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Films - Page 13

  • [Film] #Chef

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    Titre original : Chef

     

    Réalisé par : Jon Favreau

     

    Date de sortie : 29 octobre 2014

     

    Genre : Comédie dramatique

     

    Pays d’origine : USA

     

    Durée : 1h54

     

    Casting : Jon Favreau, John Leguizamo, Sofia Vergara, Dustin Hoffman, Oliver Platt, Emjay Anthony, Robert Downey Jr…

     

    Résumé : Carl Casper, Chef cuisinier, préfère démissionner soudainement de son poste plutôt que d’accepter de compromettre son intégrité créative par les décisions du propriétaire de l’établissement. Il doit alors décider de son avenir. Se retrouvant ainsi à Miami, il s’associe à son ex-femme, son ami et son fils pour lancer un food truck. En prenant la route, le Chef Carl retourne à ses racines et retrouve la passion pour la cuisine et un zeste de vie et d’amour.

     

    Mon avis : Quand j’ai vu le film « A vif » de John Wells, j’ai été un peu déçu sur certains points et en particulier sur le fait que, pour un film qui se passe quasiment essentiellement dans les cuisine d’un restaurant, on ne se sente pas happé par l’univers de la restauration.
    Alors que je lisais les critiques pour voir si d’autres pensaient comme moi, un post disait : si vous voulez un vrai film sur un cuisinier qui revient aux sources de sa cuisine, regardez #Chef.
    Ce que j’ai fait. Et je ne suis pas déçue ! Loin de là !
    J’ai vu un film qui dose merveilleusement le coté humain et le coté cuisine. Un film qui ne se sert pas de l’univers de la restauration pour appâter le spectateur avant de parler de tout autre chose.
    Dustin Hoffman est hyper convaincant dans le rôle du patron de restaurant qui ne connaît rien à la cuisine mais qui impose des idées simplistes sous le seul prétexte qu’il paye pour le restaurant. Il est vraiment le stéréotype du gars qui croit que son argent lui donne tous les droits et n’a pas conscience que c’est le chef qui fait la réputation du restaurant et pas le propriétaire dont tout le monde se fiche.

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    On retrouve aussi une brigade qui voudrait bien soutenir le chef, dont elle partage les idées, mais qui n’ose pas tenir tête au patron parce qu’elle veut garder son emploi.

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    On a le meilleur ami, qui n’hésite pas à tout envoyer valser pour suivre son pote dans une aventure un peu folle mais tellement plus enrichissante que de cuisiner toujours les mêmes plats sans saveur.

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    Il y a également celui par qui tout arrive : le blogueur culinaire qui descend en flèche la cuisine servit dans le restaurant et qui provoque le craquage du chef et son départ pour d’autres horizons.

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    Du coté de la famille, l’ex femme est assez marrante. Non seulement elle est riche du fait de son premier divorce, mais elle n’hésite pas à mettre son premier ex mari

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    à contribution pour aider son second ex mari à réaliser son projet. Projet qu’elle le tanne de lancer depuis des années, persuadée qu’il s’agit là de ce qu’il lui faut. Et si à première vue, ce n’est qu’une bimbo, elle se révèle intelligente et avec le cœur sur la main.

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    Le projet, d’ailleurs n’aurait pas pris l’ampleur qu’il prend sans le gamin. Le fils du chef n’hésite pas à mettre sur tweeter une quantité d’informations pour les faire connaître, se servant du buzz provoqué par la dispute entre son père et le blogueur culinaire pour rallier le plus de « follower » possible sur le réseau social.

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    En plus de redonner l’envie de cuisiner au chef, cette aventure a pour but de rapprocher le père et le fils qui ont des liens affectueux mais distendus.
    Et enfin, il y a le chef.

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    Ce chef qui aime cuisiner, découvrir de nouvelles saveur, oser des associations inhabituelles pour éveiller le palais de ses clients,

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    mais qui est bridé par un patron frileux qui refuse le moindre changement de la carte, la moindre prise de risque. Dans ce restaurant, il ne se sent plus chef, il est tout juste commis, contraint d’exécuter à la chaîne, jour après jour, après jour, une carte qui n’évolue jamais, qui n’apporte jamais aucune surprise.
    Il est réticent à se lancer dans la cuisine de rue, car pour lui la consécration c’est d’avoir un restaurant, mais il va vite se rendre compte qu’il s’épanouira plus au volant de son camion, en cuisinant comme il l’entend, que dans une cuisine richement pourvue.

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    Et puis il va revoir le blogueur littéraire… mais ça, il faudra voir le film pour en connaître les conséquences !


     

     

  • [Film] Le voyage d'Arlo

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    Titre original : The Good Dinosaur

     

    Réalisé par : Peter Sohn

     

    Date de sortie : 25 novembre 2015

     

    Genre : Dessin Animé

     

    Pays d’origine : USA

     

    Durée : 1h34

     

    Casting : Jean Baptiste Charles (Arlo), Olivia Bonamy (Maman), Eric Cantona (le collectionneur)…

     

    Résumé : Et si la catastrophe cataclysmique qui a bouleversé la Terre et provoqué l'extinction des dinosaures n'avait jamais eu lieu ? Et si les dinosaures ne s'étaient jamais éteints, et vivaient parmi nous de nos jours ?  
    Arlo, jeune Apatosaure au grand cœur, maladroit et craintif, qui va faire la rencontre et prendre sous son aile un étonnant compagnon : un petit garçon sauvage, très dégourdi, prénommé Spot.

     

    Mon avis : Le voyage d’Arlo est un très beau dessin animé.
    Tout commence par un postulat : et si la météorite qui a entrainé l’extinction des dinosaures n’avait fait que frôler la terre ?
    Des millions d’années plus tard, les dinosaures vivent dans des huttes et certains, les herbivores, cultivent la terre.

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    Les humains existent, mais sont des animaux sauvages, qui, comme les loups, communiques par des grognements et des hurlements.
    Le début (la relation entre Arlo et son père, la tragédie qui touche la famille) rappelle un peu le début du roi lion. Comme Simba, Arlo se trouve séparé des siens, mais ici, il s’agit d’un accident. Mais son but diffère. Là où Simba essaie de construire sa vie ailleurs, Arlo, lui, ne désire rien d’autre que retrouver les siens.

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    Les dinosaures sont croqués volontairement de manière assez naïve, avec beaucoup de rondeurs, ce qui contraste avec la beauté époustouflante des paysages, comme si la nature était un personnage à part entière.

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    Les enfants vont voir dans ce dessin animé de vrais méchants mais des méchants qui ne traumatisent pas car ils sont aussi bêtes que méchants. Mais ils vont aussi voir que les premières impressions peuvent parfois être trompeuses, que des personnages effrayants peuvent être sympathiques et que d’autres à première vue amicaux peuvent être mauvais comme la gale.

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    Spot, le petit humain, me fait beaucoup rire. Il est débrouillard et ne recule devant rien. Il me rappelle mon chat : ridiculement petit au regard des proies qu’il prétend attaquer.

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    Arlo, dont le problème est qu’il est petit et peureux, va affronter ses peurs lors de son voyage.
    La fin m’a rendu triste, même si je me dis que c’est ce qu’il devait se passer, ce qui était le mieux.
    Ce dessin animé est une sorte de retour aux sources, avec une histoire comme celle de bambi, du roi lion ou de petit-pied. Et franchement, je pense que ça fait du bien aux enfants de retrouver ce genre d’histoires.


     

  • [Film] Titanic

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    Titre original : Titanic

     

    Réalisé par : James Cameron

     

    Date de sortie : 7 janvier 1998

     

    Genre : Drame

     

    Pays d’origine : USA

     

    Durée : 3h14

     

    Casting : Leonardo DiCaprio, Kate Winslet, Billy Zane, Kathy Bates, Gloria Stuart, Frances Fisher, Bernard Hill, Victor Garber, Eric Braeden, Michael Ensign, David Warner…

     

    Résumé : Southampton, 10 avril 1912. Le paquebot le plus grand et le plus moderne du monde, réputé pour son insubmersibilité, le "Titanic", appareille pour son premier voyage. Quatre jours plus tard, il heurte un iceberg. A son bord, un artiste pauvre et une grande bourgeoise tombent amoureux.

     

    Mon avis : Titanic, je l’ai vu trois fois dans la même semaine lors de sa sortie. Sans le vouloir en plus. J’y suis d’abord allée avec mes parents. Puis ma meilleure amie de l’époque a voulu que je l’accompagne. Et enfin, à ma grande surprise, ma grand-mère a voulu le voir aussi.
    Et bien, contrairement à d’autres films que j’ai vu plusieurs fois en peu de temps, je ne me suis ni ennuyée, ni endormie avec Titanic.
    Pourtant, sur un film de trois heures, on pourrait s’attendre à ce qu’il y ait des temps morts, mais non. Et même si mon père, avec son humour à trois francs six sous, me dit toujours : C’est pas la peine de regarder le film, je te le dis, à la fin le bateau coule, je ne l’écoute pas et je regarde, encore et encore…

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    Et bien, même si on connaît « la fin » (en même temps, dès qu’un film est basé sur une réalité historique, on se doute plus ou moins de comment ça se termine), je ne me lasse jamais (même si je ne le regarde plus trois fois dans la même semaine, je n’ai plus seize ans, je n’ai plus la santé).
    Rien que la musique me met immédiatement dans l’ambiance. Je ne parle pas de la chanson phare du film « My Heart will go on », interprétée par Céline Dion (d’ailleurs quand on pense que James Cameron ne voulait pas de chanson et que Céline Dion ne voulait pas chanter ce titre, on se demande comment elle a fini par devenir ce titre aussi célèbre que l’on connaît aujourd’hui), mais de la musique que l’on entend tout au long du film, par petite touche, et qui a été créé par James Horner.
    Si l’histoire principale est portée par des personnages fictifs (Jack, Rose, Cal…),

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    James Cameron n’en a pas oublié pour autant ceux qui étaient réellement à bord du Titanic, comme Molly Brown,

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    Thomas Andrews (l’architecte du Titanic, qui lors du naufrage a tenté de sauver un maximum de monde sans songer à sa propre survie),

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    John Jacob Astor (qui après avoir aidé des personnes à monter dans les canots a libéré les chiens du chenil, pour leur donner une chance)

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    ou encore Benjamin Guggenheim (qui après avoir fait monter sa maitresse dans un canot s’est rendu célèbre en retournant dans la salle de réception après avoir déclaré « Nous nous sommes habillés de notre mieux et nous sommes prêts à mourir comme des gentlemen »)

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    Le choc avec l’iceberg se produit au bout d’1h30 de film, ce qui veut dire que la partie consacrée uniquement à l’histoire d’amour (même si elle se prolonge jusqu’à la fin) et celle où se déroule le naufrage sont à peu près d’égale longueur, ce qui distingue ce film des autres films catastrophe.

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    J’ai découvert Kate Winslet dans ce film, dans le rôle de Rose DeWitt-Bukater, et depuis j’adore cette actrice.

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    Une petite anecdote sur le nom des personnages fictifs. Alors qu’il avait déjà choisi le nom de Jack Dawson, James Cameron a découvert qu’il y avait vraiment eu un J. Dawson à bord du RMS Titanic. Il ne s’agissait pas d’un passager, mais d’un des ingénieurs du paquebot qui a périt dans le naufrage.

    Au début du film, on voit des plans de la véritable épave. Pour cela, James Cameron demanda à son frère Mike de créer, en collaboration avec Panavision, une caméra capable de résister à la pression de l’eau à 4000m de profondeur (où se trouve l’épave) c'est-à-dire 2000kg au cm². Et tout ça pour avoir de meilleurs plans !

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    James Cameron a laissé place à l’improvisation chez ses acteurs, comme dans la scène où Rose remercie Jack sur le pont, ou encore quand Jack dessine Rose et lui dit « Allongez vous sur le lit…je veux dire le sofa », il s’agit d’une vraie erreur de texte de l’acteur. Il faut dire que c’était la toute première scène tournée, James Cameron voulant « briser la glace » entre les deux acteurs.

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    Le naufrage en lui-même est impressionnant. Et, si on sait bien qu’il s’agit d’effets spéciaux, on sait que les choses se sont réellement passées comme ça et on ne peut s’empêcher de penser à toutes ces victimes. Tous ceux qui étaient sous les cheminées quand elles sont tombées, sous la poupe du bateau quand celui-ci s’est fendu jusqu’à la quille et qu’elle est retombée à plat sur l’eau, ceux qui ont chuté de plusieurs dizaines de mètres, et ceux qui sont tombés, encore vivants, dans cette eau glaciale.
    Et j’ai beau avoir vu ce film un nombre incalculable de fois, la fin me fait toujours pleurer !
    En général, je n’aime pas la 3D, ça me donne mal à la tête, mais là, je serais curieuse de voir ne serait-ce que la partie naufrage en 3D. Je pense que ça doit être impressionnant !


     

     

  • [Film] Les suffragettes

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    Titre original : Suffragette

     

    Réalisé par : Sarah Gavron

     

    Date de sortie : 18 novembre 2015

     

    Genre : Drame

     

    Pays d’origine : Angleterre

     

    Durée : 1h47

     

    Casting : Carey Mulligan, Helena Bonham Carter, Brendan Gleeson, Anne-Marie Duff, Natalie Press, Meryl Streep….

     

    Résumé : Au début du siècle dernier, en Angleterre, des femmes de toutes conditions décident de se battre pour obtenir le droit de vote. Face à leurs revendications, les réactions du gouvernement sont de plus en plus brutales et les obligent à entrer dans la clandestinité pour une lutte de plus en plus radicale. Puisque les manifestations pacifiques n’ont rien donné, celles que l’on appelle les suffragettes finissent par avoir recours à la violence pour se faire entendre. Dans ce combat pour l’égalité, elles sont prêtes à tout risquer: leur travail, leur maison, leurs enfants, et même leur vie. Maud est l’une de ces femmes. Jeune, mariée, mère, elle va se jeter dans le tourbillon d’une histoire que plus rien n’arrêtera…

     

    Mon avis : Ce film pose la grande question, celle que l’on se pose depuis le début de l’humanité et pour laquelle on n’a toujours pas de réponse : Qu’y-a-t-il chez la femme qui effraie l’homme à ce point ?
    Maud, le personnage principal, n’était pas une suffragette. C’est la violence de la police et du gouvernement qui l’a poussée à l’être.

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    Après avoir témoigné des conditions de sa vie de blanchisseuse devant un politicien à la place d’une amie, elle se rend à un rassemblement pour connaître les résultats des démarches faites devant le premier ministre. Devant la grogne des femmes qui se sentent trahies, les policiers ont une réaction immédiatement extrêmement violente, frappant les femmes à coups de matraque et de pied. Quand Maud essaye d’empêcher un policier de frapper une femme à terre, elle est frappée à son tour et jetée en prison.
    Cette injustice va être le départ de son implication dans le mouvement.
    Bien sûr son séjour en prison aurait pu l’éloigner du combat et la « remettre dans le droit chemin » selon l’expression de l’inspecteur chargé de l’affaire.

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    Mais cela s’ajoute à une vie de misère, un travail difficile commencé à l’âge de 7 ans, un salaire moins élevé que celui d’un homme mais pour un tiers de temps en plus et dans des conditions plus difficiles et plus dangereuses, un patron qui abuse sexuellement de ses ouvrières sans qu’elles ne puissent rien dire au risque de perdre leur emploi… un ras le bol qui pousse cette mère de famille sans histoire à s’engager dans l’espoir d’une vie meilleure.

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    Du coté des maris, les réactions sont telles qu’on peut l’imaginer, cela va de la privation de moyens financiers jusqu’à la violence pure et simple en passant par l’expulsion du foyer.
    Il faut dire que la loi est faite par les hommes et pour les hommes. Les enfants appartiennent exclusivement à l’homme, comme le foyer, comme l’argent, même s’il a été apporté au ménage par la femme. Elles dépendent complètement de leur père, de leur frère ou de leur mari.
    Le film est porté par trois excellentes actrices : l’excellente Helena Bohnam Carter qui campe Edith, la seule soutenue par son mari,

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    Anne marie Duff qui joue Violet, celle qui va introduire Maud dans le milieu

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    et Carey Mulligan qui campe Maud.

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    Meryl Streep Fait quelques apparition dans le rôle d’Emmeline Pankhurst, celle qui a créé la branche des suffragettes usant de violence.

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    Dans ce film, on côtoie des femmes ayant réellement existé, comme Emmeline Pankhurst ou Emily Davison

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    qui ont eu des impacts majeurs sur la cause, et des rôles fictifs.
    Et le générique nous livre, chronologiquement, la date où le droit de vote a été accordé aux femmes dans les différents pays.


     

  • [Film] Heidi

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    Titre original : Heidi

     

    Réalisé par : Alain Gsponer

     

    Date de sortie : 10 février 2016

     

    Genre : Jeunesse

     

    Pays d’origine : Suisse, Allemagne

     

    Durée : 1h46

     

    Casting : Anuk Steffen, Bruno Ganz, Isabelle Ottmann, Quirin Agrippi, Katharina Schuttler, Hannelore Hoger…

     

    Résumé : Heidi, une jeune orpheline, part vivre chez son grand-père dans les montagnes des Alpes suisses. D'abord effrayée par ce vieil homme solitaire, elle apprend vite à l'aimer et découvre la beauté des alpages avec Peter, son nouvel ami. Mais la tante d'Heidi, estimant qu’il ne s'agit pas là d'une éducation convenable, place la fillette dans une riche famille de la ville. Heidi va-t-elle supporter cette vie, loin de la montagne et de son grand-père ?

     

    Mon avis : J’ai découvert Heidi, non pas en lisant les livres (promis un jour je le ferais) mais dans les cassettes et fascicules « raconte moi des histoires » au coté de gobolino chat de sorcière ou de Tirondin et sa mémé croche.
    Heidi c’est donc toute mon enfance et j’attendais beaucoup de ce film tout en étant assez craintive du résultat (les adaptations ciné n’étant pas toujours très heureuses).
    J’ai trouvé que le film suivait parfaitement l’histoire que j’ai découvert à l’époque, je n’y ait pas trouvé d’exagération, de scènes rajoutées dont on se demanderait presque quel est le rapport avec la choucroute. Ici tout coule naturellement, les scènes qui n’était pas dans l’histoire que j’ai connue (mais qui sont peut être dans le livre) s’intègrent naturellement dans le film.
    Du coté des personnages, la petite actrice qui interprète Heidi est vraiment adorable et d’une grande justesse. Tout comme Clara d’ailleurs.

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    Le grand-père, qui n’a pas de prénom et est appelé grand-père par tout le monde, parle peu, ce qui rajoute à son coté taciturne de vieil ermite. Il ne s’ouvre quelque peu qu’avec Heidi, mais son affection pour elle passe plus par les gestes (lui préparer un bon déjeuner pour aller sur l’alpage, lui construire une chaise…) que par des mots.

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    Mlle Rottenmeier est plus jeune qu’elle ne l’était dans l’histoire que je connais. Dans mes souvenirs c’est une vieille femme sèche et sévère, alors qu’ici c’est une femme assez jeune, sévère et rigide, qui semble nourrir quelques sentiments pour son patron. Sa réaction face aux chatons ramenés par Heidi et Clara est hilarante.

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    La grand-mère me semble plus fantasque mais tout aussi adorable.

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    Quant à Peter, c’est un petit chevrier assez rude, mais qui se révèle très sympathique quand Heidi arrive à l’apprivoiser un peu.

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    Les paysages sont splendides et on comprend pourquoi Heidi veut à ce point retrouver ses chers alpages.
    D’après ce que j’ai lu dans les différentes critiques, le film couvre les deux premiers tomes des aventures d’Heidi : « Heidi » et « Heidi grandit ».
    Ce film m’a enchantée et m’a donné très envie de découvrir enfin les livres.


     

  • [Film] Zootopie

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    Titre original : Zootopia

     

    Réalisé par : Byron Howard, Rich Moore, Jared Bush

     

    Date de sortie : 17 février 2016

     

    Genre : Film d’animation

     

    Pays d’origine : USA

     

    Durée : 1h48

     

    Casting : Marie-Eugénie Maréchal (Judy Hopps), Alexis Victor (Nick Wilde), Pascal Elbé (chef Bogo), Claire Keim (l’adjointe au maire Bellwether), Fred Testot (Benjamin Clawhauser)…

     

    Résumé : Zootopia est une ville qui ne ressemble à aucune autre : seuls les animaux y habitent ! On y trouve des quartiers résidentiels élégants comme le très chic Sahara Square, et d’autres moins hospitaliers comme le glacial Tundratown. Dans cette incroyable métropole, chaque espèce animale cohabite avec les autres. Qu’on soit un immense éléphant ou une minuscule souris, tout le monde a sa place à Zootopia !
    Lorsque Judy Hopps fait son entrée dans la police, elle découvre qu’il est bien difficile de s’imposer chez les gros durs en uniforme, surtout quand on est une adorable lapine. Bien décidée à faire ses preuves, Judy s’attaque à une épineuse affaire, même si cela l’oblige à faire équipe avec Nick Wilde, un renard à la langue bien pendue et véritable virtuose de l’arnaque …

     

    Mon avis : J’ai adoré ce dessin animé car il n’est pas que pour les enfants : entre les clichés sociaux (il n’y a que des paresseux à la préfecture, que des brutes épaisses dans la police), les références cinématographique (le parrain campé par une musaraigne) et les différents clins d’œil à d’autres dessins animés, au piratage (« J’ai même des films qui n’ont pas encore été tournés »), il y a là tout un aspect du film qui passera allégrement au dessus de la tête des enfants mais qui ravira les parents (ou pas parents d’ailleurs).
    Malgré un univers idyllique sur le papier, Judy Hopps, nouvelle recrue de la police et première lapine a y être intégrée (au milieu des buffles, rhinocéros et éléphants), va vite, si ce n’est déchanter, revenir du moins à la réalité.

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    Ce n’est pas parce que les prédateurs ont cessés de guetter d’innocents lapins au détour d’un arbre dans un coin sombre de la forêt que tout va bien dans le meilleur des mondes.
    La méfiance entre les espèces demeure. Il n’y a qu’à voir le discours anti-renard que ses parents tiennent à la jeune lieutenant le jour de son départ pour Zootopie.
    Même entre herbivore, il y a une certaine hiérarchie officieuse, ainsi, le chef de la police, un buffle imposant, accepte mal qu’on lui ait affecté un lapin qu’il juge inutile et indigne d’être autre chose qu’un cultivateur.

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    De plus, qui dit civilisation, dit lois. Et qui dit lois, dit malheureusement contrevenants à la loi. De la place de parking impayée, à la fraude fiscale en passant par les petits cambriolages, la police ne chôme pas.
    Et depuis quelques temps, une affaire de la plus haute importance occupe les esprits : des mammifères, tous de grands prédateurs, ont disparus.

    Là encore, une différence entre les espèces se crée : lorsque qu’une loutre vient déclarer la disparition de son mari, tout le monde s’en fout (je schématise) et personne ne le rajoute à la liste des prédateurs disparus alors que la loutre est bel est bien un prédateur, petit, certes, mais prédateur tout de même.
    Judy voit là sa chance de faire ses preuves et obtient un délai d’enquête.
    Elle embarque avec elle, usant d’un odieux chantage (bien mérité cela dit), un renard, arnaqueur professionnel et part sur les différentes pistes.

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    Mon passage préféré reste la rencontre avec Mr Big, parrain de la mafia et musaraigne de son état, affublé d’un accent italien forcé digne des plus anciens films sur la mafia.

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    Et je ne vous en dirai pas plus, mais sachez que Flash, le paresseux, n’a pas totalement usurpé son nom !

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    J’ai apprécié la patte de Pixar qui fait qu’il n’y a pas de chanson (hormis celle qu’écoute à un moment Judy sur son Ipad) dans ce DA. On évite un peu le coté comédie musicale qui fait qu’une fois qu’on a vu le film une fois avec un enfant, on n’entendra plus que la chanson phare, chantée à tût-tête pendant des semaines, nous faisant presque regretté d’avoir vu le film avec lui au lieu d’y être allé en traître.
    Le DA semble presque inspiré de La Fontaine avec les animaux faisant passer des messages contre le racisme, pour l’intégration sociale et pour la lutte contre le terrorisme de manière moins abrupte et austère.



     

  • [Film] Anastasia

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    Titre original : Anastasia

     

    Réalisé par : Don Bluth et Gary Goldman

     

    Date de sortie : 04 février 1998

     

    Genre : Film d’animation

     

    Pays d’origine : USA

     

    Durée : 1h25

     

    Casting : Céline Monsarrat (Anastasia), Emmanuel Curtil (Dimitri), Jean-Michel Farcy (Vladimir), Lucienne Chiaroni (L’impératrice Marie), Patrick guillemin (Bartok)…

     

    Résumé : Saint-Pétersbourg, 1917. Comment l'impératrice Marie et sa petite fille Anastasia vont être sauvées du funeste sort, provoqué par la révolution, qui s'abat sur la famille impériale, par un jeune employé de cuisine : Dimitri. Mais le destin les sépare une nouvelle fois. Dix ans après la chute des Romanov, une rumeur persistante se propage : la fille cadette de l'empereur serait encore en vie...

     

    Mon avis : Ce dessin animé n’est pas un Disney mais la confusion est fréquente. D’ailleurs en ce qui me concerne, il est rangé avec les Disney car je trouve que sa qualité est similaire.
    L’histoire s’inspire  du mystère ayant entouré Anastasia. En effet quand les corps de la famille royale furent exhumés, il manquait le tsarévitch et l’une des filles. Aussitôt, on a pensé qu’il s’agissait d’Anastasia (la plus jeune) et qu’elle était donc sûrement vivante. Le nombre de personnes ayant prétendue être la princesse disparue a alimenté cette rumeur, bien que chaque fois la preuve de l’imposture ait été apportée.
    Finalement, les corps manquants furent retrouvés. En 2008, des analyses génétiques ont prouvés qu’il s’agissait bien des corps du tsarévitch et de la grande duchesse Maria (et non d’Anastasia comme on l’a si longtemps pensé).
    Le dessin animé exploite aussi le caractère surnaturel que l’on a attribué à Raspoutine du fait de son « refus de mourir » lors de son assassinat (peut être empoisonné, battu, abattu de trois balles à bout portant puis jeté dans la Nera, son autopsie révèle de l’eau dans ses poumons. Il était donc vivant lorsqu’il fut jeté à l’eau, et ce malgré tout ce qu’il avait subi).

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    Dans le dessin animé, Raspoutine, coincé dans une sorte d’enfer, se sert de son serviteur, Bartok, une chauve souris très comique (même s’il ne le fait pas exprès), pour tenter de faire aboutir sa vengeance contre la famille Romanov.

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    Les chansons sont entraînantes et facile à retenir. Elles ponctuent l’histoire sans l’éclipser.
    Anya/Anastasia, amnésique, va former sa personnalité d’adulte à partir de ce qu’elle est devenu à l’orphelinat (une jeune femme débrouillarde et protectrice envers les plus jeunes) et des souvenirs de son enfance qui vont revenir peu à peu au fur et à mesure de son voyage vers Paris, où elle espère retrouver l’impératrice Marie et découvrir qui elle est vraiment.

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    Les dessins, l’histoire et les chansons, un cocktail efficace pour enchanter les petites filles (et les plus grandes) !

     

  • [Film] Nous trois ou rien

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    Titre original : Nous trois ou rien

     

    Réalisé par : Kheiron

     

    Date de sortie : 4 novembre 2015

     

    Genre : Comédie dramatique

     

    Pays d’origine : France

     

    Durée : 1h42

     

    Casting : Kheiron, Leïla Bekhti, Gérard Darmon, Zabou Breitman,

    Alexandre Astier…

     

    Résumé : D’un petit village du sud de l’Iran aux cités parisiennes, Kheiron nous raconte le destin hors du commun de ses parents Hibat et Fereshteh, éternels optimistes, dans une comédie aux airs de conte universel qui évoque l’amour familial, le don de soi et surtout l’idéal d’un vivre-ensemble.

     

    Mon avis : Kheiron parle avec beaucoup d’humour d’une histoire qui n’a pas toujours du être facile : la fuite d’Iran de ses parents et leur installation en France.
    Avant même de rencontrer Fereshteh, la mère de Kheiron, Hibat, le père de Kheiron, a fait 7 ans de prison pour son opposition au Shah d’Iran.
    Continuant à marquer son opposition par tous les moyens, il sera régulièrement battu et isolé par les gardes.

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    Lorsqu’il sort enfin, il rencontre Fereshteh et la demande quasi immédiatement en mariage.

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    J’ai beaucoup ri lors de la fameuse demande officielle entre le père qui tente de prendre un air patibulaire et se fait reprendre de volée par sa femme et sa fille, et le discours de Hibat qui répète docilement (plus ou moins) ce que lui a dicté sa fiancée.

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    Quand le Shah est enfin chassé on peut voir l’espoir et le soulagement,

    nous trois ou rien shah.jpgaussitôt balayé quand la majorité des révolutionnaires réalisent qu’ils ont chassé un dictateur pour en mettre un autre au pouvoir, peut être pire encore que le précédent.
    La répression s’intensifiant, Hibat, Fereshteh et Kheiron, qui a à peine un an, sont contraint de fuir le pays.
    La fuite à travers les montagnes, avec tous les dangers que cela représente, est très bien décrite même si le réalisateur ne s’attarde pas dessus outre mesure.
    Puis vient l’installation en France, avec la barrière de la langue et l’environnement d’une cité de la banlieue de Paris, laissée à l’abandon, et où les affrontements entre les jeunes et la police sont régulier.
    Hibat et Fareshteh vont tout deux, chacun dans leur domaine, se battre pour réveiller les consciences et convaincre chacun de s’unir aux autres pour améliorer leurs conditions de vie.

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    Le film est très bien tourné, les personnages légèrement caricaturés, certains tout le temps (comme le Shah), d’autre dans certaines situation, afin d’accentué le coté humoristique sans pour autant faire disparaître l’émotion.
    A la fin du film, le pré-générique se compose de photos des évènements du film ou de certains protagonistes, à coté desquelles sont placées les photos de vraies personnes.
    Kheiron interprète le rôle de son père et Leïla Bekhti campe avec justesse et humour Fareshteh.
    Je ne me suis pas ennuyée une seconde.

     

  • [Film] L'hermine

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    Titre original : L’hermine

     

    Réalisé par : Christian Vincent

     

    Date de sortie : 18 novembre 2015

     

    Genre : Comédie dramatique

     

    Pays d’origine : France

     

    Durée : 1h38

     

    Casting : Frabrice Luchini, Sidse Babett Knudsen, Eva Lallier, Victor Pontecorvo, Candy Ming…

     

    Résumé : Michel Racine est un Président de cour d'assises redouté. Aussi dur avec lui qu'avec les autres, on l'appelle " le Président à deux chiffres ". Avec lui, on en prend toujours pour plus de dix ans. Tout bascule le jour où Racine retrouve Ditte Lorensen-Coteret. Elle fait parti du jury qui va devoir juger un homme accusé d'homicide. Six ans auparavant, Racine a aimé cette femme. Presque en secret. Peut-être la seule femme qu'il ait jamais aimée.

     

    Mon avis : Je n’ai pas vraiment réussi à m’intéresser à tout ce qui n’est pas le procès. Le terrible président de cour d’assise a un coté très pathétique dans sa vie privée.

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    Parce que, des années auparavant, le médecin qui le soigne après un accident, lui prend la main par compassion, pour lui apporter du réconfort, il tombe amoureux d’elle et voyant qu’elle ne partage pas l’intensité de ses sentiments s’en trouve dévasté au point d’être troublé quand il la voit parmi les jurés.

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    A part pour donner une humanité à l’implacable magistrat, je n’ai trouvé aucun intérêt à cette pseudo histoire d’amour.
    En revanche, j’ai adoré toute la partie procès et particulièrement la scène où il vient expliquer aux jurés leur rôle et les frustrations qui peuvent en découler.

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    J’ai beaucoup aimé le déroulement de l’affaire, et la manière d’agir du Président de la Cour qui est en totale contradiction avec la réputation qu’il a, du moins je trouve.
    En revanche je trouve anormal que les magistrats chargés de diriger les débats des jurés les influencent tant et les montent contre Racine sans la moindre hésitation.
    Fabrice Luchini a un jeu beaucoup plus sobre que d’habitude, d’habitude il a un jeu plus saccadé, plus sautillant si j’ose dire. Ici il est plus introverti mais toujours avec ce petit je-ne-sais-quoi qui fait toute sa légende.
    Pour en revenir au procès, dès le début, je ne sentais pas cette histoire. Le coupable me semble cacher quelque chose et la mère de la fillette qui a été tuée et qui s’est constituée partie civile encore plus.
    Pour moi, c’est elle qui a tué sa fille, exaspérée par les pleurs et lui ne fait que la protéger.
    Après est ce que j’ai vu juste… ça…c’est une autre chose.


     

  • [Film] The hunger games – La révolte partie 2

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    Titre original : The hunger games : Mockingjay part 2

     

    Réalisé par : Francis Lawrence

     

    Date de sortie : 18 novembre 2015

     

    Genre : Young Adult

     

    Pays d’origine : USA

     

    Durée : 2h17

     

    Casting : Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson, Liam Hemsworth, Woody Harrelson, Elizabeth Banks, Stanley Tucci, Donald Sutherland, Willow Shield, Philip Seymour Hoffman, Julianne Moore…

     

    Résumé : Alors que Panem est ravagé par une guerre désormais totale, Katniss et le Président Snow vont s’affronter pour la dernière fois. Katniss et ses plus proches amis – Gale, Finnick, et Peeta – sont envoyés en mission pour le District 13 : ils vont risquer leur vie pour tenter d’assassiner le Président Snow, qui s’est juré de détruire Katniss. Les pièges mortels, les ennemis et les choix déchirants qui attendent Katniss seront des épreuves bien pires que tout ce qu’elle a déjà pu affronter dans l’arène…

     

    Mon avis : Dans ce tome, Katniss se retrouve au front (mais sa façon d’y arriver diffère de celle du livre).

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    Coin m’énerve de plus en plus : elle est arrogante et ne cherche qu’à se servir de Katniss.

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    Dès que la guerre atteint le capitole, elle devient plus violente. Celui-ci est truffé de pièges plus sanglants les uns que les autres (sans compter les pacificateurs) et tous les combattants, les rebelles comme les appelle Snow ne s’en sortiront pas vivants (c’est logique remarquez). Il faut dire que ce sont les concepteurs des jeux des hunger games qui ont conçu ces pièges alors autant dire que ça va pas rigoler.
    Comme souvent dans les trilogies découpées en 4 films, ce dernier opus est celui où ça tire le plus : coup de feu, explosions, hurlements, on a droit à tout.

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    Je ne sais pas de qui est pire de Coin ou de Snow mais, bien que ça puisse paraître bizarre compte tenu de tout ce que Snow a fait, je crois que Coin est pire encore. Je me demande si elle a prit toutes ses décisions sans en parler à quiconque ou si d’autres personnes étaient au courant (comme Haymitch ou Plutarch)

    Il est difficile de faire une chronique plus fouillée sans trop en révéler tant il se passe de choses.
    Mais comme pour la fin du livre, que le film respecte bien, je trouve une partie du final très amorale et j’aurais préféré que les personnages s’abstiennent.
    Quant à l’épilogue (oui je distingue le final de l’épilogue), il est conforme au livre.
    Dans l’ensemble, même si ce dernier opus est celui qui présente le plus de différences avec les livres, il en respectait quand même l’essentiel et clôture parfaitement la saga.