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  • [Livre] Une journée exceptionnelle

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    Résumé : Paul Strom a une vie parfaite. Et il est lui-même un mari parfait. C'est pour cette raison qu'il planifie un week-end romantique pour sa femme, Mia, dans leur maison de campagne, juste tous les deux. Et il promet que cette journée sera exceptionnelle. Mais alors qu'ils sont en voiture, en train de rallier leur lieu de villégiature, la tension commence à monter et minute après minute, le doute s'installe. Leur mariage est-il aussi parfait que Paul le dit ? Se font-ils réellement entièrement confiance ? Paul est-il vraiment la personne qu'il semble être ? Et quels sont ses projets pour ce week-end ? Une journée exceptionnelle nous force à nous demander à quel point nous connaissons ou non nos proches... Méfiez-vous des mariages trop parfaits...


    Auteur : Kaira Rouda

     

    Edition : Charleston Noir

     

    Genre : Thriller

     

    Date de parution : 10 Avril 2018

     

    Prix moyen : 22,50€

     

    Mon avis : Une journée exceptionnelle est un récit à la première personne. L’originalité tient dans la nature du narrateur.
    Paul Strom se décrit lui-même comme le mari parfait.
    Il a organisé un week-end en amoureux avec sa femme dans leur maison de vacances au bord du lac Erié. Il tient à ce que tout soit absolument parfait. Parfait comme ses deux enfants, parfait comme sa femme, comme lui-même, en un mot comme en cent, parfait comme son mariage.
    Mais comme l’histoire est écrite à la première personne, on se trouve donc dans la tête de Paul qui partage ses sentiments et ses pensées avec nous, comme s’il était conscient de notre présence.
    Seulement, dès les toutes premières lignes, on peut constater que Paul n’est pas si parfait que cela. Déjà, il est d’une arrogance incroyable. Par exemple, il explique qu’il pourrait se montrer serviable avec sa femme mais qu’il ne tient pas à ce qu’elle s’y habitue, il explique de manière très claire à quel point sans lui sa boîte est vouée à couler car il est le meilleur élément, le seul à savoir y faire, meilleur encore, bien sûr que les fondateurs. Il explique d’ailleurs sans honte qu’il trouve normal d’écraser tous ceux qui pourraient se poser en obstacle entre lui et son objectif, qu’il soit professionnel ou personnel.
    Paul apparaît comme un mégalomane qui se croit au-dessus des hommes et des lois. Plusieurs fois, je me suis demandé s’il n’était pas psychopathe ou sociopathe, je ne me rappelle jamais la différence entre les deux.
    En tout cas, il n’inspire aucune sympathie, bien au contraire, je n’ai jamais détesté autant un personnage. Jamais je n’ai autant espéré voir quelqu’un tomber de son piédestal, de préférence en se faisant très, très, mal (Et de se faire rouler dessus par un 30 tonnes pour faire bonne mesure… plusieurs fois…).
    Je l’aurais trouvé ridicules si ces actes n’étaient pas si effrayants.
    On cerne donc assez rapidement le caractère de Paul, mais ce n’est pas pour autant qu’on anticipe toutes ses actions. J’ai passé autant de temps à me dire : « pff, tu vas voir que ce cinglé va faire ça… » qu’à m’exclamer : « Non, mais pour de bon, mais il est malade !!! ».
    L’autre inconnue, dans cette histoire, c’est sa femme, Mia.
    Selon la description qu’en fait Paul, Mia serait en adoration devant son mari. Femme au foyer, privée d’un troisième enfant sur décision du « maître », elle ne se plains pas, ne demande rien, est docile, avenante, conciliante…
    Mais on va très vite se rendre compte que Mia n’est pas aussi prévisible que Paul le prétend et on passe la quasi-totalité du roman à se demander ce qu’elle sait de la situation et de son mari.
    Au fur et à mesure que Paul nous dévoile ses pensées et ses intentions, on peut voir la tension monter entre les époux. Pourtant, les trois quart du roman se passent sans violence, avec le sourire, dans une discussion à bâtons rompus. Tout passe vraiment au travers de cette tension psychologique dont on ne connait pas vraiment la source.
    Ce roman ne fait pas peur, il est dérangeant. Et très difficile à lâcher.
    Les droits du roman ont été achetés pour le grand écran.
    Je suis vraiment très curieuse de voir ce que cela va donner et si le rendu à l’écran sera aussi prenant qu’à l’écrit.

     

    Un extrait : Je regarde ma femme s’installer sur le siège passager. Le soleil se reflète dans sa chevelure d’un blond clair et elle lance des étincelles, comme ces cierges magiques qu’on allume pendant les célébrations du quatre juillet. Je suis confiant. Les choses se passent exactement comme prévu.
    Nous sommes ensemble, juste tous les deux, prêts à partir passer le week-end dans notre maison, au bord du lac. Cette journée symbolise tout ce pour quoi j’ai travaillé, tout ce que nous avons bâti. Côté conducteur, où je suis assis, le soleil transperce la vitre avec une telle intensité que je ressens le besoin de porter la main à ma tempe. Les verres sombres de mes lunettes devraient pourtant suffire à protéger mes yeux. Ils l’auraient fait dans d’autres circonstances, j’en suis sûr. Un autre jour. Aujourd’hui, quelque chose a changé entre ma femme et moi. Une étrange tension pulse dans l’air stagnant de l’habitacle. Elle n’est pas visible mais je sens bien qu’elle est là. J’aimerais pouvoir lui donner un nom, trouver sa source. L’éliminer.
    La matinée a été stressante, c’est certain. On est vendredi et, quand on a des enfants, le dernier jour de la semaine semble voué à la frénésie. Réveiller les garçons, faire en sorte qu’ils s’habillent et enfin les déposer dans leur école élémentaire, une bâtisse de brique rouge entourée de pelouses impeccables, qui affiche des résultats exemplaires et où ils excelleront sans aucun doute, l’un en CP, l’autre en CE2. Pour dire la vérité, mon rôle dans l’emploi du temps que je viens de décrire est assez limité. Le matin, c’est à Mia, ma femme, qu’incombent toutes les tâches liées aux garçons. De ce point de vue, nous sommes un foyer de banlieue des plus traditionnels. Quand je me réveille, je prépare du café, je prends ma douche, je m’habille et je pars au bureau avant le lever des enfants. Je dois bien avouer que, la plupart du temps, mes préoccupations sont assez égoïstes, voire égocentriques.
    Voilà pourquoi cette journée est si particulière. Ce matin, c’est moi qui ai accompagné les garçons à l’école, qui leur ai expliqué qu’au lieu de leur maman, ce serait la baby-sitter qui viendrait les chercher à la sortie des classes. Une fois rentré à la maison, j'ai rangé nos couverts sales dans le lave-vaisselle. Je peux être serviable, quand je le veux, mais je préfère éviter car Mia risquerait de s’y habituer. Une fois la table du petit déjeuner débarrassée, j’ai appelé Mia, à l’étage, pour qu’elle se dépêche. Cela fait plus d’un an que nous n’avons pas passé de week-end tous les deux, en amoureux. Cette journée nous appartenait toute entière et il était temps de se mettre en route.

     

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  • [Livre] Nord et Sud

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    Résumé : Après un long séjour à Londres chez sa tante, Margaret Hale regagne le presbytère familial dans un village du sud de l'Angleterre. Peu après son retour, son père renonce à l'Eglise et déracine sa famille pour s'installer dans une ville du Nord. Margaret va devoir s'adapter à une nouvelle vie en découvrant le monde industriel avec ses grèves, sa brutalité et sa cruauté. Sa conscience sociale s'éveille à travers les liens qu'elle tisse avec certains ouvriers des filatures locales, et les rapports difficiles qui l'opposent à leur patron, John Thornton.


    Auteur : Elizabeth Gaskell

     

    Edition : Points

     

    Genre : Classique

     

    Date de parution : 25 novembre 2010 ; première édition : 1855

     

    Prix moyen : 9€

     

    Mon avis : A l’instar de Jane Austen ou des sœurs Brontë, Elizabeth Gaskell, bien que moins connue, dépeint les interactions sociales de son époque.
    Ici, l’héroïne, Margaret, a bien du mal à se faire aux conflits permanent existant entre ouvriers et patrons dans une petite ville industrielle du nord de l’Angleterre.
    Les différences entre la manière de vivre dans le sud, conservateur, ou le travail ne manque pas mais se fait sur un rythme plus lent, la population vivant surtout de l’agriculture, et celle de vivre dans le nord, où la rapidité d’exécution n’est jamais suffisante et où l’industrialisation menace sans cesse le travail des ouvriers. Margaret assiste également à un vrai rapport de force entre ces derniers et les patrons. Elle se montre choquée que l’on puisse de rebeller contre ses supérieurs et, bien qu’elle éprouve un certain mépris pour les patrons qui ne sont à ses yeux que des commerçants, donc indigne de son attention, elle a tendance à leur donner raison dans la lutte qui oppose les deux classes.
    Cependant, puisque Margaret se retrouve au milieu de gens qu’elle considère comme des inférieurs tous autant qu’ils sont, elle arrive à se montrer plus partiale et à écouter les deux parties dans tout ce qui concerne la grève. Elle comprend la souffrance que constitue le manque d’argent chez les ouvriers comme les contraintes économiques qui « empêchent » les patrons d’augmenter les salaires.
    J’ai regretté qu’elle ne dise pas à Thornton qu’il pourrait expliquer à ses ouvriers pourquoi il ne peut augmenter les salaires, plutôt que de leur dire qu’il n’a pas de comptes à leur rendre.
    Si la manière de raconter la société contemporaine de l’auteur évoque celles de Jane Austen et des sœurs Brontë, son héroïne n’est pas tout à fait de la même classe sociale. Chez Jane Austen, même quand elles essuient des revers de fortune, les héroïnes font partie d’une classe plutôt élevée, tandis que chez les sœurs Brontë elles ne peuvent que rarement se dispenser de travailler. Margaret, elle, a certes moins d’argent depuis que son père a renoncé à l’église, nettement moins aussi que sa cousine, mais à aucun moment il n’est question qu’elle trouve du travail.
    Elizabeth Gaskell se distingue également en ne faisant pas du mariage ou de la romance le centre de son roman. Certes, elle tient une place importante, certes, le roman se termine sur la réponse à la question : Margaret et Thornton vont-ils finir par se fiancer ? , mais dans le déroulé de l’histoire on parle plus des conflits sociaux, de l’industrialisation, de la révolte (celle des ouvriers, celle du révérend Hale contre l’église ou encore celle de Frederik, le frère de Margaret, contre un supérieur tyrannique dans la marine) que de l’amour naissant entre les deux jeunes gens.
    Si Thornton est orgueilleux, il en a plus le droit qu’un Mr Darcy ou qu’un Mr Rochester, car lui n’est pas né une cuillère en argent dans la bouche, il a construit sa fortune à la force du poignet et d’un travail acharné. On sait d’ailleurs bien plus que dans les romans d’Austen ou Brontë ce que pense le protagoniste principal masculin car à plusieurs reprises on le suit de manière à savoir ce que lui pense de la situation.
    Malgré quelques longueurs dans les premiers chapitres, ce qui n’est pas étonnant étant donné la nécessité de mettre en place l’histoire, et malgré ses 673p, Nord et Sud est un roman qui se lit très vite car il est difficile de le reposer tant on veut savoir comment chaque personnage va se sortir des difficultés auxquelles il est confronté.
    Si le prochain roman que je possède de cet auteur me plait autant que celui-là, je pense qu’Elizabeth Gaskell va vite rejoindre le rang de mes auteurs classiques britannique préférés !

     

    Un extrait : Margaret, une fois de plus en toilette du matin, rentrait tranquillement chez elle avec son père, qui était venu assister au mariage. Sa mère avait été retenue à la maison par une multitude de faux prétextes que personne n’avait vraiment compris, sauf Mr Hale, qui se rendait parfaitement compte que tous ses arguments en faveur d’une robe de satin gris, à mi-chemin entre le goût du jour et celui de l’ancien temps, s’étaient révélés vains. Faute des moyens nécessaires, il ne pouvait équiper sa femme de pied en cap, aussi ne voulait-elle pas se montrer au mariage de la fille unique de son unique sœur. Si Mrs Shaw avait deviné la vraie raison pour laquelle Mrs Hale avait refusé d’accompagner son mari, elle lui eût offert une profusion de robes ; mais cela faisait vingt ans que la pauvre et ravissante Miss Beresford était devenue Mrs Shaw, et elle avait oublié toutes ses doléances, hormis le désagrément issu de la différence d’âge au sein d’un couple, et sur lequel elle pouvait disserter des heures entières. La chère Maria avait épousé l’élu de son cœur, âgé seulement de huit ans de plus qu’elle, et doté du caractère le plus aimable qui fût et de ces cheveux d’un noir bleuté que l’on rencontre si rarement. Mr Hale était l’un des prédicateurs les plus agréables qu’elle eût jamais entendus, et le parangon des curés de campagne. Peut-être la déduction que tirait Mrs Shaw de ces prémisses lorsqu’elle pensait au sort de sa sœur n’était-elle pas très logique, mais elle était néanmoins caractéristique : « Cette chère Maria a fait un mariage d’amour, que peut-elle souhaiter de mieux dans ce monde ? » A dire vrai, Mrs Hale aurait pu répondre en énumérant une liste toute prête : « Une robe de soie glacée gris argent, un chapeau de paille blanche, oh, des dizaines de choses pour le mariage et des centaines d’autres pour la maison. »

     

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  • C'est lundi que lisez-vous? #207

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    Rendez-vous initié par Mallou qui s'est inspirée de It's Monday, What are you reading ? de One Person’s Journey Through a World of Books. Le récapitulatif des liens se fait maintenant sur le blog I believe in Pixie Dust.

     

    Il s'agit de répondre à trois questions:

    Qu'ai-je lu la semaine passée?
    Que suis-je en train de lire?
    Que lirai-je après?

     

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    Ma PAL en cours:

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    Mes sagas à continuer et/ou finir:

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    Ma petite PAL additionnelle pour le mois de la Fantasy:

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    Et vous? Que lisez-vous?

  • Premières lignes #49

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    Premières lignes est un rendez-vous livresque mis en place par Aurélia du blog Ma lecturothèqueLa liste des participants est répertoriée sur son blog (Si ce n’est que son rdv est le dimanche et que je mettrai le mien en ligne chaque samedi).
    Le principe est de, chaque semaine, vous faire découvrir un livre en vous en livrant les premières lignes.
    Pour ma part, j’ai décidé de vous faire découvrir mes coups de cœurs !

     

    Cette semaine, je vous présente Nos âmes jumelles de Samantha Bailly dont vous pouvez lire ma chronique ICI.

     

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    Dis, Lou, tu te souviens de notre première rencontre ?
    Je veux dire, de la première fois
    où nous avons discuté, toi et moi ?
    Si on m’avait dit que, ce jour-là, je venais
    de t’ouvrir une fenêtre sur ma vie, que nos histoires
    seraient liées aussi longtemps, je ne l’aurais pas cru.


    Assise sur le rebord de son lit, Sonia feuillette son ancien agenda, un épais carnet rouge. Elle sourit en voyant se succéder les devoirs, les gribouillis, les longs mots rédigés dans des couleurs fluo. Il est temps de se tourner vers cette nouvelle année scolaire. La rentrée, cette rentrée tant attendue. Première L.
    Elle a choisi option arts, esquivant avec soulagement les pénibles mathématiques qui faisaient chuter sa moyenne générale.
    À présent, elle va se concentrer sur ce qui l’intéresse le plus : la littérature.
    Elle range le vieil agenda dans le tiroir de son bureau, puis s’empare de son successeur. Flambant neuf, d’un bleu laqué parcouru de reliefs, pourvu d’une reliure ouvragée. Il ressemble à un véritable livre. Pour le reste, toujours le même sac élégant, des feuilles volantes, des pochettes cartonnées usées, quelques stylos se battent en duel. Elle range les fournitures, puis vérifie une dernière fois sa valise. Des vêtements pliés approximativement, sa trousse de toilette, une serviette de bain. Tout semble y être.
    À présent qu’elle a bonne conscience, elle ouvre son ordinateur portable. Ses doigts agiles tapent immédiatement sur Google : Fanzine Trames.
    Le site internet apparaît, interface agréable, design épuré. Depuis plusieurs semaines, elle s’y rend chaque jour, et connaît les rubriques par cœur : Association, Galerie, Textes, Fanzines, Forum, Boutique. Elle a découvert le concept du fanzine au gré du Net, en cherchant des conseils sur l’écriture. Fanzine est la contraction de fanatic magazine, autrement dit un magazine réalisé par des amateurs passionnés. Cela tombe bien : elle est ET amateur ET passionnée.
    Elle hésite. L’icône de son document Word la nargue. Cela fait un moment à présent qu’elle songe à mettre son poème sur le forum, rien que pour obtenir un avis, pour voir s’il suscite des réactions. Mais elle a peur. Et si tout le monde détestait ? Lui jetait au visage qu’elle n’a aucun talent ? Cela anéantirait le rêve qui l’habite depuis le début du collège, celui qu’elle note avec application sur chaque feuille d’orientation.
     
    Quel métier envisagez-vous plus tard ?
    Écrivain.

    Alors, tentés?

  • Bilan du mois d'avril

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    En mars, j'ai lu 23 livres dont 2 BD et 21 romans pour un total de 6924 pages lues

     

    Les BD

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    Et les romans

    Affaires secrètes.jpg et si les chats disparaissaient du monde.jpg Fandom.jpg

    frozen.jpg juliette à new york.jpg la menace du passé.jpg

    la muette.jpg la terre qui penche.jpg le pays des contes T06.jpg

    Les amours d'un fantôme en temps de guerre.jpg Les quatre filles du reverend latimer.jpg l'ile des absents.jpg

    L'insigne du boiteux.jpg Mary Barton.jpg Ni mariée ni enterrée T02.jpg

    ni mariée ni enterrée T03.jpg piège conjugal.jpg victoria.jpg

     

     

    Côté écran, j'ai vu 4 films

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    http___img.filmsactu.net_datas_films_p_l_plan-b_xl_4b8bfd06c7dac.jpg https___www.movieposter.jpeg

     

    Et 4 séries: 2 qui n'ont qu'une saison

    https___media.senscritique.com_media_000017044572_source_big_Juste_un_regard.jpg La faute.jpg

    La saison 2 de Victoria et les 7 saisons de The good wife.

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    Et voilà, c'est tout pour ce mois-ci, puisque je n'ai pas fait d'achats hors livres! Je vous retrouve le mois prochain, avec, certainement, plein de nouvelles choses à partager.

     

  • Book Haul avril 2019

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    J'ai été assez raisonnable, encore ce mois-ci, puisque 1 des livres reçu est une masse critique, 4 autres ont été pris avec un bon cadeau et 6 ont été pris d'occasion.
    Donc, même si le nombre de livres est pas mal, financièrement, c'est un bon mois!


    Commençons par le livre que j'ai reçu de la masse critique
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    Ensuite, les livres que j'ai pris sur Cultura, avec un bon cadeau gagné à la
    tombola du boulot
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    Par contre, Cultura, c'est fini! Ça a été un enfer et il a fallu en arriver aux menaces de poursuites (articles du code de la consommation à l'appuie) pour que ma commande arrive enfin!

    Ma plus grosse commande a été celle de Gibert, par le biais de Rakuten. Des réductions allant jusqu'à 90%, ça ne se refuse pas!
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    Enfin, j'ai fais mon achat chez France Loisirs, qui est finalement le seul achat "plein tarif" que j'ai fais
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    Alors, ok, j'avais dis: je ne ferais pas de commande en avril... mais bon, que voulez-vous: je suis faible.
    Du coup, je promets rien pour mai... Il vaut mieux!

  • Mes sorties du mois #44

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    Chaque mois voit son lot de sorties, que ce soit en livres ou en films. 
    Chaque 1er mercredi du mois, je vous donnerai les sorties, parmi celles qui ont retenues mon attention.
    Voyons ce qui nous attend d'intéressant ce mois-ci!

     
    Que ce soit les livres ou les films, je vous laisse aller sur booknode ou allociné pour découvrir résumés et/ou bandes annonces.

     

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    Et vous? Vous avez repéré des sorties intéressantes pour ce mois de mai?