Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

[Film] Nos étoiles contraires

Nos étoiles contraires affiche.jpg

Titre original : The Fault In Our Stars

 

Réalisé par : Josh Boone

 

Date de sortie : 20 août 2014

 

Genre : Drame

 

Pays d’origine : USA

 

Durée : 2h05

 

Casting :Shailene Woodley, Ansel Elgort, Laura Dern, Sam Trammell, Nat Wolff…

 

Résumé : Hazel Grace et Gus sont deux adolescents hors-normes, partageant un humour ravageur et le mépris des conventions. Leur relation est elle-même inhabituelle, étant donné qu’ils se sont rencontrés et sont tombés amoureux lors d'un groupe de soutien pour les malades du cancer.

 

Mon avis : J’ai lu le livre en décembre 2016 et j’ai laissé passer un peu de temps avant de voir le film. Trois mois m’ont semblé être un bon délai : assez éloigné pour avoir digéré ma lecture, mais assez proche pour pouvoir juger de la fidélité de l’adaptation, même avec ma mémoire de poisson rouge.
Alors bien sûr, on ne va pas échapper au paquet de klennex, ne nous voilons pas la face, mais ce film reste optimiste.
Malgré la maladie et sa fin inéluctable, Hazel et Gus veulent non seulement vivre leur vie au maximum, mais aussi s’assurer que ceux qui restent ne vont pas s’éteindre avec eux.
A part quelques détails et une scène qui a été déplacée, le film reste très fidèle au chef d’œuvre de John Green.
Pour paraphraser Hazel, à propos de l’auteur de son livre préféré : il sait comment ça fait d’être en train de mourir sans être en train de mourir lui-même.
Les acteurs sont très crédibles dans leur rôle. Hazel est à la fois effrayée, révoltée et résignée (oui on peut être révoltée et résignée en même temps !).

Nos étoiles contraires hazel.jpg

Gus, lui, est optimiste, presque jusqu’au bout.

Nos étoiles contraires augustus.jpeg

Ce qui m’a marqué dans ce film (comme dans le livre, d’ailleurs) c’est que les choses n’évoluent pas comme on pensait qu’elles évolueraient.
Il y a des critiques professionnels qui se sont crus malins en disant que ce film avait pour défaut de vouloir faire pleurer. Pourtant, ils ne trouvent pas que le fait de faire rire soit un défaut pour une comédie, ou que le fait de faire peur soit un défaut pour un film d’horreur ? Alors pourquoi trouver que faire pleurer est un défaut pour un drame ?
Doit-on, pour contenter ces grands spécialistes édulcorer la vie pour n’en montrer que le côté amusant ? Ou ne faire que des films se déroulant dans d’autres mondes ? Pourquoi ne pourrait-on pas montrer à l’écran des réalités plus sérieuses ? Et oui, pas toujours drôles.
J’ai beaucoup aimé le rôle des parents de Hazel qui sont pris entre leur inquiétude, leur chagrin de devoir se préparer à perdre leur enfant, et le fait de devoir essayer de rester optimiste pour que Hazel continue de se battre contre la maladie.

Nos étoiles contraires parents.jpg




 

Commentaires

Écrire un commentaire

Optionnel