En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Des souris, des hiboux, des rats supra-intelligents et une méchante machine qui fait Cracroum.... Que demander de plus?
Titre original : The secret of Nimh
Réalisé par : Don Bluth
Date de sortie : 08 décembre 1982
Genre : Dessin animé
Pays d’origine : USA
Durée : 1h25
Résumé : La situation est grave : la famille de la souris Brisby doit déménager au plus vite mais son fils Timothy est très malade et ne peut pas sortir dans le froid. Mme Brisby est obligée de demander de l'aide à ses voisins, d'étranges rats qui cachent un terrible secret.
Mon avis : Le dessin animé ayant été créé en 1982, il était plus que temps que je le regarde. Mais je suis comme ça moi, j’aime bien être décalée et voir des films ou des dessins animés des années après que tout le monde les ait vus. Le « Quooooiiiii ? Tu l’as pas vuuuu ? » me fait toujours rire (genre c’est la fin du monde, tu ne peux pas vivre une seconde de plus dans cette ignorance….et oui pour ceux qui se posent la question je fais pareil avec les copines qui n’ont pas vu des films que j’ai moi-même vu plusieurs fois) Donc, aujourd’hui, je me suis prise par la main et je me suis mise devant ma télé pour découvrir, enfin ce dessin animé. Alors ma première impression, à chaud comme ça, d’instinct, c’est qu’il aurait bien besoin d’être, comment dit-on déjà ? Ah oui remastérisé. Il faut dire que pour moi, pur produit des années 80, ce dessin animé est comme Bambi ou Fievel, il n’a pas vieilli. Mais pour les sales gosses d’aujourd’hui, élevés dès le biberon au numérique, au HD, aux images de synthèses, l’image paraît un peu….passée… les couleurs un peu pales, (le charme du dessin à la main, image par image et colorisé également à la main, ils ne connaissent pas….). Concernant l’histoire, on reste dans du grand classique : les souris sont les gentilles, les rats (à l’exception de quelques uns) les méchants (Oh Ratigan…Oh Ratigan….Oui je sais, c’est pas les mêmes, mais ce sont surement des cousins). Ajoutons de méchants humains qui dirigent un laboratoire, un corbeau un peu déjanté, une musaraigne teigneuse et la période du labourage qui menace les maisons et la vie des petits habitants du champ et tout est réuni pour une grande aventure version miniature. Ah oui et n’oublions pas le grand vilain méchant chat, tout moche et terreur de la petite population de la ferme.
Un joli dessin animé à regarder avec des enfants encore petits, qui ne sont pas encore blasés.
Comme je n'ai pas trouvé de bande annonce, j'ai mis un petit extrait.
Ce dessin-animé n’est pas un dessin animé des années 80, puisqu’il date de 1998, mais je l’ai casé dans cette catégorie, dans mon classement personnel, parce que je fais ce que je veux qu’il diffère des horreurs que l’on voit chaque jour sur les chaines pour enfants (si si quand même…) et ce, autant par son contenu que par la qualité des dessins. En reprenant en dessin animé un roman jeunesse, le créateur a reprit la tendance des années 80 avec « princesse Sara », « Rémi sans famille » etc… Tous les mauvais cotés de la vie ne sont pas édulcorés même s’il y a toujours ce coté morale du « les méchants finissent toujours par payer »…
Créé par : Bernard Deyriès
Nombre d’épisodes : 26
Durée d’un épisode : 23 min
Pays d’origine : France
Chaine de diffusion d’origine : France 3
Genre : Dessin Animé
Dans la campagne française de second empire, Sophie de Réan enchaîne les bêtises au désespoir de sa mère qui tente de la contrôler et de son cousin Paul qui essaie de la raisonner.
A quelques lieues de là, ses amies, Camille et Madeleine, radicalement différentes, vivent paisiblement avec leur maman. Un jour, Sophie part avec sa famille vers la lointaine Amérique pour les affaires de son père. Eux deux seulement arriveront à bon port.
Deux ans plus tard, c’est seule avec une belle-mère cruelle que Sophie retrouve Réan, ses amies Camille et Madeleine et rencontre Marguerite qui vit maintenant à Fleurville. Mme de Fleurville et Mme de Rosbourg, son amie, sont bien décidées à soustraire le plus souvent possible Sophie à la cruauté de sa belle-mère…
Evidemment, pour adapter trois romans en 26 épisodes, il a fallu faire des concessions et toutes les aventures de Sophie, Paul, Camille, Madeleine et Marguerite ne sont pas racontées. Pour des soucis de compréhension du jeune public, le créateur a choisi d’intégrer quelques épisodes, au début de la série, qui n’apparaissent pas dans les deux premiers romans, mais dans le dernier, lorsque Sophie raconte ses souvenirs. Le choix de montrer ces événements en « direct » plutôt que dans des souvenirs à la fin de la série est bien trouvé car cela permet une meilleure compréhension de la chronologie de l’histoire pour les enfants. On trouve donc des différences avec les romans. Certains personnages ne sont pas présents (comme Jacques, le cousin de Camille et Madeleine), d’autres sont rajoutés (comme tous les personnages présents en Louisiane). Certains événements qui ont été jugés trop traumatisants pour de jeunes enfants ont été supprimés, comme la mort de la fille de la belle-mère de Sophie à la fin du roman. Mais dans l’ensemble, pour la courte durée de la série, les romans ont été bien respectés.
L’évolution est en marche…et elle fout la trouille !
Titre original : The croods
Réalisé par : Chris Sanders, Kirk De Micco
Date de sortie : 10 avril 2013
Genre : Dessin Animé
Pays d’origine : USA
Durée : 1h32
Résumé : Lorsque la caverne où ils vivent depuis toujours est détruite et leur univers familier réduit en miettes, les Croods se retrouvent obligés d’entreprendre leur premier grand voyage en famille. Entre conflits générationnels et bouleversements sismiques, ils vont découvrir un nouveau monde fascinant, rempli de créatures fantastiques, et un futur au-delà de tout ce qu’ils avaient imaginé. Les Croods prennent rapidement conscience que s’ils n’évoluent pas… ils appartiendront à l’Histoire.
Les récompenses : Le Dessin Animé a été nommé 4 fois, dont trois dans la catégorie meilleur film d’animation mais n’a pas remporté de récompense.
Mon avis : Les Croods est un dessin animé amusant sur le thème de l’acceptation du changement et du dépassement de la peur face à celui-ci. Le père est tellement énervant qu’il en devient drôle : tout ce qui est nouveau c’est mal, la curiosité c’est mal, sortir de la caverne c’est mal… Il est celui de la famille qui a le plus de mal à admettre que le monde qu’il connaît est en train de s’écrouler. Pour lui la vie c’est une caverne, un rocher pour fermer la caverne et la peur permanente qui permet de rester en vie. Il refuse d’imaginer que l’on puisse vivre autrement. Et si sa femme ne se pose pas trop de questions, du moins au début, si son fils est trop bête pour s’en poser et que sa plus jeune fille n’est qu’un bébé (et quel bébé !), sa fille ainée, elle, ne supporte plus de vivre enfermée. Elle voudrait lui expliquer ce qu’elle ressent mais il est impossible de communiquer. Après, il n’a pas non plus tort sur tout : leur monde, l’ancien comme le nouveau, est plein de danger, de bêtes monstrueuses, d’insectes venimeux, de maladies… Trouver de la nourriture relève de la gageure (surtout que les Croods ne connaissent pas le feu). Le petit coté qui m’a bien plus (et qui n’est qu’une anecdote) c’est le « Toujours vivante ! » de la grand-mère maternelle qui déprime toujours Grud, le père, qui rêve de la voir enfin passer de vie à trépas. Hilarant aussi le moment où elle raconte comment elle a rencontré et épousé le grand-père !
Dreamwork a fait un film qui plaira aux enfants par son univers coloré, ses bestioles plus ou moins étranges issues de mélanges improbables. La plupart des dialogues leur passera un peu au-dessus de la tête (il faut bien que les adultes qui les accompagnent ne s’ennuient pas). Cela en fait un dessin animé que l’on peut apprécier à tout âge.
Résumé : 2977. Albator, capitaine du vaisseau Arcadia, est un corsaire de l’espace. Il est condamné à mort, mais reste insaisissable. Le jeune Yama, envoyé pour l’assassiner, s’infiltre dans l’Arcadia, alors qu’Albator décide d’entrer en guerre contre la Coalition Gaia afin de défendre sa planète d’origine, la Terre.
Les récompenses : Il a été nommé deux fois. Une fois au festival du film d’animation d’Annecy 2011 et une fois au Mostra de Venise 2013. Il n’a pas remporté de récompenses, celles-ci ayant été respectivement attribuées à
Mon avis : Dans ce long-métrage d’animation, on découvre un Albator plus humain et moins « héros sans peur et sans reproches » que dans les dessins animés des années 80. Cet Albator là est plus sombre, plus dur, il n’hésite pas à sacrifier des vies innocentes pour « le plus grand bien » (Il a du parler avec Dumbledore, c’est pas possible autrement) et il lui arrive même de tuer gratuitement, du moins c’est ce que j’ai trouvé. On nous explique, par des flash back comment il est devenu hors la loi et permettez moi de dire que c’est pas joli-joli. Il culpabilise et il a des raisons pour ça. Mais il essaie de se racheter même s’il choisit une voie assez tordue pour ça. Yama lui, il est un peu perdu. Lui aussi est rongé par la culpabilité et quand on est espion par culpabilité et non par conviction, forcément, ça embrouille un peu l’esprit. Le problème pour Yama c’est que plus ou moins tout le monde lui ment. Difficile pour lui de prendre les bonnes décisions, du coup il fait un peu girouette…
On retrouve tous les personnages ou presque du dessin animé original :
Albator (évidemment) toujours aussi beau et ténébreux avec son bandeau, sa balafre et ses cheveux dans les yeux (ça ils le disent pas dans la chanson hein ?)
mais aussi Nausicaa l’officier supérieur chargée de la navigation
Yataran le second du capitaine
ou encore Clio/Mima qui ici a un visage normal.
Et même cette saleté de piaf est là ! L’animation en elle-même est superbe, on a même certains plans dans lesquels on doute un instant : film ou animation ? J’ai bien aimé la fin, du moins un de ses éléments plus que les autres, parce que je voyais bien la légende d’Albator prendre cette tournure. Pour une fois j’ai été sur la même longueur d’onde qu’un réalisateur ! Pour les fans du dessin animé des années 80, le plus déroutant sera sans aucun doute le caractère profond du personnage qui diffère beaucoup de celui de l’Albator du DA.
Personnellement j’ai bien aimé ce changement, mais je déconseille ce film aux purs et durs des années 80, qui ne supportent pas qu'on égratigne leur héro. Pour les autres, foncez !
Voilà encore un dessin animé des années 80, bien plus agréable à regarder que la majorité de ceux que l'on peut voir aujourd'hui.
Ce dessin animé est une adaptation du roman de Louisa May Alcott: Les quatre filles du docteur March, en version originales: little women... D'ailleurs c'est ce titre (en français: Petites bonnes femmes) que la boite de production japonaise va donner à l'adaptation d'une suite du même auteur: le rêve de Jo March (en version originale: Little Men: Life at Plumfield with Jo's Boys). Dommage, le roman qui se situe entre ces deux là, à savoir Le docteur March marie ses filles (en version originale: good wives) n'a pas été adapté. Pourtant on y trouvait des moments forts, comme la mort de Beth, le mariage d'Amy, la naissance et la vie conjugale de Meg...
Créé par : Fumio Kurokawa
Nombre d’épisodes : 48
Durée d’un épisode : 22 minutes
Pays d’origine : Japon
Chaîne de diffusion d’origine : La cinq le 2 janvier 1989
Genre : Dessin animé
Aux Etats-Unis, la Guerre de Sécession vient d'éclater. M. March, médecin et père de quatre filles, doit se rendre au front laissant sa femme seule avec leurs quatre filles : Meg (Margaret), Jo (Josephine), Beth (Elisabeth), et Amy. Leur maison ayant brûlé au cours d'une bataille, elles doivent déménager à Newcord, chez leur tante Marthe. Une nouvelle vie les attend...
Il y avait donc 48 épisodes qui ne respectent pas toujours le roman… En effet on trouve de nouveaux personnages comme le journaliste Anthony ou le cousin odieux David, certains évènements n'ont pas lieu dans le roman. Je trouve un peu inutile ce rajout...Le roman de Louisa May Alcott était assez riche pour ne pas avoir à inventer des personnages ou des scènes supplémentaires. Mais c'est sûrement le propre des adaptations de vouloir laisser une marque originale.
Voici donc la liste des épisodes:
01. Le retour de papa 02. Calinou 03. Le déserteur 04. La vie continue 05. Danger sur la ville 06. Le déménagement 07. La tante Marthe 08. A la recherche d'une maison 09. L'irascible Jo 10. Critiques et louanges 11. Une femme amère 12. L'orage 13. Une maison étrange 14. L'arrivée de Laurie 15. Un voisin curieux 16. Je n'ai pas volé cet argent 17. Le discours du président Lincoln 18. Début en société 19. Un garçon sympathique 20. Jo en visite chez les Laurence 21. Des cadeaux d'un dollar 22. Un Noël superbe 23. Une surprise pour Beth 24. Meg amoureuse 25. Le chef d'œuvre de Jo 26. Beth et monsieur Laurence 27. L'humiliation d'Amy 28. Amy et le théâtre 29. Amy tombe dans la rivière 30. Le voyage de Meg 31. Meg n'est pas une poupée 32. Une femme capricieuse 33. La fête en plein air 34. Amy a des hallucinations 35. Meg est amoureuse 36. Le roman est publié 37. L'inquiétude 38. Mauvaises nouvelles 39. Les lettres 40. La maladie 41. Aide-toi et le ciel t'aidera 42. Retour à la maison 43. En route pour New-York 44. Qui a écrit cette lettre 45. Laurie dans l'œil du cyclone 46. Une surprise pour Noël 47. Au revoir Anthony 48. Le grand espoir
Un des (nombreux) dessins animés de mon enfance. J’aimais bien ces dessins animés qui, contrairement à ceux d'aujourd’hui, apprenaient des choses aux enfants. Dans celui-ci, par exemple, au fil des épisodes, on parle aux enfants de la première guerre mondiale, on leur explique que la Finlande était sous domination Russe, on explique que beaucoup d’étudiants et de penseurs qui luttaient pour l’indépendance de la Finlande étaient arrêtés etc… Bref c’est quand même autre chose que Oggy et les cafards… ne nous voilons pas la face, les dessins animés ont perdu en qualité ces dernières années !
Chaine de diffusion d’origine : La cinq le 6 juin 1987
Genre : Dessin animé
La petite Cathy a perdu son papa quand elle était encore très jeune et sa maman travaille comme gouvernante. Pendant qu’elle travaille, elle confie Cathy aux parents de son défunt mari. Après un an d’absence, alors que Cathy a 6 ans, sa maman vient leur apprendre qu’elle doit suivre son patron en Allemagne pour trois ans. Trois ans passent et la maman de Cathy ne revient pas. Car entre-temps, la première guerre mondiale va éclater et aucune nouvelle ne parvient chez Cathy et ses grands parents. Alors que les problèmes financiers s’accumulent, la situation devient dramatique quand la vache de la famille est tuée par un ours. Cathy décide alors de commencer à travailler comme gardienne de vache dans une ferme à quelques heures de marche. Elle a 9 ans et ne va pas revenir chez ses grands parents, à part de brèves visites avant de longues années. Son rêve est d’aller à l’école et grâce à sa patronne il se pourrait qu’il devienne un jour réalité. Mais Cathy désire surtout une chose : revoir sa maman. Cathy n’est pas larmoyante comme Candy, elle est plutôt comme princesse Sarah mais elle n’est pas exploitée. Elle veut travailler et ses divers patrons sont dans l’ensemble assez bienveillants envers elle. Tout le monde n’est pas gentil mais ce sont surtout des personnages secondaires qui n’ont au final pas grande importance.
S'il y a bien un dessin animé que je regardais petite et que je n'ai jamais cessé de regardé depuis, c'est bien celui là! En fait, j'ai commencé par collectionné les livres, édités sous forme de BD, collection que je n'ai pu achever qu'à l'age adulte, ayant à l'époque ratée les numéros 15 et 33 et ayant mis près de 20 ans pour enfin les acquérir. Avec bien sur sur le bonhomme qu'il fallait reconstituer (par contre lui, je ne l'ai jamais retrouvé...) Et puis j'ai découvert le dessin animé. Bien que Il était une fois...la vie, est le plus célèbre, probablement du fait de la BD, ce n'est pas le premier opus de ce dessin animé éducatif qui se décline en 7 séries distinctes les unes des autres.
Créé par: Albert Barillé
Nombres d'épisodes par série: 26
Durée d'un épisode: environ 25 minutes
Pays d'origine: France
Chaine de diffusion d'origine: FR3 (Gulli pour le dernier opus)
Genre: Dessin animé
Dans chaque opus, on retrouve les même personnages, déclinés sous différents aspects allant du globule rouge à l'être humain. Ainsi on retrouve dans tous les épisodes ou presque des 7 séries:
Maestro: Il est le sage, le patriarche, le chef de cellule, voire le narrateur...
Pierre/ Pierrot: Est le chef de famille, le père, le capitaine d'escadrille, un meneur... Il représente aussi l'enfant.
Pierette: C'est la mère de famille
Psy: Coéquipière de Pierre
Le Gros: ami de Pierre
Nabot et Teigneux: ils sont les méchants: virus, inquisiteurs, marchands peu scupuleux... dans tous les cas, ils sont les antagonistes.
Le premier opus de ce dessin animé est donc Il était une fois... l'homme
Le générique français, une adaptation de Toccata et fugues en ré mineur de Bach, m'a longtemps fait croire que la musique avait été faite pour le dessin animé (j'étais petite hein) Sur la vidéo que j'ai trouvée, il se termine sur le message: Il était une fois...la terre. mais il s'agit bien d'il était une fois l'homme. Le dernier épisode de la série, s'intitule il était une fois ... la terre et nous montre les conséquences possibles de la pollution dans un avenir plus ou moins proche.
Le dessin animé a été diffusé pour la première fois en avril 1978 et est composé de 26 épisodes de 26 minutes chacun. Avec la petite horloge en haut à droite de l'écran qui permet de savoir où on en est, il nous montre les événements majeurs de l'évolution de l'homme à travers les ages des origines de la vie jusqu'à la fin du 20ème siècle.
Ensuite est venu Il était une fois... l'espace
Il est moins connu que ses camarades j'ai l'impression, peut être parce qu'il raconte moins l'histoire de l'humanité, ou le fonctionnement du corps humain et est plus basé sur la science fiction, hors il y avait déjà tant de dessin animés de ce genre à l'époque qu'il est peut être un peu passé à la trappe.
Il a été diffusé pour la première fois en 1982 et c'est un des rares que je n'ai pas vu enfant, mais que j'ai découvert par hasard à l'age adulte, en faisant des recherches sur les autres opus. Il ne m'a pas vraiment emballé, du coup je n'ai pas grand chose à dire dessus.
Même le générique m'a moins convaincu, on aurait dit un tube créé pour les ménagère de moins de 50 ans plutôt qu'un générique destiné aux enfants. Je suis sûre que s'il avait été encore parmis nous, ils aurait essayé de le faire chanter par Claude François!
Ensuite vient la star Il était une fois...la vie
C'est clairement le plus regardé et le plus connu. Il a été diffusé pour la première fois en 1987. Dans celui ci, tout ou presque se déroule à l'intérieur même du corps humain, les scènes qui se déroulent en dehors ne sont là que pour expliquer les relations de causes à effets. Cette série a donné le goût de la science à des dizaines d'enfants et à expliqué à encore plus d'entre eux ce qui se passe dans notre corps quand on va bien, quand on regarde, quand on pense, quand on est malade etc...
On est le plus souvent dans le corps de pierrot ou de psi, corps sains et bien "entretenus", parfois dans celui de Petit-Gros, un peu enrobé et pas toujours à jour de ses vaccins. On fait également parfois des intrusions dans les corps de Teigneux et Nabots, pour voir ce qui se passe à l'intérieur de corps négligés et empoisonnés par une mauvaise alimentation et par l'alcool et le tabac.
A partir de 1991, le créateur du dessin animé va développer l'idée qu'il avait mis en place dans il était une fois l'homme. En effet cet opus était consacré aux événements d'europe, il va donc commencer par se pencher sur les amériques avec Il était une fois...les amériques. A nous la conquête de l'ouest, les indiens, les aztèques, les incas, la guerre d'indépendance...etc...
3 ans plus tard, en 1994, est diffusé il était une fois...les découvreurs, qui va permettre de revenir plus en détail sur les grandes découvertes qui ont fait de notre monde ce qu'il est. D'Archimède à Armstrong en passant par Pasteur, Edison et Ford, il nous montre qu'il s'en est parfois fallu de peu pour changer la face du monde...
Puis on continue en 1996, cette fois avec il était une fois...les explorateurs. après les grandes découvertes scientifiques de l'opus précédent, on se penche maintenant sur les découvertes géographiques qui ont elles aussi, changé le monde.
Sur ces deux derniers, j'aime beaucoup les génériques qui expliquent déjà aux enfants l'importance de ces découvertes.
Enfin, en 2008, est diffusé ce qui sera sans doute le dernier opus de la série des Il était une fois (leur créateur étant décédé en 2009): Il était une fois...notre terre.
Sur ce dernier point je n'ai pas du tout accroché. Que ce soit dans le dessin ou dans les thèmes, on ne retrouve plus le charme des premiers, mais il reste éducatif et intéressant. C'est juste la nostalgique en moi qui aurait voulu garder le visuel et le déroulement de il était une fois la vie ou il était une fois les explorateurs. Je n'aime pas du tout le coté manga qui a été donné aux personnages, mais bon, sans doute les dessinateurs se sont-ils appuyé sur les dessins animés qui font de l'audimat, après tout, l'essentiel c'est que leur message passe!
Allez! Il est temps pour moi de refermer la parenthèse et de retourner en 2013 (quoi que... je vais peut être me regarder un ou deux épisodes avant!)