Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • [Livre] La traque des anciens dieux – T01 – Les deux princes

    les deux princes.jpg


    Lecture terminée le : 24 juillet 2019

     

    Résumé : Marc est un prince. Malheureusement, il aurait préféré un statut plus modeste (bourgeois, ou même comptable) pour échapper aux traditions magiques qui pèsent sur ses épaules. Quand sa princesse, à la suite d'une faille juridique, se révèle être un deuxième prince, tout aussi mécontent de la situation, les deux fiancés partent en quête pour détruire l'enchantement qui les relie. Leur voyage leur fera traverser le monde et rencontrer d'étranges compagnons : un escroc philosophe, une sorcière revêche, une fée terrifiante et deux dragons à l'humour particulier. Ils ignorent que c'est une mission bien plus importante qui les attend au bout du chemin, une mission qui demandera tout leur courage et leur persévérance pour la mener à bien.


    Auteur : H. Lenoir

     

    Edition : Lulu

     

    Genre : Fantasy

     

    Date de parution : 2015

     

    Prix moyen : 20€

     

    Mon avis : J’ai reçu ce livre à Noël et j’ai enfin trouvé le temps de le lire.
    C’est un livre très dense, avec beaucoup d’informations, ce qui fait que je n’ai pas avancé très vitre dans ma lecture.
    Mais même si j’ai avancé lentement, je n’en ai pas moins apprécié ma lecture.
    Déjà, dès le prologue, le ton est donné. Les dieux balancent tout un tas de malédictions/obligations magiques pour se venger des familles puissantes qui leur doivent du pognon.
    Notre histoire commence plus de 3000 ans plus tard.
    Marc est un prince, un benjamin, pas destiné à régner, donc, qui, après avoir tout fait pour éviter la quête traditionnelle des jeunes princes, va être sommé par sa reine de mère de partir réveiller d’un baiser la première princesse ensorcelée qu’il croisera, et plus vite que ça, merci bien.
    Bon gré, mal gré, mais au moins sans les collants (à près de trente ans, il peut s’en dispenser), le voilà parti et, guidé par un renard pas très catholique et plutôt moqueur (si ça avait été moi, il aurait fini en paletot, le rouquin), trouve une tour, embrasse la princesse enfouie jusqu’au menton dans les couvertures et l’histoire devrait se terminer là par un superbe mariage et une ribambelle d’enfants que leur reine de grand-mère aurait sommé de suivre la tradition etc…
    Sauf que…
    Et à partir de là, l’auteur se fiche allégrement de la pomme des contes de fées et de leurs structure classique.
    Entre les princesses endormies qui se révèlent être des princes vexés comme des poux d’être dans cette situation, des marraines-fée à tendance psychopathe, des dragons un poil désespéré par le genre humain, des escrocs….
    On a là une fine équipe qui lance dans une quête… mais qui les dépasse… Même si la quête est supposée être dans le sang des princes, ces deux-là se demandent plus d’une fois ce qu’ils fichent là.
    Le plus jeune des deux, Eleuthère (oui, famille traditionnelle), est le plus enthousiaste. Mais il faut dire qu’il a passé 3 ans dans une tour, soumis à un sortilège qui l’a maintenu à 17 ans.
    Pendant la quête, laquelle est pleine de rebondissements et d’aventures, les personnages ne cessent de discuter des éléments classiques des contes : les sorcières, les grenouilles enchantées, les porchers valeureux, les gardiennes d’oies ou les fileuses.
    Leurs discussions à ce sujet, leur ton, tour à tour désabusé ou irrité, m’a déclenché de vraies crises de fou-rires. Je ne lirai plus jamais les contes de fée de la même façon.
    Les deux princes, Marc et Eleuthère, bien que la magie voudrait les voir former un couple, sont plutôt comme deux amis, voire même comme deux frères.
    Parmi leurs compagnons de route, j’ai particulièrement apprécié la petite dragonne, Bi Cui.
    Mais tous les personnages sont attachant, chacun à leur manière.
    Malgré l’humour très présent, la quête n’en ai pas moins une vraie aventure, pleine de danger.
    La fin est à la fois prévisible (la série s’appelle la traque des anciens dieux, on se doute bien qu’il va y avoir des dieux à traquer) et surprenante à plusieurs égards.
    Le livre comporte quelques coquilles (mots manquants, fautes) mais relativement peu pour un livre autoédité de cette longueur.
    J’ai déjà prévu d’acheter la suite et il ne va pas falloir tarder parce que j’ai très envie de découvrir la suite.

     

    Un extrait : Entre deux missions urgentes, Marc se documenta un peu plus et en tira une leçon : chaque tradition défiée était sanctionnée par une catastrophe. Chaque maléfice ignoré, chaque coutume bafouée engendraient un bouleversement qui mettait des années à être aplani. La règle était la même pour les pays voisins, même les royaumes les plus jeunes qui se trouvaient au nord. Confronté à des témoignages irréfutables, il se résigna à un jour accomplir son destin.
    Cependant, l’incendie avait eu une conséquence positive : la crise qu’il engendra permit de faire passer inaperçu l’anniversaire de ses seize ans. Le reste de la cour, plongée dans l’organisation des ravitaillements et les négociations avec l’empire voisin, oublia sa quête initiatique. Quand la situation se calma, le prince avait depuis longtemps terminé sa poussée de croissance, portait un collier de barbe et ne pouvait plus être pris pour un jouvenceau.
    Les quêtes initiatiques n’étaient pas une obligation, davantage une précaution. Comme aucun cataclysme n’était advenu en réponse à ce manquement à l’étiquette, on le laissa tranquille. Peut-être que, quelque part, un petit tremblement de terre s’était produit pour contrebalancer la situation ; mais pour le moment, le destin du prince Marc ne paraissait rien exiger de lui, et comme il était devenu indispensable à la gestion du pays, le roi décida d’ignorer le problème.
    Pendant quelques années, il put donc vivre une vie atypique. Il put lire quand il le voulait, discuter avec les personnes qui l’intéressaient et trouver des moyens d’améliorer la vie de ses sujets sans avoir à débattre de relations diplomatiques pendant des heures.
    Il put éviter les ridicules habits de cour imposés dans les cérémonies officielles. Il put se contenter d’apprendre le combat à l’épée tout en restant nul à l’arc et à la joute. Il put soigneusement oublier d’apprendre le luth. Il put éviter d’engendrer une tripotée d’héritier et de vivre heureux avec la jeune fille de ses rêves. Bref, il put faire ce qui lui plaisait. Le roi son père, qui avait déjà deux fils brillants pour lui succéder, était pleinement satisfait de se contenter d’utiliser les talents de son benjamin anticonformiste quand il avait besoin de lui, et de le laisser en paix le reste du temps.
    Malheureusement, sa mère n’était pas de cet avis.
    La reine venait d’un des royaumes les plus traditionnels du continent, Deshevron, et avait vu d’un mauvais œil que son fils échappât à sa quête. Elle avait vu d’une encore plus mauvais œil qu’il ne cherchât pas à se marier par la suite. C’était ce qui se faisait. Marc parvint à éviter ses tentatives de fiançailles ainsi qu’à ignorer ses reproches jusqu’à ses vingt-sept printemps, ce qui, chez un prince, approchait sérieusement de l’âge de la retraite, quand elle les coinça, un beau matin, son père et lui, dans un recoin de couloir.

    - Ca suffit, dit-elle. Marc, vous allez-vous marier.

    Le père et le fils échangèrent un regard. Gaius de Keilles ne craignait ni l’empire du nord, ni les barbares du sud, et il avait fait face à de nombreuses crises, mais sa femme entrait dans une tout autre catégorie.

     

    adoré 5 étoiles.jpg

  • [Livre] La symphonie des abysses - Livre 1

    la symphonie des abysses T1.jpg

    Lecture terminée le : 17 juillet 2019

     

    Résumé : VOUS PENSIEZ ÊTRE AU PARADIS ?

    Un gigantesque atoll, des plages de sable fin, une eau turquoise...

    Un mur infranchissable.

     

    IL VOUS FAUDRA D'ABORD VIVRE EN ENFER :

    ARTICLE 1 : Tout contact physique, toute marque d'amour sont proscrits.

    ARTICLE 2 : Il est interdit de chanter, d'écouter ou de faire de la musique.

    ARTICLE 3 : Quiconque se livrera à ces activités illicites sera mis à mort.

     

    VOUS N'ÊTES PERSONNE.

    VOUS APPRENDREZ À OBÉIR.


    Auteur : Carina Rozenfeld

     

    Edition : Robert Laffont (R)

     

    Genre : Fantasy

     

    Date de parution : 13 Février 2014

     

    Prix moyen : 18€

     

    Mon avis : Deux histoires : Celle d’Abrielle et celle de Sand et Cahill. Deux histoires différentes mais tellement semblables.
    Abrielle, Sand et Cahill vivent dans deux villages si éloignés qu’aucun ne se souvient de l’existence de l’autre.
    Pourtant, tous sont prisonniers d’un Atoll entouré d’un mur infranchissable de 30 mètres de haut, électrifié de surcroît sur sa partie haute. Tous sont soumis à un règlement intérieur strict. La plupart des articles sont similaires, et personne ne sait qui a mis en place ce règlement qui est considéré par tous comme ayant toujours existé. Tout comme le mur d’ailleurs, même si personne ne sait qui l’a construit et pourquoi tout lien avec l’extérieur a cessé depuis des siècles.
    Cependant, chaque village a un article principal dont la transgression est punie de mort. Le fait même que chacun des villages a une interdiction majeure différente alors que le reste est identique, me fait me poser plein de questions.
    Je n’imagine pas deux groupes distincts écrire des règlements aussi identiques ; tout comme je ne vois pas un seul groupe écrire un article principal distinct pour chaque village.
    Est-ce qu’un seul groupe existait à l’origine et a explosé parce qu’ils n’étaient pas d’accord sur ce qu’il fallait interdire ? Ou est-ce une expérience comme dans divergente ?
    Je ne sais pas mais j’espère avoir les réponses dans le livre 2.
    Dans le village d’Abrielle, la musique est interdite. Or Abi entend des mélodies dans sa tête et elle sait qu’un jour, elle n’arrivera plus à se taire et à les garder pour elle.
    Situation d’autant plus dangereuse que Braden, le gardien en chef, chargé de faire respecter le règlement, lui voue une haine farouche depuis que son père a disparu en même temps que le père d’Abrielle.
    Braden est vraiment un sale type, avec un mauvais fond. Il aime le pouvoir que lui donne sa fonction et en abuse.
    A priori, son père était un mec bien, du moins d’après ce que raconte la mère d’Abi. Dommage que le caractère n’ait pas été aussi héréditaire que la fonction !
    Dans le village de Sand et Cahill, qu’on découvre d’abord comme Ca et Sa, les enfants naissent neutres, ni homme ni femme. Ils choisiront leur genre à leur majorité et on leur injecte alors un sérum qui va les « terminer ».
    Ici, c’est le contact physique et l’amour qui sont interdit, ce qui me parait encore plus ignoble que l’interdiction de la musique.
    Or Sa et Ca s’aiment, avant même de savoir de quel sexe sera chacun d’eux. En fait ils ne veulent même pas le savoir car peu leur importe.

    Comme on s’en doute, le chemin de ces trois personnes va se croiser après que chacun ait été contraint de fuir son chez-lui.
    A eux trois, ils décident de partir à la recherche d’un possible moyen de passer cette saloperie de mur.
    J’ai beaucoup aimé cette histoire même si j’ai eu plus de mal à lire la partie sur Sand et Cahill à cause de l’écriture inclusive à laquelle je n’adhère pas du tout. J’ai essayé de considérer cette manière de parler comme une langue extraterrestre au vu des particularités de cette société, mais j’ai quand même avancé très lentement sur cette partie.
    La fin du livre laisse les personnages dans une situation incertaines qui me donne très envie (et un peu peur aussi) de me plonger dans le second tome.
    Ce qui ne saurait tarder…

     

    Un extrait : Les rayons dorés du soleil inondant la place du village, devant l’immeuble gris aux angles rongés par le vent et le sel… Des femmes occupées à leurs tâches quotidiennes, des familles déjeunant à l’ombre des calebassiers, une journée tranquille, identique à toutes celles qui se sont déjà déroulées, et qui ressemblera à toutes les suivantes…

    L’eau glacée faisait trembler ses mains. La vieille timbale en aluminium cabossée tinta contre le seau métallique et quelques gouttes froides jaillirent pour s’écraser sur l’herbe.

    — Fais attention, Aby. Tu sais bien que…

    — … que l’eau est précieuse. Je sais, oui. Je ne suis plus un bébé.

    La femme la plus âgée soupira et haussa les épaules avant de se consacrer à sa propre tâche. Ce n’était pas la peine de discuter. Ces derniers temps, surtout depuis la mort de Paol, la communication avec sa fille était devenue difficile. Elle aurait pu lui demander pourquoi, proposer d’écouter, chercher à comprendre afin d’aider son unique enfant, mais elle s’en gardait bien. Elle avait trop peur de la réponse.

    Abrielle serra les lèvres et ignora le regard un peu trop pesant de sa mère. D’un geste rapide, elle repêcha le gobelet tombé dans le seau. Il fallait faire vite. D’autres familles attendaient de pouvoir utiliser la vaisselle pour déjeuner à leur tour. Les assiettes et les fourchettes déjà lavées séchaient, posées au soleil, sur la pelouse épaisse.

    La lumière se reflétait vaguement sur leur surface dépolie, usée par les années. Sa corvée achevée, Aby rassembla prestement les couverts dans le creux de son tablier qu’elle tenait relevé d’une main et, en se hâtant, alla les transmettre à ceux qui patientaient, pendant que leur repas mijotait sur les tables à feu de la cuisine extérieure, exhalant des parfums familiers. Puis elle retourna près de sa mère.

    — C’est bon. Baako a tout récupéré. Je peux y aller, maintenant ?

    Du bout de ses doigts fébriles à la peau fripée par la longue immersion dans l’eau, elle chassa une mèche de cheveux bruns qui chatouillait son front.

    — Aller où ?

    — Je ne sais pas, n’importe où. C’est une façon de parler. Une façon de te demander si tu as encore besoin de moi.

    — Alors pourquoi tu ne me demandes pas tout simplement : « Est-ce que tu as encore besoin de moi » ?

    Abrielle haussa les épaules.

    — Je peux y aller ?

    — Oui. On a terminé nos tâches pour la journée.

     

    Beaucoup aimé 4 étoiles.jpg

  • C'est lundi que lisez-vous? #259

    c'est lundi que lisez vous.png

    Rendez-vous initié par Mallou qui s'est inspirée de It's Monday, What are you reading ? de One Person’s Journey Through a World of Books. Le récapitulatif des liens se fait maintenant sur le blog I believe in Pixie Dust.

     

    Il s'agit de répondre à trois questions:

    Qu'ai-je lu la semaine passée?
    Que suis-je en train de lire?
    Que lirai-je après?

     

    lectures de la semaine passée.jpg

    Culottées T01.jpg Culottées T02.jpg

    rupture, tarots et confiture.jpg les suppliciees de l'arizona.jpg

     

    lecture en cours.jpg

    La traque des anciens dieux T02 le magicien, la sorcière et la fée.jpg la bible des fées.jpg

     

    mes prochaines lectures.jpg

    PAL ebook 1.jpg

    PAL ebook 2.jpg

    PAL ebook 3.jpg

    PAL ebook 4.jpg

    PAL papier 1.jpg

    PAL papier 2.jpg

    PAL papier 3.jpg

    PAL papier 4.jpg

    PAL papier 5.jpg

    PAL papier 6.jpg

    Et vous, que lisez-vous?

  • Premières lignes #100

    Premières lignes.jpg

    Premières lignes est un rendez-vous livresque mis en place par Aurélia du blog Ma lecturothèqueLa liste des participants est répertoriée sur son blog (Si ce n’est que son rdv est le dimanche et que je mettrai le mien en ligne chaque samedi).
    Le principe est de, chaque semaine, vous faire découvrir un livre en vous en livrant les premières lignes.

    Cette semaine, je vous présente La rumeur de Elin Hilderbrand

    la rumeur.jpg

    On n’aimait pas les ragots. On les adorait.

    Est-ce que tu es au courant ?

    La plupart du temps, vivre à Nantucket nous réconfortait ; on avait l’impression que l’océan nous tenait au creux de sa main. Mais parfois, cette île nous pesait et nous agaçait. L’hiver était difficile à supporter. Quant au printemps, il était pire encore, parce qu’il ressemblait exactement à l’hiver, sauf pendant quelques brèves semaines.

    Que disait T.S. Eliot, déjà ? « Avril est le mois le plus cruel. »

    Les ragots se propageaient toujours de façon effrénée au printemps. Ils coulaient comme l’eau d’un ruisseau après le dégel ; ils se répandaient comme du pollen. On ne pouvait pas s’empêcher de les répéter, de la même façon qu’on ne pouvait s’empêcher de frotter nos yeux allergiques.

    Nous n’étions pas mal intentionnés, méchants ou cruels. On mourait simplement d’ennui et après une longue période sans les touristes, l’argent ou la magie de l’été, nos réservoirs étaient vides.

    De plus, on était des êtres humains, en proie à la curiosité. On avait conscience que des choses se passaient ailleurs dans le monde, qu’on décodait des génomes humains sur le campus du MIT, que les plaques tectoniques bougeaient en Californie, que Poutine faisait la guerre à l’Ukraine, mais ces événements ne retenaient pas autant notre attention que ceux qui se déroulaient sur les cent soixante-huit kilomètres carrés de notre île. On échangeait des ragots chez le coiffeur, chez l’esthéticienne, au rayon « produits frais » du supermarché, au bar du Boarding House ; on recommençait le vendredi soir pendant l’apéritif au Club de pêche, le samedi à 17 heures entre les prie-Dieu de la messe et quand on faisait la queue pour acheter le New York Times, le dimanche matin.

    Est-ce que tu es au courant ?

    Personne ne pouvait prévoir qui serait notre prochaine cible. Mais si quelqu’un nous avait dit, pendant ce mois d’avril glacial et gris, qu’on passerait le plus clair de l’été à parler de Grace et Eddie Pancik…

    … de Trevor Llewellyn et Madeline King…

    … et de Benton Coe, le célèbre paysagiste…

    … on serait sans doute restées muettes de surprise.

    Non, c’est pas vrai.

    Impossible.

    C’était les gens les plus gentils qu’on connaissait.


    Alors, tentés?

  • Bilan du mois d'avril 2020

    Bilan lecture.jpg

    En avril, j'ai lu 19 livres dont 2 BD, 1 manga et 16 romans pour un total de 6203 pages

     

    En BD j'ai lu les deux fameuses BD de Pénélope Bagieu
    Culottées T01.jpg Culottées T02.jpg


    J'ai lu un manga
    bride stories T08.jpg

    En roman, j'ai reçu deux SP
    les gardiens des anges T02.jpg La cité dénaturée.jpg


    Puis j'ai pioché des romans au gré de mes envies et de mes challenges
    Animorphs T28.jpg Animorphs T29.jpg baignade interdite.jpg

    arret d'urgence.jpg chasseuse de vampire T10 la vipère de l'archange.jpg La chorale des dames de Chilbury.jpg

    le mur invisible.jpg le prieure de l'oranger.jpg les étranges soeurs.jpg

    Lt Eve Dallas T33,5 dans l'enfer du crime.jpg Lt Eve Dallas T34 célébrité du crime.jpg Lt eve Dallas - T35 - Démence du crime.jpg

    marie tudor la souffrance du pouvoir.jpg rupture, tarots et confiture.jpg


    Côté écran, je n'ai vu qu'un film
    18391267.jpg

    Mais c'est parce que je suis plus sur les séries
    2959404.jpg 4084719.jpg 4147704.jpg

    5011305.jpg 3329224324_1_2_ZZO3lM2U.jpg ob_e9e9f7_perdus-dans-lespace-saison-2-affiche-1.jpg

    Avec le confinement, je ne commande plus rien car les colis n'arrivent jamais chez moi mais à la poste et je ne veux pas prendre de risques inutiles. De plus, avec la fermeture de mondial relay pendant la crise, je ne reçois pas ma box mensuelle qui est mise de côté par les concepteurs. Du coup, quand le service reprendra, j'aurais sans doute 3 box en même temps : celles de mars, avril et mai + une 4ème HS qui devrait arriver fin mai/début juin.

    Du coup c'est tout pour ce mois-ci!
    Prenez soin de vous, ne prenez pas de risques inutiles et on se retrouve fin mai pour le prochain bilan!