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[Film] Le château de ma mère

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Titre original : Le château de ma mère

 

Réalisé par : Yves Robert

 

Date de sortie : 26 octobre 1990

 

Genre : Comédie dramatique

 

Pays d’origine : France

 

Durée : 1h38

 

Casting : Julien Ciamaca, Philippe Caubère, Nathalie Roussel, Didier Pain, Thérèse Liotard, Victorien Delamare, Joris Molinas,

 

Résumé : L'adolescence de Marcel, sa découverte de l'amour, son retour à l'amitié et les grands départs pour ses chères collines où, pour arriver plus vite, toute la famille passe en cachette sur un domaine privé.

 

Mon avis : Dans ce second volet qui fait suite à « la gloire de mon père », est adapté le second tome des souvenirs d’enfances de Pagnol, avec quelques éléments du troisième livre (comme la rencontre avec Isabelle).

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Cela dit, comme dans le troisième livre, l’auteur revient en arrière dans le temps, par rapport au château de ma mère qui avance jusqu’à ce qu’il devienne un homme, et que le film suit l’ordre chronologique, ces éléments tirés d’un autre tome s’intègrent parfaitement à l’histoire.

Dans ce volet, comme son nom l’indique, on se concentre un peu plus sur Augustine, et un peu moins sur Joseph, même si les deux sont tout aussi présent.
Je ne me lasse pas de regarder ces deux films, mais je préfère celui-ci à la gloire de mon père.

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La fin de ce film me laisse toujours en larmes, la voix de Jean-Pierre Darras apporte une émotion de plus à la longue liste du sort tragique qu’ont connu la majorité des proches de Marcel. Comme si tout avait commencé à se dégrader après la mort d’Augustine, ni Lili ni Paul ne mourront de vieillesse.

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La musique de Vladimir Costa, indissociable pour moi de ce film, en rajoute encore une couche et je n’ai jamais réussi à finir ce film les yeux secs.
Les propres mots de Pagnol sont repris, comme ils ont été écrits dans son livre. Nul besoin d’adaptation tant ces mots ont de force et résument parfaitement ces tragédies qui ont frappés Marcel : « Telle est la vie des hommes. Quelques joies, très vite effacées par d'inoubliables chagrins. Il n'est pas nécessaire de le dire aux enfants »


 

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