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  • [Cuisine] Sauté de porc à l'indonésienne

    Ce midi, j'ai réalisé une recette que j'ai trouvé sur le blog Les croc du Loupinet.

    C'est bête, j'ai mangé la même chose hier au bureau, et hier comme aujourd'hui, j'ai oublié de vérifier ma glycémie deux heures après le repas, du coup je ne saurais vous dire s'il était assez énergétique ou pas... cela dit, j'avais prévu des fraises et des framboises avec du fromage blanc en dessert, et je ne l'ai pas fait finalement, je n'avais plus faim.

    Là il est 16h, j'ai donc mangé il y a 4h et je suis toujours rassasiée, donc je sais pas trop comment ça se traduit pour ma glycémie, mais au niveau énergie, y'a pas de soucis!

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    Comme  déjà, à la base, j'avais pas excessivement faim, je n'ai pas fait beaucoup de purée de potiron, parce que l'air de rien, ça cale bien et je préfère dans ces cas là, forcer plus sur les protéines.

    Alors... Pour cette recette facile comme tout:

    Ingrédients:

    200g de sauté de porc
    1/2 oignon (j'en ai mis un entier, pas trop gros, mais comme toujours, ça dépend des goûts)
    Une gousse d'ail (j'ai mis une demi-cuillère à café d'ail moulu)
    Une cuillère à café de curcuma
    Un demi cube de bouillon (j'ai mis du bouillon de volaille dégraissé)
    Une cuillère a soupe de jus de citron (On peu en mettre un peu plus tout dépend si on aime que le gout du citron soit présent ou pas)
    Une pincée de maïzena

     

    Vous allez voir, c'est vraiment pas compliqué:

     

    ¤ Dans une sauteuse où vous aurez mis un peu d'huile, faire revenir ensemble l'oignon haché et le sauté de porc (recoupez le si les morceaux sont trop gros, vous ne devez pas avoir à le couper dans l'assiette) jusqu'à ce que le porc soit doré.

    ¤ Ajoutez le curcuma et l'ail et mélangez bien pour enrober la viande des épices

    ¤ Ajoutez de l'eau (jusqu'à fleur de la viande, sans qu'elle soit completement recouverte) et émiettez par-dessus le demi cube de bouillon.

    ¤ Laissez sur feu doux une trentaine de minutes, en remuant de temps en temps.

    La sauce va un peu épaissir mais pas des masses.

    ¤ En fin de cuisson, délayez une pincée de Maïzena (jusqu'à une demi cuillère à café je pense que c'est bon) dans le jus de citron et versez le mélange dans la sauteuse.

    ¤ Montez à feu moyen et remuez sans arrêt jusqu'à ce que le mélange épaississe (ça va vite!)

    ¤ Salez et poivrez si vous en avez envie (faites gaffe quand même, le bouillon sale le plat)

    Perso, because le diabete, je sers ce plat uniquement avec de la purée de légume ou des lanière de carottes et de courgettes cuites à la vapeur, mais en général, il est plutot servi avec du riz...

    bon appétit!

     

     

  • [Collection] Boules de neige

    Ma première collection, du moins depuis que je suis seule maitresse de la décoration de mon appartement, a été les boules de neige. Malheureusement, c'est une collection qui nécessite d'avoir de la place, ce que je n'ai pas... Donc je me limite aux pièces que je trouve vraiment irrésistibles. Les autres tant pis.... je me contente de les admirer dans les catalogues.

    Il faut dire que les prix sont souvent... hum... comment dire... pas donnés... mais comme j'en ai pris quand même rarement, c'est resté raisonnable! Pas mal de cadeaux là aussi!

    Déjà, ma pièce maitresse, qui prend à elle seule le tiers de l'étagère, qui s'allume et fait de la musique aussi (sauf que j'arrive plus à la situer dans le film...)

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    Après, comme je disais, il y a celles que je me suis achetée moi-même...

    Les disney:

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    Et les autres:

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    ... Et celles qu'on m'a offertes:

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    Et voilà! Je ne les ai pas prise en photo dans leur vitrine, car le manque de lumière faisait que les photos étaient pas top!

    Mais c'est ma petite collection, j'en ai pas des centaines, mais l'air de rien, celles que j'ai déjà prennent pas mal de place... alors cette collection là ne risque pas de grandir de beaucoup!

      

     

  • [Livre] Virtuosity de Jessica Martinez

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    Résumé : Carmen, 17 ans, mène une vie passionnante. Considérée comme l’une des meilleurs violonistes de sa génération, elle vient de gagner un Grammy. Poussée par sa mère, ancienne chanteuse d’opéra à la carrière brisée, elle travaille sans relâche pour gagner le prix Guarneri, un concours de violon dont le vainqueur remporte une tournée mondiale. La pression de ce coach maternel impitoyable, le stress de la compétition, l’abus de bêtabloquants pour éviter le trac sur scène… Carmen est au bord du « burnout ». Sans compter que la partie va être difficile avec pour rival l’énigmatique Jeremy King.

    Auteur : Jessica Martinez est née au Canada. Depuis toujours passionnée de lecture et de violon, elle a suivi un cursus de lettres et de musique à l’université. Depuis, elle a successivement été institutrice, violoniste, professeur de lettres et de violon. Aujourd’hui, elle vit à Orlando en Floride avec son mari et ses deux enfants.

    Editeur : Hachette jeunesse. Collection Black Moon

    Nb de pages :

    Genre : Young Adult

    Parution : France : 20 Juin 2012

    Prix : 15,20 (pas encore sorti en poche)

    Autres livre de Jessica Martinez : The space between us, 2012 non encore traduit en français

    Avis: J’ai lu ce livre parce que le résumé, que j’ai lu sur un blog, m’avait bien plu. Dès les premières pages on voit bien que la vie de Carmen tourne autour de sa carrière de violoniste au mépris de toute autre considération. Au fil de la lecture on voit bien que cette carrière envahit toute sa vie : elle n’a même pas été scolarisée et a suivi des cours particuliers. L’école n’allait quand même pas l’empêcher de devenir la meilleure des violonistes, non ?
    Le but de Carmen est d’intégrer l’école de Julliard, mais ce n’est pas vraiment du goût de sa mère qui préférerait qu’elle continue à se produire pour ne pas être oublié du public.
    En fait, c’est surtout elle qui est accrochée à la carrière de sa fille, comme si la voir sur scène pouvait compenser le fait qu’un polype sur la gorge avait brisé sa carrière de Soprano.  Le père de Carmen, jeune gosse de riche qui a eu une aventure avec la célèbre cantatrice qu’elle était alors, est totalement absent de la vie de sa fille, se contentant d’un coup de fil et d’une carte par an.
    Mon personnage préféré est sans contexte le beau-père de Carmen. Il aime la jeune fille sans condition et se moque royalement qu’elle fasse carrière ou pas. Il ne veut que son bonheur et essaye, dans la mesure de ses moyens, qui sont assez faibles, la mère de Carmen étant plus que présente, envahissante même, de lui apporter quelques petits répits et plaisirs simples.
    La mère de Carmen la maintient dans un climat de compétition permanente dans lequel on ne peut faire confiance à personne. Entre cela, l’absence totale de liberté qu’elle laisse à sa fille qui n’est à ses yeux qu’un instrument de gloire, le fait qu’elle n’hésite pas à la droguer pour l’empêcher de ressentir un trac qui pourrait réduire ses performances, ont fait d’elle le personnage que j’ai le plus détesté, le summum de son attitude minable étant ce qu’elle ose faire à la fin du roman (enfin qu’on découvre à la fin du roman).
    Il est très dur dans ces conditions de construire une histoire d’amour avec un concurrent et jusqu’à la fin on se demande si Carmen et Jeremy ont une chance ensemble.
    J’ai trouvé Carmen très courageuse quand elle découvre ce qu’à fait sa mère. Très courageuse aussi de ne pas se laisser embarquer dans les manigances de sa mère pour discréditer Jeremy.
    L’attitude de ses grands-parents paternels qui ne reconnaisse son existence que du moment où elle devient célèbre est écœurante. Le père un peu moins, il ne s’occupe pas de Carmen, mais rend service à Diana, sa mère sans poser de question, même si c’était moralement discutable.er(cliquez pour révéler)

    Au final c’est un livre qui se vit intensément, qui provoque sourires et colère. Un livre vraiment bien écrit. Par contre, c’est un livre qui ne peut que se lire, une adaptation ciné serait de trop et s’il devait y en avoir une, je ne pense pas que je la regarderais.

    Un extrait: "La première fois que j’avais tenu cet instrument, j’avais su. Il me prolongeait. Je ne m’étais pas rendu compte qu’il me manquait quelque chose, mais j’avais éprouvé un sentiment semblable à celui qu’on a en rentrant chez soi. Une impression de plénitude. Mon corps avait accueilli, avec une facilité déconcertante, le poids du stradivarius, s’insérant parfaitement entre mon épaule et ma mâchoire ; mon oreille avait reconnu la voix du violon avec autant de naturel que s’il s’agissait de la mienne. Nous étions faits pour être réunis.

    Cela remontait à un an maintenant, pourtant, tout en l’admirant au clair de lune, je n’arrivais toujours pas à croire que j’avais la chance d’en jouer. Les Glenn l’avaient payé un million deux. C’était à ce prix-là, selon Diana, qu’ils m’avaient achetée. Cependant, si elle désapprouvait la situation, elle n’avait jamais suggéré que je refuse. La possibilité n’avait même pas été envisagée. Ça aurait été de la folie.

    Je ne pouvais pas haïr les Glenn autant que Diana. En tout cas plus autant, et pas seulement à cause du stradivarius. Ça me gênait de l’admettre, mais, même s’ils ne m’avaient pas trouvée digne de leur intérêt avant que je devienne célèbre, même si je savais que leur admiration et leur cadeau en disaient plus long sur leur position sociale que sur nos rapports, une petite part de moi se réjouissait. Ce n’était pas compliqué : je voulais qu’ils m’aiment.

    Je ne pouvais pas l’avouer à Diana. Dans son univers, le talent constituait la seule richesse : non seulement les Glenn en étaient dépourvus, mais ils n’avaient pas su reconnaître le sien, et il avait fallu que le monde entier loue le mien pour qu’ils daignent me considérer comme leur petite-fille."

      

  • [Film] Le monde de Narnia, Chapitre 1: Le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique

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    Titre original: The chronicles of Narnia: The lion, the witch and the wardrobe

    Réalisé par: Andrew Adamson

    Date de sortie: 21 décembre 2005

    Genre: Jeunesse

    Pays d'origine: USA

    Durée: 2h20

    Casting: William Moseley, Anna Popplewell, Skandar Keynes, Georgie Henley, Tilda Swinton, Liam Neeson (voix d'Aslan)

    Résumé: Le Monde de Narnia : chapitre 1 conte la lutte entre le bien et le mal qui oppose le magnifique lion Aslan aux forces des ténèbres dans le monde magique de Narnia. Grâce à ses sombres pouvoirs, la Sorcière Blanche a plongé Narnia dans un hiver qui dure depuis un siècle, mais une prédiction révèle que quatre enfants aideront Aslan à rompre la malédiction. Lorsque Lucy, Susan, Edmund et Peter Pevensie, quatre frères et soeurs, découvrent ce monde enchanté en y pénétrant à travers une armoire, tout est en place pour une bataille de proportions épiques...

    Les récompenses: Le films, l'équipe de tournage et les acteurs ont été nominés seize fois dans 7 festivals différents, dont les fameux oscars. L'équipe techinique et le film ont ainsi été nominés pour: meilleur son, meilleur effets visuels, meilleurs maquillages, meilleurs costumes, meilleure chanson, meilleure musique, Meilleure animation de personnage pour le cinéma, meilleur réalisateur, meilleur scénario, top of the box office, meilleur jeu video.
    Les acteurs, quant à eux ont été nominés pour Meilleur méchant, Meilleure actrice et meilleur jeune acteur, sans toutefois remporter de récompense.
    Dans la catégorie meilleur méchant, Tilda Swinton à laissé la place à Hayden Christiansen pour son rôle d'Anakin Skylwalker dans la revanche des Sith; Elle a également laissé la victoire à Naomie Watts pour son rôle dans King Kong pour la catégorie meilleure actrice.
    Le jeune William Moseley a été supplanté par Dakota Fanning pour son rôle dans la guerre des mondes dans la catégorie meilleur jeune acteur.

    L'équipe technique a eu plus de chance, ayant remporté 4 victoires.
    Le maquillage a convaincu les juges et le public puisqu'il a à lui seul remporté trois victoires: un oscar, un BAFTA Award (Orange British Académie Film Award) et un Saturn Awards (Academy of Science Fiction, Fantasy & Horror Films).
    La dernière victoire a été remporté par les costumes qui ont assez convaincu pour qu'on leur décerne un Saturn Award.

    Mon avis: Le monde de Narnia Chapitre 1: Le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique, est l'adaptation du tome 2 de la saga littéraire "Les chroniques de Narnia" de Clive Staple Lewis. Ce tome est en réalité le premier publié (1950) puisque le Tome 1: Le neveu du magicien, a été écrit ultérieurement, constituant ainsi une "préquel" à l'histoire.
    Clive Staple Lewis, né en 1898, contemporain de Tolkien, était un grand ami de celui-ci, à croire qu'ils se sont lancé un défi: celui qui écrirait la plus grande saga fantastique.

    Ce film, mélange de prise de vue réelle et d'image de synthèse, a été un vrai défi pour les maquilleurs et les graphistes, car il n'y a pas moins de 23 espèces différentes dans Narnia.
    La plus imposante étant Aslan, le lion, dont la création a nécessité deux ans de travail et 700 plans d'effets visuels.

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    Les enfants ont un jeu d'acteur excellent malgré leur jeune age (Vaut mieux, parce que c'est un peu les héros du film ^^). Jai particulièrement aimé la petite Lucy, qui est toute en spontanéité et prête à ne jamais renoncer à ses rêves et croyances.

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    Edmund est parfait dans le rôle du cadet jaloux de ses aînés qui ont plus de réflexion et de poids de décision que lui, comme de sa petite soeur qui est choyée comme étant le bébé de la famille.

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    Les deux aînés, Peter et Susan sont plus raisonnable et s'ils commettent parfois des erreurs, c'est souvent parce qu'ils veulent rester un peu trop rationnels dans un monde qui ne l'est pas du tout.

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    Enfin, si j'ai aimé tout le film, j'ai particulièrement été emballée par la bataille, qui est époustouflante, avec les enfants et leurs alliés d'un coté et la maléfique sorcière blanche et ses créatures de l'autre coté.

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     Pour la première rencontre de Lucy et de Monsieur Tumnus, le faune, le réalisateur avait fait en sorte que la fillette n'ai pas vu le comédien grimé et habillé avant le tournage. Sa réaction de surprise n'est donc pas feinte.

    Le film a bien failli ne pas voir le jour! Peu avant la fin du tournage, une lettre de CS Lewis a été découverte dans laquelle il demandait à ce que ses ouvrages ne fassent jamais l'objet d'adaptation cinématographique. La raison? Il craignait que les animaux parlant ne soient ridicules.
    Mais les héritiers de l'écrivain ont accepté la sortie du film, estimant que CS Lewis n'avait pas pu prévoir l'avancé technologique du cinéma et l'invention des images de synthèses et que sa crainte était fondée sur les technologies de son époque (maquettes ou marionnettes). Jugeant qu'aujourd'hui les avancées technologique permettaient de créer des animaux pa rlant plus "vrai que nature" et que le ridicule n'était pas à craindre, ils sont donc passé outre les dernières volontés de l'auteur.

     

     

  • [Cuisine] Courgettes farcies au saumon et chèvre

    Aujourd'hui, puisque j'avais des pavé de saumon dans le congélateur et qu'il fallait que je vide ledit congel pour le nettoyer, je me suis lancée dans cette petite recette que j'ai trouvé sur maggi.fr.

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    Alors, il me faut:

    Des courgettes
    Des pavés de saumon
    du fromage de chèvre à tartiner
    Du basilic
    Sel, Poivre et Huile d'olive

    (Je mets pas de quantités parce que ça dépend du nombres de courgettes que vous voulez farcir, et de votre goût pour le chèvre, le basilic et l'assaisonnement)

    ¤ couper les courgettes en deux dans la longueur et encore en deux dans la largeur.

    ¤ Les creuser en petites barques

    ¤ Préchauffer le four à 240°C

    ¤ préparer la farce: faire cuire le saumon. Une fois qu'il est saisi sur toutes ses faces, l'émietter dans la poele en le laissant sur feu doux.

    ¤ Ajouter le fromage de chèvre, sel et poivre.

    ¤ Retirer du feu

    ¤ Disposer les courgettes dans un plat à four et et farcir du mélange (j'ai mis environ une bonne cuillère à soupe dans chaque quart de courgette)

    ¤ Faire couler un filet d'huile d'olive sur les courgette (moi j'ai le vaporisateur d'huile, c'est génial: deux pshitt sur chaque quart de courgette)

    ¤ Enfourner 45 minutes

    C'est délicieux et je les ai accompagné d'un peu de crozets avec une cuillère a café de crème fraiche et du paprika, sans quoi ma glycémie baisse trop après le repas.

  • [livres] La trilogie du mal, Maxime Chattam

    Oui je sais, ça fait longtemps que je n'ai pas fais de mise à jour. Il faut dire que ces derniers mois ont été mouvementés. Rendez-vous médicaux à droit et à gauche, adaptation de mode de vie du fait de mon diabète.. j'ai été bien occupée.

    Mon père venant de m'offrir un nouvel APN, j'ai refais la majorité des photos du blog, histoire d'avoir autre chose que des photos floues et du coup, je me suis décidée à me remettre un peu au blog...
    On va commencer soft par une fiche de livre, mais des achats et des recettes de cuisine suivront bientôt.

    La trilogie du mal, donc... Trois thrillers aussi angoissant les uns que les autres, ayant pour ligne directrice l'inspecteur, puis détective privé Joshua Brolin.

    L'auteur: De son vrai nom Maxime Drouot, c'est un auteur assez jeune, puisqu'il est né en 1976. Il a fait des études de criminologie ce qui étoffe nettement ses romans qui sont très bien ficelés et très sombres.

    En faisant quelques recherches sur lui, j'ai appris que le roman "la promesse des ténèbres" est une préquelle à la trilogie du mal. (Et de ce fait, il passe immédiatement dans ma PAL)

    prix moyen: entre 6€50 et 8€

    Où l'acheter: Amazon, Fnac, Cultura, Gibert...

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    Résumé: Portland, Oregon, de nos jours. Juliette, une jeune étudiante en psychologie, est kidnappée par un tueur en série qui a pris la fâcheuse habitude de couper les mains de ses victimes, toutes des femmes, et de leur tracer un mystérieux signe cabalistique à l'acide sur le front. Au moment où le tueur s'apprête à exécuter Juliette, il est abattu in extremis par l'inspecteur Joshua Brolin, un jeune profileur de la police de Portland. Juliette et Brolin restent en contact... et sont horrifiés quand, un an plus tard, un nouveau cadavre est découvert portant exactement les mêmes mutilations. Le fantôme de Lealand Beaumont, le bourreau de Portland, s'est-il remis à l'œuvre ? S'agi-t-il d'un "copycat", ces copieurs de tueurs, rares mais extrêmement dangereux puisqu'ils s'évertuent à dépasser leur "maître" dans l'horreur ? Brolin et Juliette ne sont qu'au début de leurs effroyables surprises...

    Mon avis: Bien que j'avais cette trilogie dans ma PAL depuis un moment, je ne l'ai attaqué que lorsque le forum Club de lecture l'a proposé en lecture commune de 2013.
    J'ai beaucoup aimé ce thriller. Il est prenant et bien mené, c'est très dur de s'en détacher.
    Le seul point négatif que j'ai relevé, c'est la tendance de l'auteur à passer d'un récit narratif au passé à des passages au présent. Je n'ai pas du tout aimé ces passages, j'ai beaucoup de mal avec les changements de temps intempestifs et j'ai trouvé qu'il "étalait" ses connaissances en psychologie criminelle et en médecine légale de manière abusive et inutile... Il pouvait faire passer les même explication soit en note de bas de page, soit au cours de dialogues où l'inspecteur aurait pu demander des explication sur l'utilité des produits.
    Ces passages là ont un peu ralentit ma lecture et cassaient le rythme du roman, ce qui est dommage vu à quel point le reste m'a tenu en haleine.
    J'ai cependant beaucoup aimé les personnages que j'ai trouvés attachants et très justes. Ni héros, ni grands méchants... parfois bornés ou susceptibles, humains quoi. 

     

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    Résumé: Chaque année, des dizaines de personnes disparaissent à New York dans des circonstances étranges. La plupart d'entre elles ne sont jamais retrouvées. Julia, elle, est découverte vivante, scalpée, entre autres sévices, et prétend s'être enfuie de l'Enfer. On pourrait croire à un acte isolé s'il n'y avait ces photos, toutes ces photos... Jeune détective à Brooklyn, Annabel O'Donnel prend l'enquête en main, aidée par Joshua Brolin, spécialiste des tueurs en série. Quel monstre se tâche dans les rues enneigées de la ville ? Et si Julia avait raison, si c'était le diable lui-même ? Ce mystère, ce rituel... Dans une atmosphère apocalyptique, Joshua et Annabel vont bientôt découvrir une porte, un passage... dans les ténèbres

    Mon avisJ'ai nettement préféré ce tome au premier du fait que les passages au présent que je n'aime pas du tout car ils cassent le rythme de l'histoire étaient bien moins nombreux dans ce tome ci.
    Contrairement au premier tome, j'ai eu un peu plus de mal à entrer dans l'histoire, peut être parce que je m'attendais à retrouver Joshua Brolin et que dans les 80 premières pages, rien ne laisse supposé qu'il va être présent. J'ai du coup été encore plus contente de le retrouver!
    Je n'avais vraiment pas vu venir la fin.
    J'ai été infiniment soulagé qu'il n'arrive rien au chien, je sais pas pourquoi mais vu le passé de Josh, je me suis dis que s'il s'attachait au chien, celui ci allait mourir, peut etre en le sauvant. Ouf, ça a pas été le cas!
    Enfin j'ai été un peu déçue que l'histoire de la disparition du mari d'Anabelle soit pas un peu plus approfondie. Peut être que ça aurait pu faire l'objet de l'épilogue, que Josh aurait pu mener une enquête et trouver des éléments... n'importe quoi plutôt que nous donner des bribes de souvenirs sur Annabelle et Brody et pas savoir ce qui a pu lui arriver! C'est énervant, même si savoir n'apportait rien à l'histoire. (Mais j'ai appris aujourd'hui que la préquelle que l'auteur a écrit: La promesse des ténèbres, est basée sur Brody)
    Enfin voilà, un tome lu assez rapidement tant on est happé dans l'histoire. Une nuit à dormir les lumière allumées aussi, sans doute.

     

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    Résumé: Une ombre inquiétante rôde dan les forets de l'Oregon, là où se passent parfois des choses dont nul homme ne devrait rien savoir. C'est d'abord un employé de l'environnement qui est retrouvé mort, le visage horrifié. Aucune trace du criminel... Dans le même temps, des femmes disparaissent en pleine nuit, pendant le sommeil de leur époux. Pas de trace d'effraction dans les maisons... Et puis se répand une épidémie singulière, du jamais vu : les foyers de Portland sont envahis par des araignées aux piqûres mortelles. Les victimes s'accumulent et la psychose s'intensifie. Et s'il n'y avait qu'une seule et même personne derrière tout cela ? Un être pas comme les autres. Peu à peu, on commence à murmurer le pire... Et s'il n'était pas humain ? Joshua Brolin et Annabel O'Donnel s'immiscent dans l'enquête. L'ex-profiler du FBI et la détective new-yorkaise vont entrer dans la toile et faire face à l'impensable. Une nouvelle génération de tueur.

    Mon avis:Un troisième tome qui m'a foutu une trouille monstre! Je suis arachnophobe et j'ai poussé des cris en pleine lecture (dont une fois au boulot, bonjour la discrétion) sur certaines scènes... notamment celle ou Annabel se prend le contenue d'une boite pleine de veuves noires sur la tête. Et je ne peux rien dire d'autre sans spolier complétement l'histoire! C'est dire si chaque détail compte!!!

    Un extrait: "Démêler les indices, relever les preuves, établir les profils psychologiques et faire progresser la traque du tueur, telles étaient donc les motivations essentielles de Brolin lorsqu’il était entré au FBI. Lorsqu’il obtint son badge, il avait vingt-huit ans passés, et Robert Douglas le convoqua dans son bureau.

    — Je sais que tu veux rentrer dans mon unité maintenant que tu fais pleinement partie de la maison, lui dit-il. Mais tu vas devoir patienter. Tu seras certainement un très bon profileur, je te l’ai déjà dit.

    — Mais ? avait demandé Brolin, le goût amer de la déception dans la bouche.

    — Mais je ne ferai pas d’exception. Il faut l’expérience du terrain qui s’ajoute à l’intuition et malgré toute ta connaissance des dossiers, je veux que tu te fasses la main. C’est l’affaire de quatre-cinq ans, six tout au plus. Je ne te demande pas grand-chose, juste d’engranger un vécu d’agent pendant tout ce temps, crois-moi, il y a des centaines de choses que tu n’apprendras que là-bas, dans la jungle urbaine. Ensuite, tu auras ta place ici. Avec nous.

    Devant la moue plus que renfrognée de Brolin, Robert Douglas ajouta :

    — Qu’est-ce que tu imagines, hein ? Tu es peut-être fait pour ce boulot mais je ne vais pas prendre un agent qui risque de se planter sur un dossier parce qu’il n’aura pas l’expérience et la maturité suffisantes. Tu as déjà regardé les types qui bossent ici ? Ils ont tous la trentaine bien tapée, au moins. Je vais m’arranger pour que tu aies un poste qui te convienne et dans quelques années, tu seras dans l’équipe.

    Brolin savait que Douglas mâchait ses mots mais la vérité était toute simple : l’USC avait réussi à acquérir une bonne réputation à force de travail et ne voulait engager que des agents ayant fait leurs preuves à maintes reprises pour ne pas risquer sa réputation sur une erreur. L’USC ne prendrait aucun risque.

    Il reçut quelques jours plus tard son attribution de poste, à l’antenne locale de Boston. Nombre de camarades de promotion lui envièrent son affectation mais pour Brolin, cela signifiait vivre encore six ans sans être confronté à ce qui le passionnait depuis déjà huit longues années. C’était tout simplement hors de question.

    Pendant son instruction, Brolin avait sympathisé avec un profileur qui enseignait la psychiatrie criminelle, John Rissel. Celui-ci s’était montré très chaleureux et disponible. Rissel fut le déclencheur de son départ. Il lui répéta qu’il avait un véritable don pour cerner la personnalité des criminels, qu’il devait patienter. Mais devant le refus obstiné de Brolin, il capitula. C’est alors qu’il lui conseilla de démissionner et de rejoindre les forces de police. Là-bas, ils avaient besoin d’éléments comme lui, on l’enverrait probablement sur le terrain pour faire ses preuves, mais s’il rejoignait une agglomération de taille moyenne, il finirait rapidement par hériter des dossiers criminels et donc du profilage, certainement plus vite qu’au FBI. Rissel avait cerné sa personnalité, son besoin de travailler sur des bases fixes, dans un environnement stable duquel il pourrait tirer avantage grâce à sa volonté de toujours en savoir plus sur ce qui l’entourait. Rissel l’avait encouragé à se sédentariser dans une grande ville plutôt que de choisir la vie des affectations fantaisistes de tout agent spécial du FBI. S’il se sentait incapable de persévérer quelques années ici, autant qu’il aille là où il serait le plus utile et le plus épanoui.

    C’est donc avec un diplôme de psychologie et une formation en criminalistique au FBI que Brolin avait rejoint Portland, sa ville natale, et obtenu en seulement six mois un poste titulaire d’inspecteur. Il écopa pendant encore onze mois des affaires branlantes et, vu sa capacité à cerner la nature criminelle, il obtint rapidement la considération de ses supérieurs qui lui confièrent enfin les dossiers les plus intéressants.

    Dès lors, il s’était gardé d’évoquer son passé au Bureau, qu’il considérait comme un enrichissement professionnel bien que ce fût le plus gros échec personnel de sa vie."

    L'âme du mal

  • [Cuisine] Lasagnes de Courgette au poulet et champignons

    Bien que la lumière commence à baisser, ce qui ne va pas rendre évident la qualité des photos, je me lance dans cette petite recette. 

    Alors pour commencer, il me faut:

    - Des courgettes (j'en ai prévu 4 moyennes)
    - Des oignons (au gout)
    - des escalopes de poulet ou de dinde (500g)
    - des champignons émincés (500g)
    - de la crème fraiche allégée (1 briquette et demi)

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    ¤ Emincer le poulet en petit morceaux et le faire revenir dans une casserole.

    ¤ réserver

    ¤ Faire revenir les oignons hachés et ajouter les champignons.

    ¤ Pendant que les champignons cuisent à feu doux, détailler les courgettes en lamelle (pas trop fines)

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    ¤ Ajouter le poulet et la crème fraiche dans la casserole et laisser sur feu doux pendant que les courgettes dégorgent. Pour cela, les mettre dans une passoire et les saler légèrement.

    ¤ on attaque le montage: une couche de courgette, une de poulet/champignons à la crème.

    ¤ finir par une couche de courgettes sur laquelle on met une couche de crème, à la rigueur avec des champignons, mais sans poulet, et saupoudrée de fromage rapé.

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    ¤ Enfourner comme des lasagnes: 35 à 40 min à 200°C

    ¤ Déguster

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  • [film] Circumstance (en secret)

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    Titre original: Circumstances

    Réalisé par : Maryam kesharvaz

    Date de sortie: 08 février 2012

    Durée: 1h45

    Casting: Nikohl Boosheri, Sarah Kazemy, Reza Sixo Safai

     

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    Résumé: Atafeh et sa meilleure amie Shirin fréquentent les soirées branchées du Téhéran underground. Elles essayent de profiter au mieux de leur jeunesse quand Mehran, le frère et complice d’Atafeh, devient membre de la police des mœurs. Alors qu’il désapprouve sévèrement leur besoin de liberté, Mehran tombe amoureux de Shirin. Ses sentiments vont vite tourner à l’obsession et mettre à l’épreuve l’amitié des jeunes filles.

    Mon avis: J'ai beaucoup aimé ce film. Tourné en farsi, il a nécessité une année entière de travail pour les acteurs principaux afin qu'ils perdent leur accent (français pour Sarah Kazemy, américain pour les deux autres). Le film montre très bien l'envie des jeunes iranien de s'émanciper et de vivre pleinement leur jeunesse et la répression toujours aussi sévère qui existe encore...
    La police des moeurs qui fait des "descentes" dans les fêtes underground, qui tabassent un jeune garçon, qui arrête Atafeh et Shirin en les traitant comme des moins que rien. Tandis que Shirin est interrogée dans une pièce vide, face au mur avec interdiction de voir ses geoliers et menacée de pendaison, Atafeh, assise sur une chaise est traitée de pute et d'autres nom charmants par deux femmes qui tournent autour d'elle comme des vautours.
    Dans ce pays où le moindre regard est considéré comme de la débauche, où le simple fait de doubler en farsi des films parlant d'homosexualité ou se sexe est considéré comme un acte de trahison (et conduira à la peine de mort un ami des deux filles, même si ce n'est que suggéré), il est naturel que les amitiés se transforment en quelques chose de plus troublant.
    Le frère d'Atafeh semble être un ancien drogué, si on se base sur certaines scènes entre son père et lui. Est ce qu'il croit réellement en l'intégrisme religieux? Ou est ce qu'il a l'impression de se trouver en intégrant la police des moeurs? Toujours est-il qu'il est l'exemple type de l'intégrisme de certains jeunes gens de la nouvelle génération qui se montrent plus traditionnalistes que la génération précédente. En effet on peut voir que le père d'Atafeh est plutôt libéral.
    La relation d'Atafeh et Shirin est mise en danger par le frère d'Atafeh, Mehrad. En effet, celui-ci, amoureux de Shirin, la demande en mariage et celle-ci est contrainte par son oncle d'accepter, car, après la nuit passée au poste, il ne l'autorise plus à repousser des prétendants (cela dit, Mehrad est un grand progrès par rapport aux prétendants que lui présentait son oncle, qui avaient tous dans les 20/30 ans de plus qu'elle). Mais Atafeh va mal le supporter et d'autant plus que Mehrad accentue de plus en plus sa surveillance.
    Mais Mehrad semble assez désespéré d'être aimé comme il est et Shirin n'est pas complètement insensible à ce qu'il ressent.
    Cette "perte" de l'amour exclusif que lui portait Shirin et la prise de conscience du manque de libertés dans le pays la pousseront à prendre une décision irréversible.

    Le film, interdit en iran, à été tourné au Liban.
    Il a été nominé 19 fois dans divers festivals et a remporté 3 prix: le prix du public dans la catégorie film de fiction, lors du Sundance film festival 2011; Le prix du meilleur talent émergeant pour Maryam Kesharvaz lors du Festival international du film de Rome et le prix d'interprétation pour Nikohl Boosheri et Sarah Kazemy lors du festival de films chéris-chéries 2011.