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Action/Aventure - Page 5

  • [Film] Time out

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    Titre original : In time

    Réalisé par : Andrew Niccol

    Date de sortie : 23 novembre 2011

    Genre : action

    Pays d’origine : USA

    Durée : 1h41

    Casting : Justin Timberlake, Amanda Seyfried, Olivia Wilde

    Résumé : Bienvenue dans un monde où le temps a remplacé l'argent. Génétiquement modifiés, les hommes ne vieillissent plus après 25 ans. Mais à partir de cet âge, il faut "gagner" du temps pour rester en vie. Alors que les riches, jeunes et beaux pour l’éternité, accumulent le temps par dizaines d'années, les autres mendient, volent et empruntent les quelques heures qui leur permettront d'échapper à la mort

    Mon avis : On dit souvent « le temps, c’est de l’argent » et bien cela n’a jamais été aussi vrai que dans Time out. On est payé et on achète en temps, un temps qui s’écoule en lettres vertes sur le bras et qui, lorsqu’il arrive à zéro, est comme un gong qui provoque la mort instantanée.
    Ceux qui vivent dans les zones résidentielles peuvent vivre à tout jamais, leur corps figé dans une éternelle jeunesse.
    Mais comme on nous le serine durant tout le film « pour une poignée d’immortels, beaucoup doivent mourir ». Les riches et puissants n’ont aucune envie que les pauvres, ceux qui travaillent dans les usines et vivent dans « le ghetto », ceux qui courent tout le temps parce qu’ils n’ont jamais en réserve plus de quelques heures, puissent bénéficier de temps… qu’ils meurent vite ! Ils sont remplaçables…
    Mais si l’immortalité est à leur portée, elle n’est pas totalement acquise car la mort violente est toujours possible. Aussi, les riches passent leur temps à avoir peur : peur de se faire agresser et de se faire voler leur temps, peur de l’accident, peur de tout. Ils 

    time out sylvia weis.jpgvivent dans une bulle, protégés par des gardes du corps, et d’après Sylvia Weis, l’héroïne, fille d’un des hommes les plus riches, ils ne vivent pas, ils survivent. Et cela ne lui convient pas.

    C’est peut être pour ça qu’elle décide de rester auprès de Will, à l’origine son kidnappeur, parce qu’auprès de lui, elle revit, même si, comme ceux du ghetto, dont Will est issu, elle doit à présent courir après le temps.
    Bien que le père de Sylvia soit un salopart de première classe, celui qui m’a le plus écœuré dans le film est le flic, enfin, le « gardien du temps ». Son travail n’est ni plustime out gardien du temps.png ni moins de s’assurer que les riches restent riches et que les pauvres restent bien à leur place : pauvres et aux portes de la mort. On voit la différence avec un de ses collègues, plus jeune, qui lui est gardien du temps pour traquer les meurtriers, ceux qui arrachent le temps aux autres, qui le leur volent, les condamnant à mort, mais qui remet clairement en cause ce système, qui n’apprécie pas que les gardiens fassent en sorte que le volume de temps reste identique aux normes établies par les puissants dans chaque Zone : quasi inexistant dans le ghetto, se comptant en million d’années en zone 12.
    time out will salas.jpgEt bien sur, il y a Will, le héros malgré lui dans cette histoire, qui se retrouve propulsé dans un rôle de Robin des Bois sans l’avoir recherché, après une rencontre étrange et inopinée qui va lui ouvrir les yeux sur les réalités de son monde.

     

     

     

    Bref, c’est un film d’action à voir, sympathique et qui fait passer une bonne soirée.


     

     

  • [Film] Clones

    Peut-on tout vivre par procuration ?

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    Titre original : Surrogates

    Réalisé par : Jonathan Mostow

    Date de sortie : 28 octobre 2009

    Genre : Science fiction

    Pays d’origine : USA

    Durée : 1h25

    Casting : Bruce Willis, Rhada Mitchell, Rosamund Pike

    Résumé : Deux agents du FBI enquêtent sur le meurtre mystérieux d'un étudiant, qui semble lié à l'homme qui a contribué à mettre au point une invention qui s'est imposée dans toute la société : les gens peuvent désormais acheter des versions robotisées d'eux-mêmes, des doubles sans défaut qui, commandés à distance, effectuent leurs tâches à leur place et leur permettent de vivre par procuration sans quitter le confort et la sécurité de leur domicile. 
    Cette révolution technologique soulève beaucoup de questions, dont la première va vite devenir préoccupante : dans un monde d'apparences qui est réel, à qui peut-on faire confiance ?

     

    Mon avis : Ce film aurait pu être sous titré : où comment les hommes abusent toujours d’une idée au départ révolutionnaire.
    L’idée des clones était vraiment révolutionnaire et le serait restée si elle avait été limitée à certaines situations. Imaginez : des policiers et des militaires qui ne risquent plus leur vie dans l’exercice de leur fonction, des médecins qui peuvent soigner des maladies hautement contagieuses sans risques, des chercheurs qui peuvent chercher des vaccins à des virus comme ebola sans danger…
    Mais comme toujours, les choses vont plus loin et très vite on se retrouve avec des gosses de riches qui sautent d’un pont pour voir ce que ça fait de « voir la mort arriver », des personnes qui se rajeunissent… C’est un peu l’idée de l’étudiant qui discute avec Sam(antha), une rousse volcanique de 26 ans sur internet et qui, après quelques recherche découvre qu’il discute avec Sam(uel), 56 ans, 200kg, qui vit chez sa mère et porte le même T-shirt depuis trois mois… J’exagère à peine. Excepté le flic interprété par Bruce Willis dont le clone est juste impeccable alors que lui-même ne prend même plus la peine de se raser, (plus jeune aussi puisque les clones ne vieillissent pas et que donc il a gardé le même clone depuis l’évènement qui l’a convaincu d’y recourir), tous les protagonistes se représentent plus jeunes, plus beaux, plus athlétiques… bref, quasiment parfaits.

     

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    A gauche le clone, à droite le "vrai"

                               clones femme willis.jpgfemme willis.png

    A gauche le clone de sa femme, à gauche la vraie

                       dr Canter.jpgclone dr Canter.jpg

    A gauche le vrai docteur, à droite son clone...


    Ils sont tellement accros à leur clone que lorsque par extraordinaire, ils doivent sortir sans lui, par eux-mêmes, ils plongent dans une anxiété terrible, comme des héroïnomanes en manque (Enfin je suppose, rassure toi maman, je n’en ai jamais fait l’expérience !)
    A coté des accros aux clones, il y a les anti-clones, ceux qui pensent que recourir à ceux-ci est en train d’éteindre notre humanité (et ils n’ont peut être pas tout à fait tort). Mais là encore, tout est dans l’extrême… Ils sont violents, ce sont ni plus ni moins que des terroristes.
    Et on peut se rendre compte que le monde tout beau, tout propre, tout parfait des clones n’exclut ni les trahisons, ni la corruption, ni les erreurs, car derrière ces corps robotisés, il n’y a quand même que des êtres humains (les opérateurs comme ils sont appelés) et rester terrés chez eux pendant que leur clone vit leur vie à leur place n’a pas fait disparaître les plus bas instincts de l’humanité.
    La question que l’on se pose, en voyant ce film c’est : au nom de la technologie et du progrès, peut-on ignorer toute limite ?


     

     

  • [Film] After Earth

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    Titre original : After Earth

    Réalisé par : Night Shyamalan

    Date de sortie : 5 juin 2013

    Genre : aventure

    Pays d’origine : USA

    Durée : 1h40

    Casting : Jaden Smith, Will Smith, Sophie Okonedo

    Résumé : Après un atterrissage forcé, Kitai Raige et son père, Cypher, se retrouvent sur Terre, mille ans après que l’humanité ait été obligée d’évacuer la planète. Cypher est grièvement blessé, et Kitai va devoir rejoindre l’autre partie de la navette pour demander du secours.
    Mais la planète a évolué et le danger rôde partout.

     

    Mon avis : L’histoire de départ est assez simple. Un fils qui veut suivre les traces de son père mais n’est pas à la hauteur selon ses instructeurs. Il faut dire que le père est une vrai légende. Dur dur pour le fiston.
    Une humanité décimée par une race extraterrestre et qui a du coloniser d’autres systèmes solaires pour survivre. Une terre qui a évolué pour devenir meurtrière. Un crash…et 100 kilomètres à traverser pour aller chercher la balise de détresse coincée dans une autre partie de la navette.
    Le papa étant blessé, c’est au fiston de se taper le sale boulot et quand on dit que toute la planète a évolué pour devenir meurtrière, c’est TOUTE ! Depuis les fougères jusqu’aux piafs, en passant par les singes…
    Mais ce périple est une occasion pour le père et le fils non seulement de commencer à se comprendre, voire à se connaître, mais aussi à crever l’abcès concernant un événement tragique de leur passé.
    Les extraterrestres (enfin l’extraterrestre, on en voit qu’un et heureusement parce que c’est une sale bête) est un mélange entre Alien et les sales bêtes qu’on peut rencontrer dans starship troopers…
    Pas de grande surprise sur la fin, quelques scènes émouvantes. Bref un film à gros budget mais bien sympathique et qui fait passer un bon moment. 


      

  • [Film] Dinotopia

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    Titre original : Dinotopia

    Réalisé par : Marco Brambilla

    Date de sortie : 2002

    Genre : aventure

    Pays d’origine : USA

    Durée : 3 parties de 1h25 environ

    Casting : Wentworth Miller (David Scott), Tyron Leitso (Karl Scott), David Thewlis (Cyrus Crabb), Katie Carr (Marion Seville).

    Résumé : Après le crash de leur avion, les frères Karl et David Scott se retrouvent sur une île étrange, Dinotopia. Des hommes et des dinosaures y mènent une vie paisible. Les dinosaures ont leur propre langue et alphabet, savent parler, lire et écrire. La plupart d'entre eux ont même fait des études...

    Les récompenses : Le film a reçu un Emmy Award pour la qualité de ses effets spéciaux

     

    Mon avis : De bon effets spéciaux avec les dinosaures. L’histoire est intéressante avec toutes les règles et les coutumes de Dinotopia à apprendre. Des lois pour le moins étranges pour qui vient de l’Amérique du XXIème siècle : Une goutte de pluie engendre l’océan… euh oui d’accord et ?
    Carl semble assez naïf de faire confiance à plusieurs reprises à Cyrus Crabb alors qu’il est évident pour tout le monde, sauf pour lui, que ce type est un opportuniste.
    Je me demande si l’idée « originale » de Suzanne Collins pour Hunger Games (que j’ai adoré soit dit en passant, mais l’un n’empêche pas l’autre) a vraiment quoi que ce soit d’original. Les tributs et le combat à mort ? Voir Battle royale. Les tenues sobres des districts comparé aux tenues extravagantes du capitole ? Voir Dinotopia. Dans les villages, la population est habillée simplement alors que dans la Capitale : Water Falls City, il n’y a que robes, perruques, couleurs éclatantes…
    La cité elle même rappelle un peu les décors de Naboo dans star wars et les vols en skybar (sur ptérodactyle) n’est pas sans nous renvoyer aux vols dans avatar…. Comme quoi tout le monde « copie » sur tout le monde.
    Ce n’est pas forcément une critique, il faut bien trouver ses idées quelque part.
    Les deux frères sont vraiment à l’opposé l’un de l’autre et cette aventure va les rapprocher malgré la rivalité qui s’installe entre eux pour les beaux yeux de Marion.
    Enfin une question nous taraude tout au long du film : le père de David et Scott, qui était resté coincé dans la carlingue de l’avion, est-il mort ou a-t-il réussi à s’en sortir ? Nous n’aurons la réponse que dans la dernière partie… mais je ne dirai rien !


     

  • [Film] Charlie et la chocolaterie

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    Titre original : Charlie and the chocolate factory

    Réalisé par : Tim Burton

    Date de sortie : 13 juillet 2005

    Genre : Jeunesse/ Aventure

    Pays d’origine : USA

    Durée : 1h56

    Casting : Johnny Depp, Freddy Highmore, Helena Bonham-Carter…

    Résumé : Charlie est un enfant issu d'une famille pauvre. Travaillant pour subvenir aux besoins des siens, il doit économiser chaque penny, et ne peut s'offrir les friandises dont raffolent les enfants de son âge. Pour obtenir son comptant de sucreries, il participe à un concours organisé par l'inquiétant Willy Wonka, le propriétaire de la fabrique de chocolat de la ville. Celui qui découvrira l'un des cinq tickets d'or que Wonka a caché dans les barres de chocolat de sa fabrication gagnera une vie de sucreries.

    Les récompenses : Le film a été nommé une bonne dizaine de fois dans divers festivals mais n’a remporté qu’une seule victoire, celui du meilleur look aux NRJ ciné Awards 2006 pour le look d’enfer de Johnny Depp.

    Mon avis : J’avais beaucoup aimé le livre de Roald Dahl et quand j’ai vu que Tim Burton adaptait le livre au cinéma, je ne pouvais que regarder ce film. Le trio Tim Burton, Johnny Depp, Helena Bonham-Carter… c’est incontournable !
    Je n’ai pas vu la première adaptation de ce livre, réalisée en 1971 par Mel Stuart, donc je ne pourrais pas comparer, mais je ne désespère pas de trouver ce premier essai pour me faire une idée !charlie.jpeg
    Johnny Depp et Freddy Highmore, qui interprète Charlie, ont tourné ensemble pour le film Neverland et c’est l’acteur qui a insisté auprès de Tim Burton pour qu’il engage son jeune collègue, impressionné par sa performance dans Neverland.
    Le film est une reprise assez fidèle du livre, mis à part pour le fou de TV qui a été modernisé (le livre a été écrit en 1964…), et pour les allusions au père de Willy Wonka dont on ne parle pas dans le livre. La fin aussi a été légèrement modifiée, dans la mesure où Roald Dahl laissait la porte ouverte pour sa suite : « Charlie et le grand ascenseur de verre », suite d’ailleurs qui n’est, à mon sens, pas digne du premier tome, alors que Tim Burton n’avait pas l’intention, a priori, et c’est tant mieux, d’adapter la suite. Il fallait donc une fin qui sonne vraiment comme une fin, mais au final ce n’est qu’une scène qu’il a rajouté pour mettre un point final à l’histoire.
    Un joli film pour enfants, mais qui ne laissera pas les adultes indifférents.

     

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  • [Film] Jack le chasseur de géants

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    Titre original : Jack the Giant Slayer

    Réalisé par : Bryan Singer

    Date de sortie : 27 mars 2013

    Genre : Aventure

    Pays d’origine : Américain

    Durée : 1h 50min

    Casting : Nicholas Hoult, Eleanor Tomlinson, Ewan McGregor, Stanley Tucci

    Résumé : Lorsqu’un jeune fermier ouvre par inadvertance la porte entre notre monde et celui d’une redoutable race de géants, il ne se doute pas qu’il a ranimé une guerre ancienne… Débarquant sur Terre pour la première fois depuis des siècles, les géants se battent pour reconquérir leur planète et le jeune homme, Jack, doit alors livrer le combat de sa vie pour les arrêter. Luttant à la fois pour le royaume, son peuple et l’amour d’une princesse courageuse, il affronte des guerriers invincibles dont il s’imaginait qu’ils n’existaient que dans les contes. L’occasion, pour lui, de devenir une légende à son tour.

    Mon avis : L'histoire de Jack et le haricot magique revisité.
    L'histoire en elle-même est banale. Une pauvre garçon tombe amoureux de la fille du roi (ou l'inverse: fille pauvre/prince), une menace survient (dans ce cas présent: les géants) et le garçon pauvre combat la menace et en sortant victorieux du combat, fait tomber les réserves du roi à son égard et obtient la main de sa dulcinée...
    On a vu ça des centaines de fois...20437083_jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg

    Ici le garçon pauvre c'est Jack , jeune homme un peu tête en l'air, pas bon à rien comme l'affirme son oncle mais un peu je-m'en-foutiste sur les bords.

     

     

     

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    La princesse sans peur et sans reproche, c'est Isabelle. Orpheline de mère et promise contre son gré à un noble du royaume, son père ne la pensant pas capable de régner seule sur leur royaume après sa mort.

     

     

    Il en résulte que la jeune femme, un brin vexée, se fait la malle de sa cage dorée pour aller explorer la contrée et se rapprocher du peuple, chose que son père lui refuse obstinément. Et comme de bien entendue, elle va se retrouver au mauvais endroit au mauvais moment et filer tout droit, prisonnière de la maison de Jack, laquelle est poussée par la pousse du Haricot magique, vers le royaume des géants.20505741_jpg-r_640_600-b_1_D6D6D6-f_jpg-q_x-xxyxx.jpg
    De là l'aventure commence, il faut récupérer la princesse et empêcher les vilains géants, et en particulier celui-ci, le général Fallon, de prendre le contrôle de la terre (ou en tout cas du royaume, c'est des géants, pas des aliens).

     

     Dans la mesure où le film est tiré d'un conte anglais, il est à noter, qu'excepté Stanley Tucci et John Kassir, qui interprètent respectivement Roderick et la petite tête du général Fallon, tous les acteurs du film sont britanniques.

    En résumé, c'est un film bien sympa à voir, surtout pour un public adolescent. Les effets spéciaux sont bien faits et rien que pour ça, le film vaut le détour.



     

     

     

  • [Film] Adèle Blanc-Sec

     

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    Titre original : Adèle Blanc Sec

    Réalisé par : Luc Besson

    Date de sortie : 14 avril 2010

    Genre : Aventure

    Pays d’origine : France

    Durée : 1h 47min

    Casting : Louise Bourgoin, Gilles Lellouche, Mathieu Amalric

    Résumé : En cette année 1912, Adèle Blanc-Sec, jeune journaliste intrépide, est prête à tout pour arriver à ses fins, y compris débarquer en Égypte et se retrouver aux prises avec des momies en tout genre. Au même moment à Paris, c'est la panique ! Un œuf de ptérodactyle, vieux de 136 millions d'années, a mystérieusement éclos sur une étagère du Jardin des Plantes, et l'oiseau sème la terreur dans le ciel de la capitale. Pas de quoi déstabiliser Adèle Blanc-Sec, dont les aventures révèlent bien d'autres surprises extraordinaires...

    Les récompenses : Le film a été nominé dans divers festivals. Pour les Césars 2011, il a été nommé dans les catégories meilleurs décor et meilleurs costumes. Si « La princesse de Montpensier » a raflé le prix des meilleurs costumes, Adèle Blanc Sec a remporté celui des meilleurs décors.
    Mathieu Amalric a été nommé pour le Brutus 2011 de la meilleure participation exceptionnelle et le film dans son ensemble pour le Brutus 2011 de la meilleure prestation technique, même si le jury leur a préféré respectivement Sara Forestier pour son rôle dans « Gainsbourg (vie héroïque) » et « Les petits mouchoirs »
    Le film a également été nommé pour le Gérard 2011 du plus mauvais film, mais celui-là, ça ne m’étonne pas qu’il ne l’ait pas remporté ! C’est « L’immortel » qui a eu ce douteux privilège.
    Enfin Luc Besson a été nommé dans la catégorie Film pour les festivals : Bande et ciné, adaptation de bande dessinée et Rendez-vous with French Cinéma.

    Luc besson.jpegMon avis : Pour une fois, je connaissais le réalisateur ! Il faut dire qu’il est difficile de ne pas savoir qui est Luc Besson. Entre « Le grand Bleu », « Nikita », « Le cinquième élément », « Leon », « Arthur et les minimoys » et ses suites,  « Jeanne d’arc » et à présent « Adèle Blanc-Sec »… il est un peu  incontournable… Je dirais que c’est notre James Cameron à nous, avec des films « grand public ».
    Pour Adèle Blac-Sec il a attendu plus de 10 ans ! D’abord les droits avaient été acheté par un autre réalisateur qui n’a finalement pas fait le film. Du coup, il a fallut non seulement attendre que les droits soient de nouveau disponibles mais aussi vaincre les réticences de l’auteur de la BD, Jacques Tardi, qui ne voulait plus entendre parler d’adaptation cinématographique de son œuvre. Comme on dit : Chat échaudé… Mais finalement Luc Besson a su le convaincre. Et tant mieux pour nous !
    Le film est donc l’adaptation de la bande-dessinée de Tardi. Celle-ci compte 9 volumes et Besson a décidé de mettre en scène 2 de ces 9 albums qu’il va décliner en trois volets (espérons d’ailleurs qu’il tiendra parole et que nous aurons bien les trois volets).

     Je trouve l’actrice principale fantastique dans ce rôle. Elle a un petit coté dédaigneux qui convient très bien au caractère d’Adèle et sait se montrer déjantée, comme elle l’a prouvé lorsqu’elle était miss météo sur  canal +adele.jpeg. C’est d’ailleurs son premier grand rôle. Ainsi Luc Besson renoue avec son habitude de donner leur première vraie chance à de nouvelles actrices, comme il l’avait fait pour Anne Parillaud dans Nikita ou pour Milla Jovovich dans le cinquième élément (qu’il va falloir que je finisse par regarder d’ailleurs).
    Avant Adèle Blanc Sec, elle avait fait quelques apparitions, comme le rôle de la fleuriste dans « Le petit Nicolas » et on l’a retrouvée, entre autre, dans l’adaptation 2013 de « la religieuse»(Denis Diderot) où elle interprète le rôle de sœur Christine, la mère supérieure du couvent.
    Pour en revenir à Adèle Blanc Sec, elle se montre vive, naturelle et arrive sans peine à transmettre les quelques émotions que ressent Adèle.
    Concernant le film lui-même, l’essentiel du tournage a eu lieu en studio, ce qui a demandé un gros travail pour les décorateurs et les accessoiristes car il leur a fallut faire des reconstitutions historiques (Louvres, pyramides) en plus des lieux plus « habituels » comme la prison ou l’appartement d’Adèle. Au total, ces décors d’étendent sur 800m² et ont nécessités 8 mois de travail.
    Rien que pour ça, le film est à voir et la fin, qui ne peut que faire sourire, prévoit de nouvelles aventures pour Adèle !


     

  • [Film] Alice au pays des merveilles

     

    Comme je reprends le boulot aujourd'hui, je vais avoir moins de temps pour alimenter le blog, heureusement qu'il y a la publication différée!!! Il va donc y avoir quelques articles Films/Livres, le temps que je reprenne le rythme et que je puisse me remettre aux fourneaux... (plus de swap pour question de budget et mes acquisitions pour mes collections se font rares pour les mêmes raisons!)

     

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    Titre original: Alice in Wonderland

    Réalisé par : Tim Burton

    Date de sortie: 24 mars 2010

    Durée: 1h49

    Casting: Johnny Deep, Helena Bonham Carter, Mia Wasikowska, Anne Hathaway

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    RésuméAlice, désormais âgée de 19 ans, retourne dans le monde fantastique qu'elle a découvert quand 
    elle était enfant. Elle y retrouve ses amis le Lapin Blanc, Bonnet Blanc et Blanc Bonnet, le Loir, la Chenille, le Chat du Cheshire et, bien entendu, le Chapelier Fou. Alice s'embarque alors dans une aventure extraordinaire où elle accomplira son destin : mettre fin au règne de terreur de la Reine Rouge.

    Mon avis: J'ai bien aimé ce film. Alice se rappelle très bien le monde où elle a vécu ses première aventures malgré ceux qui s'évertuent à lui répéter qu'il ne s'agissait que d'un mauvais rêve. Elle peine a être une jeune fille "bien comme il faut". 
    Dans l'autre monde les choses se dégradent, la méchante reine étant de plus en plus incontrolable et une ancienne prophétie aidant, Alice va vite se retrouver de nouveau projetée dans cet autre monde qu'elle va voir à travers ses yeux d'adulte.
    Tim Burton a, comme à son habitude, réuni un casting intéressant avec ses deux acteurs fétiches: son épouse: Helena Bonham Carter et Johnny Deep dans les roles clefs de la reine de coeur et du chapelier toqué.

     

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    Aimant beaucoup l'actrice Anne Hathaway, j'étais contente de la retrouver dans le role de la reine blanche, mais je me suis demandée à quoi servait ce personnage... Et son état permanent de béate ahurie m'a vite énervée. 

     

     

    Un film toutefois amusant, mélant humour et action, même si on se doute de la fin avant même le début du film!
     


  • [Film] Blanche neige

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    Titre original: Mirror Mirror

    Réalisé par : Tarsem Singh

    Date de sortie: 11 avril 2012

    Pays d'origine

    Genre: Etats-Unis

    Durée: 1h45

    Casting: Julia Roberts, Lilly Collins, Armie Hammer, ...

    Résumé: Lorsque son père, le Roi, meurt, Blanche Neige est en danger. Sa belle-mère, cruelle et avide de pouvoir, l’évince pour s’emparer du trône. Quand la jeune femme attire malgré tout l’attention d’un Prince aussi puissant que séduisant, l’horrible marâtre ne lui laisse aucune chance et la bannit. Blanche Neige se réfugie alors dans la forêt… Recueillie par une bande de nains hors-la-loi au grand cœur, Blanche Neige va trouver la force de sauver son royaume des griffes de la méchante Reine. Avec l’aide de ses nouveaux amis, elle est décidée à passer à l’action pour reconquérir sa place et le cœur du Prince…

    Mon avis: Un film plein d'humour et de scènes cocasses. Julia Roberts casse l'image froide et glaciale de la méchante reine en campant une reine un brin givrée, bien entendu obsédée par son apparence et par le mariage.

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    De son coté, Lily Collins est aussi convaincante dans le rôle de l'ingénue un peu naïve que dans celui de la femme forte qu'elle est appelée à devenir.

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     Et c'est pour Armin Hammer, alias le pince Andrew Alcott que ces deux personnalités vont s'affronter (et accessoirement pour le royaume et le peuple qui va avec...)

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    Un film à voir. Pas un grand chef-d'oeuvre du cinéma, mais un bon film qui permet de passer un agréable moment en famille!