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[Film] Jurassic world

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Titre original : Jurassic World

Réalisé par : Colin Trevorrow

Date de sortie : 10 juin 2015

Genre : Action

Pays d’origine : U.S.A

Durée : 2h05

Casting : Chris Pratt, Bryce Dallas oward, Nick Robinson, T Simpkins, B.D. Wong, Irrfan Khan, Vincent D’Onofrio, Katie McGrath...

Résumé : L'Indominus Rex, un dinosaure génétiquement modifié, pure création de la scientifique Claire Dearing, sème la terreur dans le fameux parc d'attraction. Les espoirs de mettre fin à cette menace reptilienne se portent alors sur le dresseur de raptors Owen Grady et sa cool attitude.

Mon avis : Afin de préserver leurs enfants de l’explosion de leur couple (mais qui sont ces gens qui croient que leurs gosses sont dupes ?), leurs parents envoient Zach et Gray auprès de leur tante, directrice administrative de Jurassic World, parc d’attraction créé à partir du projet de John Hammond.

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Claire, surbookée, en permanence soucieuse de trouver de nouvelles attractions pour maintenir l’intérêt du parc qui accueille près de 20 000 personnes par jour, confie ses neveux à son assistante, Zara, jeune femme obnubilée par son futur mariage et qui passe son temps au téléphone.

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Après avoir assisté à un spectacle aquatique mettant en scène un mosasaurus en lieu et place d’un orque, les gamins n’ont aucun mal à fausser compagnie à leur babysitter peu zélée.

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De son coté, Claire accueille le grand patron, Simon Masrani, qui a racheté le projet jurassic park pour en faire le parc actuel, afin de lui présenter leur dernière créature, entièrement créée génétiquement à partir de plusieurs dinosaures (sa « composition » reste un secret, et pour cause… Claire le découvrira au pire moment).

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Cette nouvelle créature, censée prolonger ce que Claire appelle l’effet « Wahou ! », est appelée L’indominus rex. Ce qui fait bien rire Owen Grady, chargé de contrôler la sécurité de l’enclos.

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Claire lui répond que ce nom est stratégique car le nom scientifique de ce nouveau dinosaure (Archaeornithomimus) serait imprononçable pour de jeunes enfants.

Bien entendu, la brave bête ne tarde pas à s’échapper et à semer la terreur sur son passage (et là on n’a pas une dizaine de personnes venues évaluer le parc, mais plus de 20 000 visiteurs, sans compter le personnel).
Alors, n’en déplaise aux puristes, aux fan « de la première heure », personnellement j’ai trouvé que les dinosaures de synthèse était vraiment mieux fait que les animatronics du 1er volet (je ne critique pas, ils ont fait un travail génial avec les moyens de l’époques).
Le résultat était quand même des animaux plus lents, plus pataud, ce qui est en totale contradiction avec le roman dans lequel le scientifique voudrait modifier génétiquement les bêtes car elles sont trop vives et trop rapides non seulement pour le public qui n’a pas cette vision des dinosaures mais pour être contrôlées correctement.
J’étais moi-même, et je suis toujours, une grande fan du 1er volet, mais il faut savoir évoluer : rejeter un film parce que les moyens techniques ont évolué est ridicule. On n’avancera jamais avec cette attitude (et ça ne semble gêner personne qu’on ressorte star wars trente ans plus tard !).
J’ai beaucoup aimé le côté dressage de raptors (et pourquoi pas, on dresse bien les serpents et les loups) car on s’attend à tout moment à ce que ça foire, et bien sûr on ne se trompe pas, ça foire, mais pas comme je le pensais, c’est beaucoup plus tordu et en même temps beaucoup plus logique qu’une simple rébellion des bêtes.

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L’introduction des militaires est pour moi totalement inutile si ce n’est pour préparer le terrain à un jurassic world 2 et nous donner quelqu’un à détester.

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Car même le grand patron n’est pas détestable. Alors certes, il pousse à la surenchère pour la rentabilité du parc, certes, comme son prédécesseur, il « dépense sans compter » mais quand les choses tournent mal, contrairement à Hammond, il ne va pas se cacher en attendant que d’autres règlent le problème : il va « au front ».

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Dernier point positif, dans les dialogues, on mise beaucoup sur l’humour, même et surtout en période de crise.
Au final, on a là un bon film d’action, qui fait sursauter juste comme il faut. L’effet « Wahou ! » est toujours au rendez-vous !


 

 

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