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  • [Livre] Contes pour faire peur

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    Résumé : Plusieurs fois récompensée pour ses ouvrages de science-fiction, Maura McHugh propose une nouvelle interprétation des contes de fées traditionnels sous leurs aspects les plus sombres.

    Ce recueil de contes revisités rassemble donc 20 histoires, certaines très célèbres, comme Blanche-Neige, Raiponce ou la Belle et la Bête, d'autres moins connues, mais tout aussi passionnantes. Pour peu que l'on aime les frissons et le suspense ! De sinistres personnages animés par de sombres desseins peuplent ces histoires qui font froid dans le dos. Impossible de lâcher ce livre avant d'en avoir refermé la dernière page. Âmes sensibles s'abstenir.


    Auteur : Maura McHugh

     

    Edition : Terres

     

    Genre : Fantastique

     

    Date de parution : 11 octobre 2013

     

    Prix moyen : 9€

     

    Mon avis :Le point le plus positif de ce livre est la couverture et les illustrations intérieures. Elles sont vraiment magnifiques.

    En ce qui concerne les contes, je ne les ai pas trouvé effrayants, ni tellement plus conforme aux contes originaux en ce qui concerne Raiponce, La belle au bois dormant ou encore le petit chaperon rouge. Le conte de Blanche-Neige ne fait état que d’une seule tentative de meurtre sur les trois perpétrées, le petit chaperon rouge se termine plutôt bien pour ledit chaperon que le conte original, la fin de Raiponce est beaucoup plus rapide et beaucoup moins douloureuse, surtout pour ledit prince et enfin la fin de la Belle au bois dormant ressemble à un Disney (alors que le conte a une seconde partie assez horrible et que le vrai conte original est juste affreux).

    Rien de bien nouveau donc, concernant les contes bien connus de tous.

    En revanche, j’ai apprécié de découvrir des contes moins connus, comme « La flûte en os », « Les souliers rouges », « Molly Whupple (qui soit a été tiré du petit poucet, soit l’a inspiré), « May et l’elfe chevalier », « L’apprenti sorcier » (rendu célèbre par Mickey dans Fantasia), « l’ile aux squelette » (qui a été mon préféré), « La mort est ma marraine » ou encore « La punition du Yogi ».

    J’ai aussi bien aimé relire des contes bien connus, mais que j’avais déjà lu ou entendu au moins une fois comme « Les sept corbeaux » que je connaissais dans une version plus sombre, ou encore « Vassilissa la Belle » où l’on rencontre la terrible Baba Yaga.

    C’était agréable de découvrir ou de redécouvrir ces contes, mais je n’ai vraiment rien trouvé d’effrayant.

    Dommage que la fin de certains contes ait été édulcorée, comme celle de Raiponce, car elles étaient, à défaut d’être effrayante, bien plus sombres.

     

    Un extrait :  Aucun autre enfant ne naquît. La naissance de Blanche-Neige avait rendu les choses impossibles. Robert n'y accordait aucune importance, tant il adorait sa fille et la chérissait comme son héritière — lui enseignant même des choses qu'Annabel considérait inappropriées pour une fille. Il la gâtait, et Annabel se rendait compte qu'il détournait l'enfant de sa mère.
      Blanche-Neige ne voulait pas demeurer assise près d'Annabel à écouter des histoires d'amour courtois tandis que sa mère brossait ses cheveux noirs. Elle se trémoussait d'impatience et roulait des yeux tandis que la reine lui enseignait l'art chevaleresque et les bonnes manières. Elle se plaignait d'être obligée de porter des robes trop habillées ou des chaussures qui lui pinçaient les pieds. Elle aimait se précipiter dans les couloirs, ses beaux cheveux volant derrière elle, et livrer des combats imaginaires avec les bêtes sauvages représentées sur les tapisseries.

      Pire encore, son père prenait souvent part à ses exhibitions sauvages. Ils riaient tous deux d'un bon rire franc et naturel. Ils parlaient avec une franchise désarmante, même s'ils s'exprimaient parfois avec impulsivité ou avec une excessive dureté. Pourtant, tout le monde reconnaissait que Blanche-Neige avait hérité de la beauté de sa mère, et heureusement pas du nez crochu de son père.

      Au bout d'un certain temps, Annabel cessa d'essayer de partager avec sa fille ses centres d'intérêts. Elle se concentra sur son statut de bonne épouse et de reine respectable. Elle brodait avec ses servantes, faisait sécher des fleurs sauvages, présidait à la marche du palais et organisait des banquets pour les dignitaires en visite. Les talents d'Annabel pour organiser de fastueux bals étaient devenus légendaires, et tout le monde se pressait pour figurer parmi la liste des invités. Toujours vêtue de la plus belle robe, elle éclipsait toutes les autres femmes. Celles-ci auraient voulu être à sa place, et les hommes la désiraient. Annabel restait fidèle à Robert, mais avec une certaine distance, consciente qu'elle avait été supplantée dans son affection.

     

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  • [Livre] Sorceline – T01 – Un jour je serai fantasticologue

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    Résumé : Sorceline fait sa rentrée à l'école de cryptozoologie où elle s'apprête à étudier les créatures légendaires.


    Auteur : Sylvia Douyé

     

    Edition : Vents d'ouest

     

    Genre : Bande dessinée

     

    Date de parution : 21 Mars 2018

     

    Prix moyen : 11€

     

    Mon avis : La BD s’ouvre sur l’arrivée de Sorceline sur une ile étrange où elle doit étudier la cryptozoologie.
    Les personnages sont un peu clichés.
    On les deux pestes blondes et jolies, qui ne reculent devant rien pour se faire bien voir, le beau ténébreux mystérieux, le chevalier servant fou amoureux de l’héroïne, le professeur qui semble en savoir plus qu’il ne veut bien le dire, la meilleure amie, afro-américaine, histoire de remplir les quotas, douée, intelligente mais qui ne supporte pas d’être contredite (Elle m’a fait penser à Hermione de Harry Potter, en fait), et enfin une héroïne dégourdie, mignonne, gentille, et semble être faite pour ce métier grâce à une mystérieuse ascendance.
    Le dessin est agréable, avec des couleurs toutes douces. Les dialogues sont intéressant, l’intrigue est sympathique et assez prenante.

    Je n’adhère pas à la théorie de Sorceline sur le sujet. Je pense qu’elle est bien directement concernée, mais pas de la manière dont elle le pense.

    J’ai hâte d’être au prochain tome pour voir si ma théorie se confirme et pour en apprendre un peu plus sur Sorceline.

     

    Un extrait :

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  • [Livre] La boîte à musique – T02 – Le secret de Cyprien

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    Résumé : Sitôt rentrée de sa première visite à Pandorient, le monde merveilleux de la boîte à musique, Nola ne pense qu'à y retourner. Lorsqu'elle repart en cachette, elle tombe en pleine fête nationale ! Tous les habitants sont en liesse, impatients d'assister à la parade du roi Hectorian Ier. Mais une affaire plus urgente appelle Nola et ses amis : Cyprien, le fils du sorcier Anton, est devenu la cible de fréquents rackets. Qui est derrière ces chantages ? Et dans quel but ? Il n'y a pas une minute à perdre, car le danger est bien réel... On en veut au roi !


    Auteur : Carbone

     

    Edition : Dupuis

     

    Genre : Bande dessinée

     

    Date de parution : 02 Novembre 2018

     

    Prix moyen : 12,5€

     

    Mon avis : Quelques temps après sa 1ère visite à Pandorient, Nola ne peut pas résister à l’envie d’y retourner et profite d’une absence de son père pour repasser le portail de la boite à musique.

    J’avoue que j’ai ressenti une pointe de déception. Dans le tome 1, un voisin qui se montre très agressif cache en réalité sa relation amoureuse, et Igor dit à Nola qu’à Pandorient, on n’est pas libre d’aimer qui on veut.

    Franchement, je m’attendais à ce que l’on revienne sur le sujet. Mais non, pas un mot.

    Cette fois, on parle de harcèlement, de racket et de terrorisme.
    Mais en 56p, le moins qu’on puisse dire, c’est que ces sujets sont à peine survolés.

    Je trouve les séjours de Nola trop courts pour que l’histoire puisse se développer. Peut-être que ce ne serait pas plus mal que chaque séjour de Nola s’étale sur au moins deux tomes, parce que, à aller trop vite, tout ce que provoque ce tome, c’est de la frustration.

    Le dessin est tout en rondeur mais je le trouve un peu trop flou à mon goût, un peu brouillon. Ce n’est franchement pas le coup de crayon que je préfère.

    Je reproche aussi le fait que le terrorisme soit traité par-dessus la jambe. Les personnages n’ont pas l’air de prendre la situation très au sérieux.

    Le dénouement est un peu trop rapide, presque bâclé.

    Je pense lire le 3ème tome, mais, si ces défauts ne s’atténuent pas un peu, si l’histoire ne gagne pas en profondeur, je ne pense pas que je continuerais l’aventure.

     

    Un extrait :

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  • C'est lundi que lisez-vous? #232

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    Rendez-vous initié par Mallou qui s'est inspirée de It's Monday, What are you reading ? de One Person’s Journey Through a World of Books. Le récapitulatif des liens se fait maintenant sur le blog I believe in Pixie Dust.

     

    Il s'agit de répondre à trois questions:

    Qu'ai-je lu la semaine passée?
    Que suis-je en train de lire?
    Que lirai-je après?

     

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    Et vous, que lisez-vous?

  • Premières lignes #74

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    Premières lignes est un rendez-vous livresque mis en place par Aurélia du blog Ma lecturothèqueLa liste des participants est répertoriée sur son blog (Si ce n’est que son rdv est le dimanche et que je mettrai le mien en ligne chaque samedi).
    Le principe est de, chaque semaine, vous faire découvrir un livre en vous en livrant les premières lignes.
    Pour ma part, j’ai décidé de vous faire découvrir mes coups de cœurs !

     

    Cette semaine, je vous présente Engrenages et sortilèges d'Adrien Tomas.

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    Grise sentit une boule se former dans son ventre dès qu’elle ouvrit les yeux. Aujourd’hui était le dernier jour des vacances d’hiver, le dernier jour passé à la maison, le dernier jour avant le retour à la fois tant attendu et tant redouté à l’Académie.
    Elle aimait pourtant aller en cours, apprendre l’art de la mécanique et de l’automatique, écouter ses professeurs disserter de la dernière merveille d’ingénierie sortie des ateliers impériaux, ou se plonger des heures entières dans les ouvrages de la vaste bibliothèque de mécanique, à la recherche de connaissances nouvelles sur tel engrenage, piston ou cadran…
    Et pourtant, quelque chose en elle hurlait sa hantise de retourner là-bas, à Celumbre, si loin au nord. Celumbre et son climat pluvieux, Celumbre et son vent mordant, Celumbre et ses habitants maussades. Malgré la science de ses enseignants, malgré le confort de son dortoir, malgré l’intérêt qu’elle portait à son cursus, Grise aurait tout donné pour rester ici, à Vérémise, la lumineuse, la solaire, la splendide capitale de l’Empire.
    Et pourquoi pas, après tout ? Qu’est-ce qui l’empêchait de rester ? Pourquoi, plutôt qu’étudier au sein d’une institution poussiéreuse, ne deviendrait-elle pas à la place l’apprentie du plus grand technologiste de l’Empire ? Pourquoi, au lieu de s’enfermer dans des salles de classe et d’apprendre stupidement par cœur la liste des soixante-dix sortes de boulons de sûreté, n’apprendrait-elle pas la mécanique directement de son plus génial disciple, son propre père, ingénieur d’État à la cour ?
    Ingénieur d’État qui ouvrit d’un jovial coup pied la porte de sa chambre, les mains occupées par un imposant plateau de petit déjeuner.
    – Bonjour, marmotte de fille ! tonna l’immense Elenzo Oolonga. Enfin réveillée ? Moi, je suis debout depuis cinq heures du matin ! J’ai eu le temps de finir deux automates et une pompe à puits ! Je n’ai jamais compris ceux qui geignent au sujet des insomnies : tout ce temps libre pour construire encore plus de choses, comment peut-on se plaindre ?
    Grise sourit. Son père avait à peine fait deux pas dans sa chambre que déjà il l’enveloppait de sa chaleureuse et perpétuelle litanie, son bavardage incessant et précipité qui n’attendait la plupart du temps aucune réponse. Elenzo Oolonga aimait parler, aux autres mais aussi – et surtout – à lui-même. Il adorait raconter que même son miroir, pourtant son plus fidèle confident, en avait parfois assez de l’entendre jacasser.
    Géant tout en muscles et en sourires, Elenzo Oolonga ressemblait à l’un de ces mythiques guerriers xamoréens, à la peau sombre, au poitrail saillant, aux bras cuivrés et aux longs dreadlocks ornés de plumes et de bijoux. Mais il n’allait pas jusqu’à arborer les amples robes blanches et noires traditionnelles de Xamorée, pas plus qu’il ne supportait de s’enfermer dans les stricts costumes à haut col et lavallière prisés par les autres ingénieurs d’État. Elenzo Oolonga se vêtait exclusivement de son éternelle salopette d’un rouge passé. À ses trois ceintures de cuir, passées autour de ses épaules et de sa taille, pendait sa collection entière d’instruments, de la pince la plus fine au marteau le plus impressionnant. Il était très strict à ce sujet : tous ses outils devaient impérativement se trouver à portée de main. Grise pensait que cette étrange manie était en grande partie responsable du cou de taureau et des épaules de colosse de son père, qui charriait chaque jour vingt kilos d’attirail bringuebalant.
    Seule son épouse, la mère de Grise, parvenait autrefois à le convaincre d’abandonner son matériel derrière lui lorsqu’il était convoqué au palais impérial. « Si tu arrives avec autant de métal sur toi, la Garde de Cuivre va croire que tu es là pour assassiner l’impératrice ! », l’avertissait Alimba Oolonga. Elenzo éclatait alors d’un gros rire, prenait sa femme dans ses bras pour l’embrasser (« Veux-tu bien cesser, grand idiot, protestait-elle en se tortillant, tes clefs à molette me rentrent dans le ventre ! ») et allait se débarrasser de ses ceintures. Grise sentit les larmes lui monter aux yeux en songeant à cette scène pas si lointaine et chassa rapidement l’image de son esprit.
    L’ingénieur déposa avec douceur le plateau sur les genoux de sa fille, puis s’assit sur le rebord du lit – en y laissant une vaste trace d’huile, la faute à une burette mal refermée. « Peu importe, songea Grise en fondant avec gourmandise sur la gelée de méduse : je ne dormirai plus ici avant les vacances d’été. »

     

    Alors, tentés?

     

  • [Film] Descendants 3

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    Titre original : Descendants 3

     

    Réalisé par : Kenny Ortega

     

    Date de sortie : 02 août 2019

     

    Genre : Aventure, jeunesse

     

    Pays d’origine : USA

     

    Durée : 1h51

     

    Casting : Dove Cameron, Sofia Carson, Booboo Stewart, Cameron Boyce, Mitchell Hope, China Anne McClain, Sarah Jeffery, Jadah Marie, Thomas Doherty, Dylan Playfair…

     

    Résumé : Mal, Evie, Jay et Carlos se rendent sur l'île de l'Oubli pour inaugurer une journée spéciale : quatre nouveaux enfants de méchants vont pouvoir rejoindre Auradon. Cet événement entre dans le cadre du projet du roi Ben de faire venir vivre au sein du royaume tous les enfants de l'île.

    Le jour où le groupe doit partir chercher les enfants, Ben demande Mal en mariage et cette dernière accepte, devenant la future reine d'Auradon. Cette demande rend la princesse Audrey folle de rage ; celle-ci est enfin revenue et désire plus que jamais se venger de Mal.

    Un soir, Audrey s'infiltre dans le musée du royaume et dérobe le sceptre de Maléfique qui lui permet d'acquérir de nombreux pouvoirs magiques. Pour l'affronter, Mal, Evie, Jay et Carlos vont devoir s'allier à d'anciens ennemis pour ce dernier combat qui pourrait sceller l'avenir d'Auradon.

     

    Mon avis : Le second volet avait supprimé les parents au jeu ridicule et avait vu le jeu des jeunes recrues s’améliorer nettement, le 3ème volet est meilleurs encore.
    Il est même plutôt bon, avec des jeunes acteurs plus aguerris et un assez bon jeu de la part des quelques parents présents qu’ils soient méchants ou héros.

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    Mal est toujours fiancée à Ben mais cette fois personne ne lui demande de changer.
    Lors de la demande officielle en mariage,

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    Audrey, fille de la Belle au bois dormant, poussée par les critiques de sa grand-mère qui n’a toujours pas digéré l’affaire, craque et s’empare du sceptre de Maléfique pour assouvir sa vengeance.

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    Le seul moyen de la contrer est de se servir de l’ambre bleue d’Hadès et de faire équipe avec Uma et ses deux acolytes.

    Pour obtenir le 1er, le lien secret qui uni Hadès à l’un des 4 descendants sera fort utile.
    Pour faire alliance avec Uma, Mal devra lui faire une promesse qu’elle sait ne pas pouvoir tenir.
    Harry Crochet et Gil Gaston sont aussi de la partie et ils semblent apprécier Auradon et s’y adapter plutôt bien.
    Ils font également des efforts pour s’entendre avec Carlos et Jay. Ce qui n’est pas vraiment le cas d’Uma et Mal qui passent leur temps à se bouffer le nez.

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    On peut dire qu’Evie, la fille de la méchante reine, va avoir fort à faire pour que ces deux fortes têtes se décident à faire quelques efforts pour s’entendre.
    Même si elle a renfilé ses fringues habituelles et arbore de nouveau sa chevelure violette, Mal a toujours tendance à prendre des décisions prudentes alors que Ben a plutôt envie de prendre le risque de faire changer les choses.
    Il a d’ailleurs pris de l’assurance, n’hésitant plus à rembarrer gentiment mais fermement son père pour lui rappeler que c’est lui, le roi.
    Ce volet est le dernier de la franchise (à moins que Disney change d’avis) et il est dédié à Cameron Boyce, qui interprétait Carlos d’enfer, et qui est décédé d’une crise d’épilepsie peu de temps après le tournage.

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    Mon petit péché mignon se termine là mais je suis sûre que je trouverais une autre histoire pleine de chansons et de bons sentiments.
    C’est pas ça qui manque !


     

  • [Livre] Et en plus, il cuisine

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    Résumé : Garden party, champagne et beau gosse ! Dans la vie, il y a des catastrophes inévitables. Des cataclysmes que l’on voit venir de loin mais que l’on sait inéluctables. Pour Agathe, l’anniversaire de mariage de ses parents appartient définitivement à cette catégorie. Car si la perspective de se noyer dans le champagne et les petits fours sous le soleil midi-pyrénéen, le tout entouré de rubans rose cuisse-de-nymphe-émue, peut être réjouissante, le fait de devoir annoncer à ses parents que le bienaimé, le terriblement adulé ex-futur-gendre Gregory ne sera pas là (et ne sera plus jamais là, sous peine de décapitation immédiate) dépasse le plus cauchemardesque des cauchemars. Une agréable distraction ne serait pas de refus, surtout si elle a de grands yeux bleus et une ressemblance frappante avec Channing Tatum...


    Auteur : Angéla Morelli

     

    Edition : Harlequin

     

    Genre : Chick Lit

     

    Date de parution : 05 Juin 2015

     

    Prix moyen : 2,99€

     

    Mon avis : Nous avons là une toute petite nouvelle (moins de 70 pages) mais vraiment bien construite. On regretterait presque qu’elle soit si courte mais d’un autre côté, plus longue, elle aurait risqué de devenir répétitive.

    Au début de l’histoire, Agathe apparait assez faible (comme ne se prive pas de le lui seriner Zoé, sa sœur) mais dès qu’on rencontre sa mère, on comprend mieux l’origine de ses complexes.

    Bon Dieu, cette femme est affreuse. Elle est despotique et on se demande comment la sœur d’Agathe fait pour la supporter au quotidien, elle qui continue à vivre dans la même ville.
    Agathe, elle, vit au moins à Paris, tandis que la famille est originaire du Sud-Ouest.

    J’ai beaucoup aimé Daphné, sa tante, tellement différente de sa sœur et mère d’Agathe et Zoé.

    Au vue du caractère impossible de son dragon de mère, il fallait bien l’anniversaire des 30 ans de mariage de ses parents pour qu’Agathe accepte de quitter Paris.
    Pour cette grande occasion, sa mère a engagé pour traiteur un ancien camarade de classe d’Agathe qui s’est, comment dire…bonifié avec le temps.

    Après sa rupture avec Gregory, alias Odieux Connard (et croyez-moi, le surnom est mérité), Agathe est très fragilisée dans ses relations avec les hommes.

    Elle a perdu toute confiance en elle, et le fait que ses parents adulaient littéralement cet abruti n’arrange rien. Mais c’est compter sans le beau traiteur qui a de la suite dans les idées.
    Bon, ça reste une nouvelle de chick lit, donc la fin est sans surprise, mais ça a été une petite lecture très agréable.

     

    Un extrait : Greg était l’ancien petit ami d’Agathe, qui avait mérité récemment le sobriquet d’Odieux Connard. Elle l’avait largué trois semaines auparavant après qu’elle l’avait surpris en train de démontrer à une blonde d’un mètre quatre-vingts à peine majeure les bienfaits de la levrette dans le lit conjugal. Même si Agathe n’était pas particulièrement émotive, elle en avait laissé tomber ses clés en criant de surprise. Greg avait eu la décence de ne pas achever ce qu’il était en train de faire mais pas celle de quitter élégamment les lieux. Agathe s’était donc retrouvée avec deux valises hâtivement remplies et son chat, le nez rougi et les yeux pleins de larmes, sur le paillasson de Jade qui lui avait offert l’asile, son canapé-lit et six tournées de mojitos. Personne dans sa famille ne savait qu’elle était désormais sans mec et sans domicile fixe.

     

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  • [Livre] La mort s’invite à Pemberley

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    Résumé : Rien ne semble devoir troubler l'existence ordonnée et protégée de Pemberley, le domaine ancestral de la famille Darcy, dans le Derbyshire, ni perturber le bonheur conjugal de la maîtresse des lieux, Elizabeth Darcy. Elle est la mère de deux charmants bambins ; sa sœur préférée, Jane, et son mari, Bingley, habitent à moins de trente kilomètres de là ; et son père adulé, Mr Bennet, vient régulièrement en visite, attiré par l'imposante bibliothèque du château.

    Mais cette félicité se trouve soudain menacée lorsque, à la veille du bal d'automne, un drame contraint les Darcy à recevoir sous leur toit la jeune sœur d'Elizabeth et son mari, que leurs frasques passées ont rendu indésirables à Pemberley. Avec eux s'invitent la mort, la suspicion et la résurgence de rancunes anciennes.


    Auteur : P.D. James

     

    Edition : France Loisirs

     

    Genre : Thriller

     

    Date de parution : 30 mai 2012

     

    Prix moyen : 15€

     

    Mon avis : J’ai beaucoup entendu parler de P.D. James mais je n’avais encore jamais eu l’occasion de la lire.
    Orgueil et préjugés est mon second livre préféré de l’œuvre de Jane Austen et j’aime toujours découvrir les suites imaginées par différents auteurs.
    Dans « La mort s’invite à Pemberley », l’histoire prend place plusieurs années après les mariages d’Elizabeth et de Jane. Les voilà bien établies et pourvues chacune de plusieurs enfants.
    La veille d’un bal donné chaque année en l’honneur de la défunte mère de Darcy, Lady Anne, la jeune sœur d’Elizabeth, Lydia, débarque, hystérique, hurlant que son mari a été tué dans les bois.
    Darcy et les quelques invités déjà présents, partent à la recherche de Wickham et le découvrent, ivre et couvert de sang, agenouillé près du cadavre de son ami, le capitaine Martin Denny.
    On ne peut pas dire qu’il y ait une enquête. La réputation de Wickham le précède et le magistrat appelé par Darcy a son opinion toute faite sur sa culpabilité.
    Malgré l’antipathie que Darcy ressent pour le jeune homme, il ne le croit pas capable de meurtre.

    L’histoire tient donc essentiellement dans le procès de Wickham.

    Celui-ci est long, pénible, autant pour l’accusé que pour son entourage et l’on peut voir Darcy et Elizabeth complétement épuisés par cette histoire.
    Lydia est égale à elle-même : égoïste, geignarde, sans une once de cervelle. Son attitude vis-à-vis d’Elizabeth est vraiment inqualifiable, au point que même Jane, qui trouve pourtant des excuses à tout le monde, fini par en avoir assez.

    Même s’il n’y a pas vraiment d’enquête, et dans la mesure où je n’ai cru une seconde à la culpabilité de Wickham, j’ai apprécié qu’on sache ce qu’il s’est passé, même si on ne le sait qu’à la fin du livre (comme dans un thriller, en fait).

    On a aussi le plaisir de voir une Georgiana toujours réservée mais moins timide. Elle a muri et s’est ouverte au monde au contact d’Elizabeth. J’ai regretté un peu qu’on ne la voit pas davantage, mais, en tant que jeune fille non mariée, sa place n’était pas, à cette époque, au cœur de la tourmente. Pour autant, j’ai savouré chacune de ses apparitions.
    J’ai aussi beaucoup que l’auteur cite, au fil de son récit, d’autres personnages issus de l’œuvre de Jane Austen, comme Sir Walter Elliott (du roman Persuasion) cité comme un ancien et éphémère employeur de Wickham, ou Robert et Harriet Martin, qu’on rencontre dans le roman Emma et qui sont cités dans la résolution de l’énigme.

    J’ai beaucoup aimé ces petits clins d’œil qui auront sûrement fait sourire les fans de Jane Austen.
    J’ai trouvé qu’on avait là une suite sympa d’Orgueil et préjugés, crédible, qui respecte bien le caractère des personnages ou qui explique le pourquoi de leur évolution.
    Un registre différent, certes, mais une super lecture.

     

    Un extrait : Elizabeth était trop réaliste pour ignorer que nul n’avait oublié ces antécédents et qu’aucune famille ne pouvait s’installer dans la région sans être dûment informée de la stupeur provoquée par le choix de Mr Darcy. Il était connu comme un homme fier, qui accordait une valeur suprême à la tradition et au prestige familial. Son propre père avait encore rehaussé la position de sa lignée en épousant la fille d’un comte. Il avait semblé qu’aucune femme ne posséderait les qualités requises pour devenir Mrs Fitzwilliam Darcy, et voilà qu’il avait jeté son dévolu sur la cadette d’un gentleman dont la propriété, grevée d’une clause de succession qui empêchait ses propres enfants d’en jouir à sa mort, était à peine plus vaste que le parc d’agrément de Pemberley. À en croire la rumeur, la fortune personnelle de cette jeune personne ne dépassait pas cinq cents livres ; et elle était affligée de deux sœurs célibataires et d’une mère d’une vulgarité telle qu’elle ne pouvait être reçue dans la bonne société. Qui pis est, une de ses jeunes sœurs avait épousé George Wickham, le fils déshonoré du régisseur du vieux Mr Darcy, dans des circonstances que la pudeur commandait d’évoquer à voix basse. Mr Darcy et sa famille se trouvaient ainsi encombrés d’un homme pour lequel il éprouvait un tel mépris que personne à Pemberley ne prononçait jamais le nom de Wickham et que le couple ne franchissait jamais la porte du château. Force était de reconnaître qu’Elizabeth était parfaitement respectable et les esprits les plus critiques eux-mêmes avaient fini par admettre qu’elle était plutôt jolie et qu’elle avait de beaux yeux, mais cette union continuait à susciter l’étonnement, voire l’indignation, de plusieurs jeunes demoiselles qui, sur le conseil de leurs mères, avaient refusé plusieurs partis avantageux pour ne pas risquer de laisser échapper le gros lot, et approchaient désormais de l’âge fatidique de trente ans sans la moindre perspective en vue.

     

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  • [Livre] Bride Stories - Tome 3

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    Résumé
     : L’heure est venue pour Smith de quitter la famille Eyhon afin de continuer son périple à travers l’Asie centrale.

    Sur la route d’Ankara, sa prochaine étape, il fait la rencontre d’une jeune femme qui pourrait bien bouleverser ses plans…


    Auteur : Kaoru Mori

     

    Edition : Ki-OOn

     

    Genre : Manga

     

    Date de parution : 08 décembre 2011

     

    Prix moyen : 7,65€

     

    Mon avis : A la fin du tome 2, le britannique Smith quittait le clan d’Amir et Karluk pour reprendre son chemin le long de la route de la soie, à la recherche de nouvelles coutumes à répertorier.

    On laisse donc les jeunes mariés dans une situation incertaine eut égard aux prétentions de la famille d’Amir. On se doute donc bien qu’on n’en a pas fini avec eux et qu’on finira par les revoir.

    Pour l’heure, voilà Smith coincé à quelques jours de voyage de là, où il attend son guide pour Ankara.

    En attendant, il est invité à séjourner chez Talas et sa belle-mère où il va apprendre de nouvelles coutumes matrimoniales qui vont lui sembler très étranges.
    En parallèle de ces nouvelles coutumes, on en apprend un peu plus sur la situation politique, notamment sur l’occupation Russe qui provoque de nombreux conflits avec de nombreux clans.
    Les anglais semblent également convoiter ces terres car il y a de nombreuses rumeurs, et de nombreuses suspicions, sur la présence d’espions britannique, ce qui va mettre Smith dans une situation délicate.

    L’auteur va également se servir d’une visite du marché pour nous faire découvrir bon nombre de spécialités culinaires qui donnent l’eau à la bouche tant leur confection est parfois détaillée.

    Au niveau des dessins, j’ai trouvé que Talas ressemblait énormément à Amir et j’ai été contente qu’elles ne se retrouvent pas trop représentées ensembles car j’aurais vraiment du mal à les différencier.

    A vrai dire, j’ai toujours autant de mal à me faire au noir et blanc. Je préférerais que tout soit en couleur, comme sur les couvertures, ce qui me permettrait de m’y retrouver plus facilement.

    Cela dit, malgré ça, l’histoire m’intéresse toujours autant et j’ai hâte de lire la suite.

     

    Un extrait :

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  • C'est lundi que lisez-vous? #231

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    Rendez-vous initié par Mallou qui s'est inspirée de It's Monday, What are you reading ? de One Person’s Journey Through a World of Books. Le récapitulatif des liens se fait maintenant sur le blog I believe in Pixie Dust.

     

    Il s'agit de répondre à trois questions:

    Qu'ai-je lu la semaine passée?
    Que suis-je en train de lire?
    Que lirai-je après?

     

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    Et vous, que lisez-vous?