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Aujourd'hui j'ai tentée cette recette là que j'ai trouvé sur le blog Une tite débutante dans la cuisine. Pour une débutante, elle fait des trucs géniaux... J'ai un peu modifié le mode d'exécution et les ingrédients parce que l'un, je l'avais pas, et l'autre, j'aime pas (mais ça ne m'a pas manqué). Pour la recette originale, allez voir son blog!
Ingrédients :
- 3 filets de dinde - 1 demi mangue (comme je n'avais pas, j'ai utilisée 4 cuillères à soupe de purée de mangue capfruit *) - 3 cuillères à soupe de fromage blanc 0% - 1,5 cuillères à soupe de curcuma - Sel, poivre - Une demi-cuillère à café de maizena
* La purée de mangue capfruit
J'ai trouvé ça un peu liquide pour être appelé de la purée. C'est plutôt du coulis, au goût très prononcé, trop pour être utilisé tel quel. Comme je ne vais pas en utiliser sans arrêt, j'ai prélevé ce dont j'avais besoin pour ma recette et j'ai congelé le reste dans des bacs à glaçons, comme ça, j'aurais ce qu'il faut sous la main pour préparer ce plat même quand c'est pas la saison des mangues!
Alors donc...
¤ Hacher l'oignon et découper les filets de dinde en bouchées.
¤ Les faire revenir dans une sauteuse avec une cuillère à soupe de curcuma et un peu d'eau (environ 3 cuillères à soupe. Laisser chaque cuillère bien s'imprégner du mélange avant de rajouter la suivante...)
¤ Ajouter le fromage blanc et bien mélanger. Laisser cuire 5 minutes.
¤ Ajouter la purée de mangue et la demi cuillère à soupe de curcuma restante. Laisser cuire 5 minutes.
¤ Délayer la maïzena dans une cuillère à soupe d'eau froide. Ajouter dans la sauteuse et laisser cuire entre 5 et 10 minutes en remuant jusqu'à ce que le mélange épaississe.
¤ saler et poivrer au goût.
En ce qui me concerne, j'ai servi ce plat avec une purée de courgette. Encore cette fois, je n'avais plus faim pour le yaourt.
Résumé : De son vrai nom, Marie-Louise Tromel, Marion naquit le 6 mai 1717 dans le petit hameau misérable de Porz-en-Haie, près du Faouët. (Morbihan). Elle est poussée à mendier, chose courante dans la Bretagne du XVIIIe siècle. Elle accompagne sa mère dans les pardons pour y vendre de la mercerie, des lacets, de la tresse et des cribles à tamiser le grain. Elle est aussi chapardeuse. Jeune fille, elle montrera des attitudes de plus en plus audacieuses et effrontées.
Auteur : Catherine Borgella est scénariste pour la télévision et réalisatrice pour des documentaires. Elle est également membre de la Commission Audiovisuelle à la S.G.D.L (Société des Gens De Lettres). Diplomée d'histoire et amoureuse de la Bretagne, Marion du Faouet est le seul roman que j'ai pu trouver écris de sa main.
Edition : Robert Laffont
Genre : Historique
Date de parution : 12 Septembre 1999
Prix moyen : 19€ (broché)
Mon avis : En 1997, j'ai vu le téléfilm "Marion du Faouët" et il m'avait vraiment emballée. Quand deux ans plus tard, la scénariste du téléfilm a écris le roman éponyme, je me suis littéralement précipitée dessus. Entre temps j'avais fais quelques recherches et avait appris que, loin d'être une histoire inventée, un téléfilm en costume d'époque, il s'agissait d'une histoire basée sur faits réels. Marion du Faouët, née Marie-Louise Tromel a réellement existée. Elle a vécut de 1717 à 1755, date à laquelle elle fut pendue. L'auteur ayant un diplome d'histoire, on peut supposée qu'elle a fait des recherches poussées sur son sujet avant d'écrire le scénario du film puis le roman qui est bien plus détaillé. Bien sûr, il y a une part de romance, car comment savoir avec certitude ce qu'il se passait dans l'intimité de la cache des brigands dirigés par Marion? Comment connaitre la teneur exacte des aides officieuses qu'elle a pu recevoir? Mais peut importe la part de faits, la part d'interprétation et la part de romance, il s'agit du récit de la vie d'une femme d'exception que la misère à conduit au banditisme mais qui a toujours mis un point d'honneur à ne pas faire couler le sang, à ne pas attaquer les gens du pays (comprendre ceux de la région) et qui a touours pensé au bien être de ses proche avant le sien. Arrêtée plusieurs fois, elle s'évadera à plusieurs reprises mais verra mourir plusieurs des hommes qu'elle a aimé. Elle sera également fouettée en place publique et marquée du V infamant des voleurs. Je ne sais pas trop si j'ai vraiment détesté Pecourt. Certes il en fait une affaire personnelle mais d'un autre coté, il fait son travail et ne supporte pas qu'un brigand échappe à la justice. Le style est clair bien qu'émaillé de mots et d'expression de l'époque. Quant à la fin, comme pour tyout roman basés sur des faits réels, elle ne peut être différente de ce qu'il s'est passé. Aussi je n'ai pas imaginé une autre fin que celle relatée par l'auteur. J'aimerais bien revoir le téléfilm car, bien qu'il y ait moins de détail que dans le livre, qu'il soit une sorte de résumé de la vie de MArion du Faouët, il était bien mené et très divertissant.
Un extrait: Ils attendirent debout, longtemps, dans une vaste salle gothique aux murs de pierre nue, qu’éclairait une haute fenêtre à meneaux. Dehors, le ciel était bleu et léger. Marion calcula qu’on devait être au début de mars, bientôt le printemps exploserait sur les talus en floraison multicolore de crocus et de primevères, tandis que les aulnes répandraient au bord de l’Ellé des nuages de pollen, et que les pommiers du verger, au Véhut, se couvriraient de boutons roses à la fine odeur.
Menottes aux poignets, chaînes aux pieds, appuyée contre le mur, elle fixait Henry, enchaîné lui aussi, entre deux gardes. La distance leur permettait tout juste de s’entrevoir. À mi-chemin, une femme encore jeune serrait contre elle deux enfants hébétés. Un greffier apporta un ordre écrit, et désigna la femme aux gardes qui l’accompagnaient.
– Mendicité… Récidiviste. Au dépôt !
Il remit le document à l’un des miliciens. Les gardes entraînèrent la malheureuse et les enfants. D’un coup, comme si un nuage épais eût caché le soleil, l’espoir irraisonné abandonna Marion. Si on enfermait ainsi, pour longtemps, pour la vie peut-être, celle dont le seul crime était d’avoir mendié du pain pour ses petits, il n’y aurait pas de salut pour Henry ni pour elle. Les lois du temps étaient sans merci pour le dévoiement des pauvres. Dans leur cas, être accusés, c’était être coupables. Cette évidence la poignardait.
Date de sortie: 16 juillet 1997 (scream) 08 juillet 1998 (scream 2) 19 avril 2000 (scream 3) 13 avril 2011 (scream 4)
Genre: Horreur
Pays d’origine: USA
Durée: 1h50 pour les 1, 3 et 4 2h02 pour le 2
Casting recurrent: Neve Campbell, David Arquette, Courteney Cox
Interdiction: Le premier film était interdit aux moins de 16 ans. Puis, relâchement du CSA ou multiplication des films gores, les trois suivant n’étaient interdit qu’aux moins de 12 ans.
Résumé:
scream: Casey Becker, une belle adolescente, est seule dans la maison familiale. Elle s'apprête à regarder un film d'horreur, mais le téléphone sonne. Au bout du fil, un serial killer la malmène, et la force à jouer à un jeu terrible : si elle répond mal à ses questions portant sur les films d'horreur, celui-ci tuera son copain... Sidney Prescott sait qu'elle est l'une des victimes potentielles du tueur de Woodsboro. Celle-ci ne sait plus à qui faire confiance. Entre Billy, son petit ami, sa meilleure amie Tatum et son frère Dewey, ses copains de classe Stuart et Randy, la journaliste arriviste Gale Weathers et son caméraman Kenny qui traînent tout le temps dans les parages et son père toujours absent, qui se cache derrière le masque du tueur ?
Scream 2: Phil Stevens et sa copine Maureen Evans sortent ensemble voir en avant-première le film "Stab", inspirée de la tuerie de la ville de Woodsboro l'année précédente. Le public porte d'ailleurs en grande partie le costume du tueur. Mais parmi les fans déchaînés se cachent un nouvel assassin, qui poignarde devant toute l'audience la pauvre Maureen... Sidney Prescott, une des réelles survivantes du premier massacre, s'est inscrit à la fac de Windsor où elle apprend l'art dramatique, avec son ami Randy. Mais avec ce nouveau fait divers, la jeune femme prend peur et ne peut à nouveau plus faire confiance en personne. Surtout qu'un meurtre intervient dans l'enceinte même du campus : la jeune Casey Cooper a été défenestré après avoir subi deux coups de couteau. Pour Sidney, ça ne fait aucun doute : le cauchemar recommence. Mais qui peut donc s'acharner à vouloir sa mort ? Et pourquoi ?
Scream 3: Cotton Weary, l'un des survivants de la tuerie de la fac de Windsor, rentre tranquillement chez lui après avoir terminé le tournage de l'émission quotidienne qu'il anime. Le téléphone sonne. Au bout du fil, une fan... qui s'avère être un dangereux tueur, prêt à tout pour retrouver la trace de Sydney Prescott. La jeune femme reste terrée dans une maison surprotégée, afin d'effacer les souvenirs traumatisants dont elle a été précédemment l'héroïne malheureuse lors des massacres perpétrés à Woodsboroo et à Windsor. Le sujet semble quant à lui à la mode, puisque John Milton a décidé de produire un troisième film , "Stab 3", relatant les agissements du mystérieux tueur masqué. Mais la réalité rattrappe à nouveau la fiction lorsque l'une des actrices principales est sauvagement assassiné sur le plateau. L'inspecteur Kincaid décide de faire appel aux survivants des premiers évènements, l'ex policier Dewey Riley, devenu consultant sur "Stab 3", la journaliste Gale Weathers et Sydney. Mais bientôt la vague de meurtres continue. Qui s'acharne à vouloir détruire Sydney ? La clé du mystère ne remonte-t-elle pas aux origines de toute cette histoire ?
Scream 4: 10 ans se sont écoulés depuis les terribles meurtres commis par Ghostface. Sidney Prescott est parvenue à tourner la page mais c’est tout de même avec appréhension qu’elle retourne à Woodsboro pour le lancement de son premier roman. Ses retrouvailles avec sa cousine Jill ainsi qu’avec le duo de choc Dewey et Gale seront de courtes durées : Ghostface est de retour mais cette fois-ci les règles vont changer.
Les récompenses: Seul le premier volet a obtenu nominations et récompenses lors du Fantastic'Arts - Festival du Film Fantastique de Gérardmer 1997. Nominé pour les catégories Prix du Public, Prix du Jury, Prix de la Critique Internationale et Trophée Fun Radio, il a remporté la victoire pour le prix du public et le prix du jury.
Les autres volets n’ont pas été récompensés et à mon sens ce n'est pas une grande surprise.
Mon avis: Habitué du genre, Wes Craven est le réalisateur de cette quadrilogie, qui aurait, mais ce n'est que mon avis, du se contenter de rester une trilogie. Il a un intérêt très marqué pour le gore et le morbide comme le prouve ses travaux: la dernière maison sur la gauche, qu'il a écrit et réalisé en 1972, La colline a des yeux, cinq ans plus tard, la ferme de la terreur en 1980, Freddy les griffes de la nuit en 1984, pour n'en citer que quelques uns. Malgré quelques infidélités au genre en s'essayant au thriller et à la comédie sentimentale, il reste le "maître" du gore.
En ce qui me concerne, l'intérêt principal des films Scream, pour ne pas dire le seul, c'est l'effet de surprise et les sursauts qu'on peut avoir quand le tueur surgit de là où on ne s'y attend pas (et même quand il surgit de là où on s'y attend parfaitement). Il est intéressant de voir Courteney Cox évoluer dans un autre milieu que celui de la comédie, elle qu'on assimile surtout à la Monica de Friends. Et c'est de toute façon les seuls acteurs qu'on retiendra de la quadrilogie, car les seuls à survivre systématiquement, et les seuls à revenir, toujours, comme les tiques en été sur un épagneul. Alors, ils jouent bien, je ne dis pas le contraire, et, comme le souhaitait Wes Craven, leur expérience des séries télé leur a appris a jouer dans l'urgence les changements de scénario intempestifs sans se démonter.
Au niveau visuel, sans surprise, la majorité des scènes sont tournée de nuit ou en intérieur dans des maisons mal éclairées. C'est bien connu, on a plus peur dans le noir ^^.
A chacun des épisodes, on n'apprend l'identité du ou des tueurs qu'à la toute fin, ce qui est logique car il n'y a pas de réelle intrigue, pas d'indices permettant de comprendre la logique qui a mener cette personne et pas une autre à se mettre à tuer (car oui, dans scream, les tueurs ont presque toujours un mobile, mais on n'en entend pas parler avant qu'il se dévoile)
Bon en même temps, ce n'est pas vraiment pour la qualité du sénario qu'on regarde un film gore, ne nous voilons pas la face, bien que les référentes au film Halloween (et à d'autres films d'horreur) disséminés dans le premier volet étaient sympas. Ça avait au moins le mérite d'un peu d'originalité. Cela dit, dans les trois premier volets, il y a une suite logique, le troisième expliquant le pourquoi du comment du premier et le second, découlant avec (presque) logique du premier volet.
J'ai eu beaucoup plus de mal avec le quatrième, qui, 15 ans après la sortie de Scream, arrive un peu comme un cheveu sur la soupe. Il n'y a aucun sénario, les motivations du tueur ne sont pas plus bêtes que celles de ses prédécesseurs (quoi que) mais on sent vraiment que les idées se sont épuisées. Ce sont toujours les mêmes scènes: le tueur est dans le placard, le tueur est à la porte de la maison mais celle de derrière et non celle de devant, le tueur est déjà dans la maison (est-il passé par la cheminée comme le père noël?)
Le quatrième semble aussi avoir été tourné sans prendre en compte les trois premiers films. Quand est-il des ambitions théatrale dont Sidney parlait dans le second opus? Certes dans le troisième elle les avait mis de coté car elle se cachait, mais pensant que tout était réellement fini, pourquoi ne pas s'y être remise? Pourquoi ne pas faire au moins une allusion expliquant qu'elle ait laissé tombé ce rève? Et que dire de Dewey qui se prend un coup de couteau dans le dos à la fin du premier film? Dans le second il boite gravement et explique que la moelle épinière a été touchée. Dans le troisième, il boite nettement moins (et pas toujours) et personne ne s'en étonne. Dans le quatrième il gambade comme un cabri, toute blessure oubliée.
Bref en résumé, je dirais que les trois premiers sont un bon moment à passer, entre potes, dans le noir et en jouant à qui fera sursauter l'autre le plus fort. Le quatrième est en revanche a oublier.
Les bande annonces sont un peu pourris, mais je n'ai pas réussi a trouver mieux!