, parce que c'est un peu les héros du film ^^). Jai particulièrement aimé la petite Lucy, qui est toute en spontanéité et prête à ne jamais renoncer à ses rêves et croyances.

    lucy.jpg

    Edmund est parfait dans le rôle du cadet jaloux de ses aînés qui ont plus de réflexion et de poids de décision que lui, comme de sa petite soeur qui est choyée comme étant le bébé de la famille.

    edmund.jpg

    Les deux aînés, Peter et Susan sont plus raisonnable et s'ils commettent parfois des erreurs, c'est souvent parce qu'ils veulent rester un peu trop rationnels dans un monde qui ne l'est pas du tout.

                         peter.jpeg                     susan.jpeg

    Enfin, si j'ai aimé tout le film, j'ai particulièrement été emballée par la bataille, qui est époustouflante, avec les enfants et leurs alliés d'un coté et la maléfique sorcière blanche et ses créatures de l'autre coté.

    narnia1_02.jpeg

     Pour la première rencontre de Lucy et de Monsieur Tumnus, le faune, le réalisateur avait fait en sorte que la fillette n'ai pas vu le comédien grimé et habillé avant le tournage. Sa réaction de surprise n'est donc pas feinte.

    Le film a bien failli ne pas voir le jour! Peu avant la fin du tournage, une lettre de CS Lewis a été découverte dans laquelle il demandait à ce que ses ouvrages ne fassent jamais l'objet d'adaptation cinématographique. La raison? Il craignait que les animaux parlant ne soient ridicules.
    Mais les héritiers de l'écrivain ont accepté la sortie du film, estimant que CS Lewis n'avait pas pu prévoir l'avancé technologique du cinéma et l'invention des images de synthèses et que sa crainte était fondée sur les technologies de son époque (maquettes ou marionnettes). Jugeant qu'aujourd'hui les avancées technologique permettaient de créer des animaux pa rlant plus "vrai que nature" et que le ridicule n'était pas à craindre, ils sont donc passé outre les dernières volontés de l'auteur.

     

     

  • [film] Circumstance (en secret)

    affiche-En-secret-Circumstance-2011-2.jpeg

    Titre original: Circumstances

    Réalisé par : Maryam kesharvaz

    Date de sortie: 08 février 2012

    Durée: 1h45

    Casting: Nikohl Boosheri, Sarah Kazemy, Reza Sixo Safai

     

      20001296_jpg-c_160_213_0-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg      20446712_jpg-c_160_213_0-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg20001285_jpg-c_160_213_0-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

    Résumé: Atafeh et sa meilleure amie Shirin fréquentent les soirées branchées du Téhéran underground. Elles essayent de profiter au mieux de leur jeunesse quand Mehran, le frère et complice d’Atafeh, devient membre de la police des mœurs. Alors qu’il désapprouve sévèrement leur besoin de liberté, Mehran tombe amoureux de Shirin. Ses sentiments vont vite tourner à l’obsession et mettre à l’épreuve l’amitié des jeunes filles.

    Mon avis: J'ai beaucoup aimé ce film. Tourné en farsi, il a nécessité une année entière de travail pour les acteurs principaux afin qu'ils perdent leur accent (français pour Sarah Kazemy, américain pour les deux autres). Le film montre très bien l'envie des jeunes iranien de s'émanciper et de vivre pleinement leur jeunesse et la répression toujours aussi sévère qui existe encore...
    La police des moeurs qui fait des "descentes" dans les fêtes underground, qui tabassent un jeune garçon, qui arrête Atafeh et Shirin en les traitant comme des moins que rien. Tandis que Shirin est interrogée dans une pièce vide, face au mur avec interdiction de voir ses geoliers et menacée de pendaison, Atafeh, assise sur une chaise est traitée de pute et d'autres nom charmants par deux femmes qui tournent autour d'elle comme des vautours.
    Dans ce pays où le moindre regard est considéré comme de la débauche, où le simple fait de doubler en farsi des films parlant d'homosexualité ou se sexe est considéré comme un acte de trahison (et conduira à la peine de mort un ami des deux filles, même si ce n'est que suggéré), il est naturel que les amitiés se transforment en quelques chose de plus troublant.
    Le frère d'Atafeh semble être un ancien drogué, si on se base sur certaines scènes entre son père et lui. Est ce qu'il croit réellement en l'intégrisme religieux? Ou est ce qu'il a l'impression de se trouver en intégrant la police des moeurs? Toujours est-il qu'il est l'exemple type de l'intégrisme de certains jeunes gens de la nouvelle génération qui se montrent plus traditionnalistes que la génération précédente. En effet on peut voir que le père d'Atafeh est plutôt libéral.
    La relation d'Atafeh et Shirin est mise en danger par le frère d'Atafeh, Mehrad. En effet, celui-ci, amoureux de Shirin, la demande en mariage et celle-ci est contrainte par son oncle d'accepter, car, après la nuit passée au poste, il ne l'autorise plus à repousser des prétendants (cela dit, Mehrad est un grand progrès par rapport aux prétendants que lui présentait son oncle, qui avaient tous dans les 20/30 ans de plus qu'elle). Mais Atafeh va mal le supporter et d'autant plus que Mehrad accentue de plus en plus sa surveillance.
    Mais Mehrad semble assez désespéré d'être aimé comme il est et Shirin n'est pas complètement insensible à ce qu'il ressent.
    Cette "perte" de l'amour exclusif que lui portait Shirin et la prise de conscience du manque de libertés dans le pays la pousseront à prendre une décision irréversible.

    Le film, interdit en iran, à été tourné au Liban.
    Il a été nominé 19 fois dans divers festivals et a remporté 3 prix: le prix du public dans la catégorie film de fiction, lors du Sundance film festival 2011; Le prix du meilleur talent émergeant pour Maryam Kesharvaz lors du Festival international du film de Rome et le prix d'interprétation pour Nikohl Boosheri et Sarah Kazemy lors du festival de films chéris-chéries 2011.

     


     

  • [Film] Black Swan

     

    affiche-black-swan-10362406zkkww.jpeg

    Titre original: Black Swan

    Réalisé par : Darren Aronofsky

    Date de sortie: 09 février 2011

    Durée: 1h43

    Casting: Nathalie Portman, Mila Kunis, Vincent Cassel

    Black-Swan-Natalie-Portman.jpg


    RésuméRivalités dans la troupe du New York City Ballet. Nina est prête à tout pour obtenir le rôle principal du Lac des cygnes que dirige l’ambigu Thomas. Mais elle se trouve bientôt confrontée à la belle et sensuelle nouvelle recrue, Lily...

     

    cassel03.jpeg                                     black-swan-mila-kunis-interview.png

     

    Mon avis: C'est un film dérangeant. On ne sait pas bien ce qui est réel ou ce qui ne l'es pas. si les situations sont réelles ou issues de l'imagination de Nina... Est-elle harcelée? Est-elle paranoïaque?  J'ai mis longtemps a me décider à voir ce film et je ne l'ai pas regretté. Le fait qu'il ait été tourné caméra à l'épaule rajoute au sentiment de déstabilisation qu'apporte le film au fur et à mesure de son avancée!


  • [Film] Alice au pays des merveilles

     

    Comme je reprends le boulot aujourd'hui, je vais avoir moins de temps pour alimenter le blog, heureusement qu'il y a la publication différée!!! Il va donc y avoir quelques articles Films/Livres, le temps que je reprenne le rythme et que je puisse me remettre aux fourneaux... (plus de swap pour question de budget et mes acquisitions pour mes collections se font rares pour les mêmes raisons!)

     

    AfficheFilm.jpeg

    Titre original: Alice in Wonderland

    Réalisé par : Tim Burton

    Date de sortie: 24 mars 2010

    Durée: 1h49

    Casting: Johnny Deep, Helena Bonham Carter, Mia Wasikowska, Anne Hathaway

    alice.jpeg


    RésuméAlice, désormais âgée de 19 ans, retourne dans le monde fantastique qu'elle a découvert quand 
    elle était enfant. Elle y retrouve ses amis le Lapin Blanc, Bonnet Blanc et Blanc Bonnet, le Loir, la Chenille, le Chat du Cheshire et, bien entendu, le Chapelier Fou. Alice s'embarque alors dans une aventure extraordinaire où elle accomplira son destin : mettre fin au règne de terreur de la Reine Rouge.

    Mon avis: J'ai bien aimé ce film. Alice se rappelle très bien le monde où elle a vécu ses première aventures malgré ceux qui s'évertuent à lui répéter qu'il ne s'agissait que d'un mauvais rêve. Elle peine a être une jeune fille "bien comme il faut". 
    Dans l'autre monde les choses se dégradent, la méchante reine étant de plus en plus incontrolable et une ancienne prophétie aidant, Alice va vite se retrouver de nouveau projetée dans cet autre monde qu'elle va voir à travers ses yeux d'adulte.
    Tim Burton a, comme à son habitude, réuni un casting intéressant avec ses deux acteurs fétiches: son épouse: Helena Bonham Carter et Johnny Deep dans les roles clefs de la reine de coeur et du chapelier toqué.

     

    la reine.jpeg                                   chapelier.jpeg

    sorciere blanche.jpeg
     

    Aimant beaucoup l'actrice Anne Hathaway, j'étais contente de la retrouver dans le role de la reine blanche, mais je me suis demandée à quoi servait ce personnage... Et son état permanent de béate ahurie m'a vite énervée. 

     

     

    Un film toutefois amusant, mélant humour et action, même si on se doute de la fin avant même le début du film!
     


  • [Film] Le chaperon rouge

    4155933.jpeg

    Titre original: Red riding hood

    Réalisé par : Catherine Hardwicke

    Date de sortie: 20 avril 2011

    Durée: 1h40

    Casting: Amanda Seyfried, Gary Oldman, Billy Burke, Max Irons, Shiloh Fernandez

    RésuméDans une histoire inspirée d’un célèbre conte de fées, une adolescente se retrouve en grand danger quand son village décide de chasser les loups-garous qui terrorisent la population à chaque pleine lune. Dans un endroit où tout le monde a un secret et est suspect, notre héroïne doit apprendre à suivre son coeur et trouver en qui elle peut avoir confiance.

    19699917_jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-20110323_021641.jpg

    Mon avis: Déjà le premier truc qui me vient à l'esprit: Est ce que Gary Oldman a déjà joué un rôle de gars 

    sympa en dehors de Sirius Black???
    Non parce que là il est imbuvable! Hautain, cruel, hypocrite... Rhaaaa! Il a de la chance d'avoir du charme!

     

    Sinon à part ce petit point là, j'ai beaucoup aimé cette version du film. Tout y est: la cape rouge, la grand mère... mais pas forcèment comme on les attend.

    Amanda Seyfried, que j'ai découvert dans la série Véronica Mars, est très convaincante dans le rôle de Valérie, jeune fille partagée entre l'homme qu'elle aime, Peter et celui que sa mère veut lui faire épouser, Henri et qui, depuis l'arrivée du malade en robe violette, a découvert un nouvel élément concernant le loup qui pourrait bien la conduire à sa perte.

    amanda-seyfried-portant-sa-cape.jpeg

    photo-Le-Chaperon-rouge-Red-Riding-Hood-2010-10.jpeg                             Le_Chaperon_Rouge_Michael_Shanks_arrive_au_cinema_1.jpg

    Heureusement qu'elle pourra compter sur ses deux prétendants pour la soutenir et se battre pour elle!

     


  • [Film] Comme t'y es belle!

    comme_t_y_es_belle__,0.jpeg

    Titre original: Comme t'y es belle

    Réalisé par : Liza Azuelos

    Date de sortie: 10 mai 2006

    Durée: 1h25

    Casting: Michèle Laroque, Aure Atika, Valérie Benguigui, Géraldine Nakache, Alexandre Astier, Thierry Neuvic, Andrew Lincoln...

    Résumé: Isa, Alice, Léa et Nina, liées par leurs familles séfarades autant que par leur amitié, partagent leurs vies entre les histoires de coeur, un institut de beauté sous contrôle fiscal, des enfants à élever, une nounou marocaine sans papier à pacser, des régimes à répétition, des fêtes familiales et religieuses à honorer, mais avant d'être belles, leur plus gros challenge reste d'être elles-mêmes.

    Mon avis: C'est vraiment mon film préféré parmi les non historiques. Je ne me lasse pas de le regarder. J'aime tout, des dialogues aux situations.

    Pour moi c'est clair que je m'identifie le plus à Alice. Je suis comme elle. Le mari et les enfants (bon j'aialice.jpeg pas d'enfants mais quand même), la femme au foyer quoi. (Parce que même si elle fabrique des crèmes, ne nous voilons pas la face, elle a pas l'obligation de se pointer au bureau tous les jours non plus.) Après peut être aussi la peur du changement. D'accepter une situation qui n'est plus satisfaisante parce que tout envoyer en l'air...ben c'est pas facile...

     

    J'ai plus de mal avec sa soeur et sa cousine, qui couchent un peu avec tout et n'importe quoi... ^^

     

    imagesCACD8J0S.jpeg                lea.jpg

    Peut être que je pourrais me retrouver dans Nina qui tombe amoureuse du type de qui il ne facomme-t-y-es-belle-2006-05-g.jpegut surtout pas tomber amoureuse (en tout cas, elle le pense), qui accumule les pauses nourriture-doudou (chocolat, nounours, chammalow...), et qui est "intégrée" à la famille parce que la sienne vit en israël (bon en ce qui me concerne, ils sont moins loin ^^)

     

     

     

     

    Et puis bien sûr, il y a une belle brochette de mecs!

    michel.jpeg            alexandre astier.jpeg            simon.jpeg

    Bref! Un film à voir!

     


  • [Film] Blanche neige

    blanche-neige-mirror-mirror-11-04-2012-3-g.jpeg

    Titre original: Mirror Mirror

    Réalisé par : Tarsem Singh

    Date de sortie: 11 avril 2012

    Pays d'origine

    Genre: Etats-Unis

    Durée: 1h45

    Casting: Julia Roberts, Lilly Collins, Armie Hammer, ...

    Résumé: Lorsque son père, le Roi, meurt, Blanche Neige est en danger. Sa belle-mère, cruelle et avide de pouvoir, l’évince pour s’emparer du trône. Quand la jeune femme attire malgré tout l’attention d’un Prince aussi puissant que séduisant, l’horrible marâtre ne lui laisse aucune chance et la bannit. Blanche Neige se réfugie alors dans la forêt… Recueillie par une bande de nains hors-la-loi au grand cœur, Blanche Neige va trouver la force de sauver son royaume des griffes de la méchante Reine. Avec l’aide de ses nouveaux amis, elle est décidée à passer à l’action pour reconquérir sa place et le cœur du Prince…

    Mon avis: Un film plein d'humour et de scènes cocasses. Julia Roberts casse l'image froide et glaciale de la méchante reine en campant une reine un brin givrée, bien entendu obsédée par son apparence et par le mariage.

    JR.jpeg

    De son coté, Lily Collins est aussi convaincante dans le rôle de l'ingénue un peu naïve que dans celui de la femme forte qu'elle est appelée à devenir.

    lc.jpeg

     Et c'est pour Armin Hammer, alias le pince Andrew Alcott que ces deux personnalités vont s'affronter (et accessoirement pour le royaume et le peuple qui va avec...)

    imagesCA8I8W10.jpeg

    Un film à voir. Pas un grand chef-d'oeuvre du cinéma, mais un bon film qui permet de passer un agréable moment en famille!


  • [Film] Epouses et concubines

     

    EpousesConcubinesAff.jpeg

     

    Titre original: Da hong deng long gao gao gua

    Réalisé par : Zhang Yimou

    Date de sortie: 20 décembre 1991

    Durée: 2h05

    Casting: Gong Li, Caifai He, Cao Cuifen

    Résumé: Songlian, jeune fille de dix-neuf ans, accepte de devenir la quatrieme epouse de maitre Chen Zuoqian. A travers son initiation aux rites du clan et sur quatre saisons, le film met en scene les intrigues que les femmes se livrent entre elles pour attirer l'attention du maitre et assurer leur suprematie.

    Mon avis: J'adore les films asiatiques, mais pas ceux de combats. Je préfère ceux comme Epouses et concubines, le sorgho rouge, etc... Dans Epouses et Concubines on est vraiment plongés dans cet univers de femmes où l'attention accordée par le maître la nuit précédente leur donne tous les avantages, jusqu'au contrôle des menus de repas. Elles se livrent un combat sans merci, dans l'espoir d'engendrer des fils qui assoieront leur statut. Peu préparée à ces coups bas, à cette lutte permanente, Songlian va devoir apprendre très vite à se défendre. Personne n'a l'air de ce qu'il est vraiment. Chacun joue un double jeu et il est difficile de savoir à qui on peut se fier. Moi je me serais fiée à personne, ça aurait été clair et net!

    Songlian est toute jeune, à chaque fois qu'il se marie, il les prend encore plus jeune. La maison est conçu pour maxi quatre épouses, alors autant qu'il se fasse plaisir hein! Gon Li est maginifique, plus encore quand elle était plus jeune...

    imagesCA5N4EVW.jpeg

    Mais mon personnage préféré est sans contexte Meishan, jouée par Caifai He, la troisième épouse, une vraie petite peste, mais qui n'est peut être pas aussi méchante qu'elle essaie de le faire croire.

    Meishan.jpeg

    En anglais, le film s'appelle Raise the Red Lantern. En effet tous les soir, les épouses et concubines se place devant le palier de la cour menant à leurs appartements et un serviteur vient placer une lanterne rouge devant celle que le maître a choisi d'honorer au son de: allumer les lanternes dans la (numéro de l'épouse) maison... et s'il décide de changer d'épouse dans la nuit, c'est à tut-tête que le serviteur en question prévient toute la maison: éteignez les lanternes dans la ... maison...! Bonjour l'intimité!

    imagesCA1KQN6O.jpeg